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Vivant dans les forêts claires et les savanes herbeuses,ce calao est un grand marcheur qui parcourt jusqu'à dix lilométres par jour.Il se nourrit en capturant ses proies au sol.Son menu est constitué de rongeurs,serpents,reptiles,batraciens et gros insectes.Une de ses caract"ristiques est de se déplacer en volant vers les feux de brousse pour capturer les animaux fuyant l'incendie. photo calao

© Daniel Trinquecostes

Cette photo sera la dernière pour l'année 2006.
Cette série de 2006 qui se termine avec cette image a une grande importance pour moi.
Mon épouse avait l' habitude de m'accompagner au cours de ces sorties.Ce sont les derniers qu' elle aura vu de son vivant. Au début du mois de juin qui suivait ces images , elle nous quittait , victime comme l'on dit pudiquement " d' une longue maladie "
Cette série, Fanchette, t'est particulièrement dédiée . RENARD RENARDEAU TERRIER
Photographie nature faune sauvage

Mammifère
Que nature vive

Daniel TRINQUECOSTES

© Daniel Trinquecostes

Limicole vivant à proximité des côtes basses, des prairies et des champs qui en sont proches.Il est grand (39 à 44 cms ) trapu avec un bec rouge orangé long et fort. HUITRIER PIE 
Limicole 
Oiseaux
Photographie de faune sauvage
Que-nature-vive
Daniel TRINQUECOSTES

© Daniel Trinquecostes

(Salamandra lanzaii) 
Espèce endémique très rare et trés localisée, donc très fragile.
Massif du Mont Viso, Parc naturel régional du Queyras, Alpes.
Espèce vivant en altitude (2000 m), ovovivipare.
Suivi scientifique par radio-tracking.
Longtemps confondue avec la salamandre noire (S. atra). salamandre de Lanza Salamandra lanzaii endémique Alpes Queyras Mont Viso rare altitude amphibien vivipare alpage menacée

© Christophe Courteau

<center>
Les roches sont illuminées par ces cristaux produits par le soufre, d'un jaune fascinant. Leur observation me transporte dans un monde réel et vivant où la terre respire sous mes yeux, où tout est chaleur !
 souffre, roche volcanique, vulcano,volcan.eoliennes

© Maurice Chatelain

<center>
C'est l'espèce que l'on trouve la plus tuée sur le bord des routes ;<br>
ses piquants dorsaux témoignent de son identité. Habituellement <br>
actif au crépuscule et la nuit, il peut être observé de jour en<br>
automne. Je n'ai pas eu la chance de le voir vivant ; le sang<br>
était encore frais sur le bitume. Comme pour les autres animaux,<br> je l'ai repoussé sur la partie herbeuse de la route en espérant que<br>
renard, blaireau ou autre hibou le découvre et en fasse bombance. Comme me l'a dit un ami, la mort d'un animal, c'est la vie d'un autre ;<br>
Rien n'est plus vrai ; j'aurais seulement souhaité qu'elle fut naturelle et non de la main de l'homme, elle m'aurait été moins révoltante... hérisson (Erinaceus europaeus ) mort sur la route

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

<center>
Oui, si cette couleuvre avait encore été vivante...
 Couleuvre verte et jaune  Hierophis viridiflavus

© Maurice Chatelain

<center><i>
Il repose là, immobile, l'oeil ouvert.<br>
Je me penche pour le réchauffer...<br> 
Dans mon viseur, il me semble vivant<br>
mais les saisons l'ont pétrifié à jamais!<br></i>
La nature réserve de bien belles surprises !
 oiseau pétrifié,

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

<b>Recurvirostra avosetta.</b> Hollande. Inféodée à un régime d'animaux vivant dans des eaux salées, vers, mollusques et larves, cet échassier fréquente le littoral, les plans d'eau stagnante et saumâtre. Espèce grégaire, elle constitue pour nicher des colonies et, lors des migrations d'automne, des rassemblements importants. Avocette. Recurvirostra avosetta. Echassier du littoral.

© Yves Vallier

<b>Nannopterum harrisi.</b> Espèce endémique. Ce cormoran est l'exemple vivant de la théorie de Charles Darwin sur l'évolution des espèces. Afin de s'adapter pour survivre, ses ailes se sont attrophiées au point de n'être plus que des ailes-nageoire, son corps s'est alourdi afin de couler plus rapidement et ses pattes renforcées pour palmer vigoureusement sous l'eau. De retour de pêche, il régurgite ses aliments en partie pré-digérés pour nourrir son poussin. Cormoran aptère, palmipède endémique des îles Galapagos.

© Yves Vallier

© Pierre Vernay

C'est au large de l'île Rathbone que coula la Hansa commandée par Friedrich Hegemann en août 1869. L'équipage allemand survécut en vivant dans une hutte qui dériva sur un floe de glace jusqu'au sud du Groenland !

© Pierre Vernay

A Mandalay, à proximité de la pagode Sandamuni, on peut découvrir une gigantesque bibliothèque de pierre, constituée de 729 pavillons, contenant chacun une stèle de marbre gravée. De son vivant, Bouddha enseigna, mais ne laissa aucun écrit. 50 ans après sa mort, des conciles bouddhiques se sont donnés pour mission de fixer les préceptes du prophète dans la pierre. Les stèles, gravées en utilisant l'alphabet birman, contiennent les règles de la discipline monastique, les sermons et paraboles, les commentaires philosophiques... mandalay,bibliotheque,pierre,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

(Haliaeetus vocifer) Le Pygargue vocifère regagne son perchoir où il va pouvoir se rassasier tranquillement. Vivant en couple, l'oiseau est partageur et met en commun son butin... aigle,pecheur,baringo,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

L'Islande recense une population d'environ 300 000 habitants, vivant principalement à Reykjavik, la capitale et Akureyri la deuxième grande ville d'Islande. Le reste du territoire est peu peuplé. On peut apercevoir ici et là quelques maisons isolées, au pied des volcans. Elles sont habitées par quelques familles d'éleveurs de moutons et de chevaux...

© Jean-Claude FOURNIER

(Vicugna vicugna) C'est le plus petit des camélidés vivant au Pérou. Elle présente une silhouette fine et délicate. Son corps est recouvert d'une épaisse toison fauve ou chamois, le cou, la poitrine, la partie ventrale, le dessous de la queue, les longues pattes sont blancs. La vigogne vit en harde de 10 à 20 individus, menée par un mâle dominant, sur les hauts plateaux de la Cordillère des Andes, entre 3200 et 4800 m d'altitude. Elle se nourrit de plantes herbacées et de graminées et se reproduit au cours des mois de mars et avril. La femelle donne naissance à un seul petit, après une gestation de 11 mois. Son prédateur est le puma, mais aussi l'homme car sa laine qui porte le nom de carmeline est fine et chaude et très recherchée. Chaque animal ne produit qu'entre 150 et 250 grammes de laine par an.
Plus chère que le cachemire, un pull se vend autour de 3000 euros et un costume 20 000 euros ! On dénombre 125 000 vigognes aujourd'hui au Pérou. vigognes,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

(Selophagor petechia) Sorte de passereau vivant dans l'arrière-mangrove et se nourrissant d'insectes et de baies... paruline,jaune,galapagos,equateur.

© Jean-Claude FOURNIER

(Penelope purpurascens) Elle ressemble à une dinde. Oiseau sociable, vivant souvent en couple ou groupe de 6 à 12 individus, on peut l'observer dans les arbres, marchant le long des branches à la recherche de fruits et de feuillage dont elle se nourrit. La femelle pond deux ou trois œufs qu'elle couve seule. penelope,panachee,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

(Coragyps atratus) L'Urubu noir est un charognard, qui participe au nettoyage de l'environnement en s'attaquant aux cadavres de tous poils. Il tue aussi des proies vivantes : hérons, canards domestiques, veaux, petits mammifères, oiseaux, œufs... Il est monogame et effectue une seule nichée par an. La femelle dépose deux œufs, couvés par les parents pendant 40 jours. urubu,noir,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

(Piaya cayana) Etrange oiseau, vivant dans la canopée, qui saute à travers les branches, court comme un écureuil, tourne autour des troncs pour ne pas être vu... Il se nourrit principalement de chenilles même les plus urticantes piaye,ecureuil,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

La hyène tachetée est considérée comme un animal cruel et charognard, poltron et lâche. Elle se révèle pourtant un prédateur audacieux et terriblement efficace dès lors qu'elle chasse en groupe. La proie une fois mise à terre est éviscérée et dévorée avec frénésie. La hyène s'intéresse aux charognes et aux proies vivantes. Sa machoire d'acier peut broyer un os d'élèphant. La hyène joue un rôle essentiel dans le maintien de l'équilibre naturel, en nettoyant la savane des cadavres, avant que ceux ci ne développent des épidémies... Kenia,masaï mara,hyene.

© Jean-Claude FOURNIER

C'est le lieu de dévotion préféré des habitants de Thimphu. Ce stupa construit en 1974 pour honorer le troisième roi, décédé deux ans auparavant est le point de repère religieux le plus visible au Bhoutan. Le stupa ou chorten ne renferme pas de restes humains, mais une photo du Roi qui de son vivant souhaitait vouloir construire un chorten pour représenter l'esprit de bouddha. memorial,chorten,bhoutan.

© Jean-Claude FOURNIER

Il existe plus de 1000 espèces de fourmis au Costa Rica. Elles habitent généralement les zones ombragées et un peu humides. Certaines construisent leur nid sur des végétaux ou à l'intérieur de troncs de plantes vivantes. Les plus connues sont les fourmis "coupeuses de feuilles". On les rencontre en forêt transportant sur leur dos leur butin d'où leur surnom de "fourmis parasols". La matière végétale récoltée constitue le support organique nécessaire à la croissance d'un champignon dont elles se nourrissent. Les fourmis "atta" utilisent certains variétés d'arbres, de plantes et de fleurs pour cultiver ce champignon. La fourmi "bala" elle se rencontre au pied des arbres. Sa piqure est très douloureuse, semblable à celle provoquée par une balle de fusil... fourmis,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

Malgré le développement du tourisme, la proximité des villes ouvertes sur le monde moderne, les Himbas sont restés attachés à leur mode de vie ancestral. Les missionnaires n'ont pas réussi à les convertir à la religion chrétienne. Ils ne sont jamais arrivés à convaincre les femmes Himbas de couvrir leur poitrine. Les Himbas sont restés animistes, pratiquant le culte des ancêtres, faisant référence à Makuru, créateur de toutes choses. Le feu sacré -okuruwo - qui ne doit jamais s'éteindre, et dont le chef de village est le gardien, sert de lien entre les vivants et les morts... himba,namibie.

© Jean-Claude FOURNIER

(Melanerpes hoffmannii) C'est l'espèce la plus commune de pic vivant au Costa Rica. Son habitat : la forêt. Sa nourriture : les fourmis, les coléoptères et les larves... pic,hoffmann,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

(Torgos tracheliotus) Ce vautour est remarquable par l'envergure de ses ailes (+ 2 mètres) et sa capacité à tuer les proies vivantes. Sa puissance le fait craindre par les autres vautours. Son seul véritable concurrent est le Marabout. Lorsqu'il approche une carcasse, il est le seul à savoir déchirer les chairs avec son énorme bec. Il se régale des entrailles. Pour les proies vivantes, il s'attaque aux lièvres, flamants et corbeaux... vautour,oricou,Kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

Dans ses caves du Saumurois qu'il avait baptisées les Caves de Baumugnes, Jules Mougin, facteur poète, a gravé et peint de nombreuses citations. Ici dans cette ancienne galerie d'extraction il a créé "Le Mur vivant des assassinés" où figurent, entre autres, Louise Michel, Rimbaud, Sacco et Vanzetti.  Les troglos de Jules (Anjou, France). Anjou 
 Art 
 Cave 
 Jules Mougin 
 carrière 
 facteur 
 graffiti 
 habitat 
 poète 
 troglodyte
creusé

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Girafe et son petit dessinés sur les parois d'un veillot ; cette représentation pourrait avoir été inspirée par Zarafa, la première girafe vivante visible en France et arrivée à Marseille en 1826 (vallée du Cher, France). Art 
 Art des carrières 
 Girafe 
 Monthou 
 Zarafa 
 carrière souterraine 
 graffiti 
 vallée du Cher

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Cet Aigle des steppes vient de capturer une pintade et la plume vivante Aigle des steppes ; oiseau ; capturer ; pintade ; plumer ; manger ; savane ; Etosha ; Namibie

© Brigitte MARCON Jean-Jacques ALCALAY

<br><br>Nom anglais du Grèbe huppé : Great Crested Grebe
<br><br>Le plus grand de tous les grèbes, le Grèbe huppé ne présente pas de dimorphisme sexuel et il est difficile de distinguer le mâle de la femelle.
<br><br>Cet oiseau élégant a longtemps été chassé pour ses plumes, surtout celles de la poitrine et de la tête, qui étaient utilisées entre autres comme ornement de chapeau. L'arrêt de sa chasse à permit à l'espèce de se rétablir.
<br><br>Bien que ne figurant pas dans la liste des espèces menacées en Europe, le Grèbe huppé est classé dans l'annexe III de la Convention de Berne depuis le 01/03/2002.
<br>Il bénéficie d'une protection totale sur le territoire français depuis l'arrêté ministériel du 17 avril 1981 relatif aux oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire. Il est donc interdit de le détruire, le mutiler, le capturer ou l'enlever, de le perturber intentionnellement ou de le naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids, et de détruire, altérer ou dégrader son milieu. Qu'il soit vivant ou mort, il est aussi interdit de le transporter, colporter, de l'utiliser, de le détenir, de le vendre ou de l'acheter.
<br><br>En conséquence, le Grèbe huppé est protégé de portée :
<br><br>Internationale :
<br>- Convention relative à la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel de l'Europe (Convention de Berne) : Annexe III
<br>- Convention sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage (CMS - Convention de Bonn) : Accord AEWA [1999]
<br><br>Nationale :
<br>- Liste des oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire et les modalités de leur protection : Article 3
<br><br>Le Grèbe huppé se trouve sur :
<br>- La Liste rouge mondiale de l'UICN (évaluation 2016)  : LC
<br>- La Liste rouge des oiseaux nicheurs de France métropolitaine (2016) : LC
<br>- La Liste rouge européenne de l'UICN (évaluation 2015)  : LC
<br><br>
 Grèbe huppé
Podiceps cristatus
Geat Crested Grebe
oiseau
plumes
chasse
protégé
territoire français
Liste rouge
UICN

© Monique Morin

<br><br>Nom anglais du Grèbe huppé : Great Crested Grebe
<br><br>Le plus grand de tous les grèbes, le Grèbe huppé ne présente pas de dimorphisme sexuel et il est difficile de distinguer le mâle de la femelle.
<br><br>Cet oiseau élégant a longtemps été chassé pour ses plumes, surtout celles de la poitrine et de la tête, qui étaient utilisées entre autres comme ornement de chapeau. L'arrêt de sa chasse à permit à l'espèce de se rétablir.
<br><br>Bien que ne figurant pas dans la liste des espèces menacées en Europe, le Grèbe huppé est classé dans l'annexe III de la Convention de Berne depuis le 01/03/2002.
<br>Il bénéficie d'une protection totale sur le territoire français depuis l'arrêté ministériel du 17 avril 1981 relatif aux oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire. Il est donc interdit de le détruire, le mutiler, le capturer ou l'enlever, de le perturber intentionnellement ou de le naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids, et de détruire, altérer ou dégrader son milieu. Qu'il soit vivant ou mort, il est aussi interdit de le transporter, colporter, de l'utiliser, de le détenir, de le vendre ou de l'acheter.
<br><br>En conséquence, le Grèbe huppé est protégé de portée :
<br><br>Internationale :
<br>- Convention relative à la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel de l'Europe (Convention de Berne) : Annexe III
<br>- Convention sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage (CMS - Convention de Bonn) : Accord AEWA [1999]
<br><br>Nationale :
<br>- Liste des oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire et les modalités de leur protection : Article 3
<br><br>Le Grèbe huppé se trouve sur :
<br>- La Liste rouge mondiale de l'UICN (évaluation 2016)  : LC
<br>- La Liste rouge des oiseaux nicheurs de France métropolitaine (2016) : LC
<br>- La Liste rouge européenne de l'UICN (évaluation 2015)  : LC
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 Grèbe huppé
Podiceps cristatus
Geat Crested Grebe
oiseau
plumes
chasse
protégé
territoire français
Liste rouge
UICN

© Monique Morin

<br><br>Nom anglais du Grèbe huppé : Great Crested Grebe
<br><br>Les juvéniles de Grèbe huppé sont reconnaissables grâce à des bandes noires sur la tête, les joues et le cou. Ils ne possèdent pas encore de huppe. Leur corps est grisâtre.
<br><br>Le Grèbe huppé adulte, qu'il soit mâle ou femelle (il ne présente pas de dimorphisme sexuel), a longtemps été chassé pour ses plumes, surtout celles de la poitrine et de la tête, qui étaient utilisées entre autres comme ornement de chapeau. L'arrêt de sa chasse à permit à l'espèce de se rétablir.
<br><br>Bien que ne figurant pas dans la liste des espèces menacées en Europe, le Grèbe huppé est classé dans l'annexe III de la Convention de Berne depuis le 01/03/2002.
<br>Il bénéficie d'une protection totale sur le territoire français depuis l'arrêté ministériel du 17 avril 1981 relatif aux oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire. Il est donc interdit de le détruire, le mutiler, le capturer ou l'enlever, de le perturber intentionnellement ou de le naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids, et de détruire, altérer ou dégrader son milieu. Qu'il soit vivant ou mort, il est aussi interdit de le transporter, colporter, de l'utiliser, de le détenir, de le vendre ou de l'acheter.
<br><br>En conséquence, le Grèbe huppé est protégé de portée :
<br><br>Internationale :
<br>- Convention relative à la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel de l'Europe (Convention de Berne) : Annexe III
<br>- Convention sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage (CMS - Convention de Bonn) : Accord AEWA [1999]
<br><br>Nationale :
<br>- Liste des oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire et les modalités de leur protection : Article 3
<br><br>Le Grèbe huppé se trouve sur :
<br>- La Liste rouge mondiale de l'UICN (évaluation 2016)  : LC
<br>- La Liste rouge des oiseaux nicheurs de France métropolitaine (2016) : LC
<br>- La Liste rouge européenne de l'UICN (évaluation 2015)  : LC
<br><br>
 Grèbe huppé
Podiceps cristatus
Geat Crested Grebe
juvéniles
oiseau
plumes
chasse
protégé
territoire français
Liste rouge
UICN

© Monique Morin

Petit singe (environ 1 kilo) vivant en groupes d'une cinquantaine d'individus, dans les arbres de forêts primaires ou secondaires de Bolivie. Son alimentation est constituée d'insectes, de fruits et de graines. bolivie,rurrenabaque,singe ecureuil,saimiri boliviensis

© Philippe GAUDIBERT

Chaque printemps, vers la fin avril, un joyau vivant venu tout droit d'Afrique égaie nos contrées méridionales de son plumage multicolore : le Guêpier d'Europe. Moussan (Aude) Mai 1998 Oiseau, passereau, guepier, aude, languedoc

© Philippe VAUDOIS

 

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