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Recherche sur le(s) mot(s) clé(s) : village

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Femelle de steenbok.Cette petite antilope vit principalement dans la savane séche,les champs en friche,et méme en bordure des villages.Elle est cependant relativement farouche. mammiferes antilope afrique antilope

© Daniel Trinquecostes

Cet oiseau est en voie de disparition. Il n'en resterait que 70 individus dans le monde. Ils sont tous concentrés sur l'île de Praslin, et principalement à proximité de la vallée de mai. Celui ci a été photographié dans le village même, à coté du dispensaire, dans un jardin privé ou il se nourrissait d'un fruit exotique qu'il apprécie particulièrement.

© Daniel Trinquecostes

Le tisserin gendarme se caractérise par un oeil rouge.Il est un peu plus grand que les autres tisserins masqués(18 cms).Beaucoup de villages abritent une ou plusieurs colonies.Les tisserins gendarmes installent leur colonie dans les arbres au milieu des champs ou des villages pour se protéger de la prédation. photo tisserin gendarme

© Daniel Trinquecostes

 villageois,femme,regard,comportement

© Maurice Chatelain

 pèlerins,couleur,villageois

© Maurice Chatelain

 rajasthan,paysan,femme,enfants,regard,sourire,couleur

© Maurice Chatelain

<center>
L'Inde : pays ô combien attirant ! A peine rentré de ce pays extraordinaire, je cherche déjà une date pour y retourner.<br>
"L'Inde n'est pas un pays que l'on peut simplement visiter.<br> 
C'est une contrée qui exige un engagement total <br>
et que l'on n'oublie jamais." (LONELY PLANET).<br>
Quelques images toutes simples, glanées au cours de<br>
mes nombreux séjours ; des rencontres au hasard des villages<br>
traversés ; toutes au Rajasthan, depuis Delhi jusqu'au désert <br>
de Thar. Viendront plus tard, des images faites dans le Madhya<br> Pradesh et l'Uttar Pradesh. Et toujours le sourire, la beauté<br>
des regards et les merveilleuses couleurs des saris des femmes.
 
 fleurs,couleur,plante

© Maurice Chatelain

 valnontey,village,neige

© Maurice Chatelain

<center>Au repos avant d'affronter le froid de l'hiver. Ce chat vit<br>
            dans le village de Valnontey (vallée de Cogne - Italie). chat

© Maurice Chatelain

<center>Mais la brume est restée accrochée au village.

 brume massif alpin grand paradis

© Maurice Chatelain

<center>
Je viens de quitter Cogne pour remonter sur la France.<br>
La route sinueuse m'oblige à rouler avec prudence.<br>
En principe, à cette heure, il n'y a pas encore de véhicule<br>
qui monte vers le village ; au 12ème kilomètre je m'arrète,<br>
je mets les feux de détresse et prends mon boîtier...<br>
Le renardeau est encore tout chaud, je le dépose dans la forêt. Renardeau mort. Route, Alpes.

© Maurice Chatelain

<center>Je faisais des photos de leur village et ces jeunes garçons m'ont demandé de les photographier ensemble. Impossible de refuser, <br>bien au rebours... C'est l'occasion de faire plus ample connaissance.

© Maurice Chatelain

<center>
A 1961m, dernier village du Valsavarenche, il est le point de départ des excursions vers le Grand Paradis ; peu de monde en ce mois de mai. C'est ainsi que je peux profiter des animaux et de l'immensité ! Lieu dit : PONT VALSAVARENCHE GRAND PARADIS

© Maurice Chatelain

<center>L'un des pittoresques villages de cette vallée perché à 1632 mètres. Authentique, comme tous ceux du Parc, il conserve le charme d'antan. Village de Maisonnasse, valsavarenche, parc du grand paradis

© Maurice Chatelain

<center>Charmante halte laissant découvrir la vallée et le village de Pont.
 halte repos sentier sentier vers le refuge chabot

© Maurice Chatelain

<center>
La brume capuchonne le village.<br>
La neige tombera peut-être cette nuit... Village NEX vallée de Valsavarenche AOSTE

© Maurice Chatelain

<center>
Tout est calme ce matin, la neige ouate l'ambiance.<br>
Le blanc manteau, sur le petit village de Tignet,<br>
est propice à la photographie. Village de tignet sous la neige. vallée de valsavarenche. aoste.

© Maurice Chatelain

<center> 
PONT à 1961 m, point de départ vers ce massif prestigieux qu'est<br>
le Gran Paradiso. Le versant opposé offre d'autres balades :<br>
le col Rosset et son panorama merveilleux sur la haute vallée<br>
de Rhêmes ainsi que les lacs qui parsèment le vallon du Nivolet. le village de Pont,vallée de valsavarenche, aoste, grand paradis.

© Maurice Chatelain

<center>
Ils sont toujours racés ces chalets témoins d'un passé encore proche. <br>Ils s'endorment sagement. chalets Pont le village valsavarenche. Grand paradis. aoste.

© Maurice Chatelain

<CENTER>Le soleil décline sur le village des Ormes. Village d'automne, LES ormes sur Vienne

© Maurice Chatelain

<center>
Au fond de la vallée de Rhêmes, avant le dernier village : Thumel.
<br>
La route est trop enneigée pour y accéder en voiture ;<br> ils sont comme coupés du monde. Village de

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

Des familles HIMBA se retrouvent lors d'un décès. Une femme est morte en mettant au monde son enfant.
C'est l'occasion de retrouvailles. Femmes HIMB discussion. KAOKOLAND. NAMIBIE.

© Maurice Chatelain

<center>J'ai décompté, en deux jours, plus de 20 serpents morts.<br>
Tous les villages ont des trottoirs si hauts que ces animaux<br>
ne peuvent les franchir : ce sont de véritables murs.

© Maurice Chatelain

<center>Tout au fond le village de Valnontey. Cette image permet de mesurée la largeur de cette vallée.<br>Dans son prolongement la vallée de Cogne. Vallée de Valnontey. Vallée de Cogne. Aoste. Italie.

© Maurice Chatelain

<center>
Petit village en vallée de Cogne. A ce moment de l'année,
<BR> les habitants n'occupent pas leur maison. Village; neige; Vallée de Cogne; Aoste

© Maurice Chatelain

<center>
Situé dans le village de Valnontey, l'hôtel Herbetet, entouré<br>
de larges prairies fleuries, offre sa façade à la chaine <br>
du Grand Paradis. Sa terrasse est un havre de Paix. Hôtel hezrbetet Cogne AOSTE

© Maurice Chatelain

<center>
Calme et reposant, ce petit village est contiguë à celui de Tignet.<br>
C'est le point de départ de randonnées vers le col du Lauson,<br>
entre Grivola et Herbetet. NEX le village. Valsavarenche

© Maurice Chatelain

<center> 1701 année de la construction de cette maison. <br>
L'ami Louis est l'un des trois habitants qui demeurent toute l'année au village de Valnontey, ferme à Valnontey. Vallée, de Cogne. AOSTE

© Maurice Chatelain

 Village de Valnontey. Aoste. Vallée de cogne.

© Maurice Chatelain

<center> C'est aussi le nom du meublé de Luciana, Lou Tsantelat à Valnontey, Meiblé "Lou Tsantelat "  Vallée de Cogne. Village de Valnontey. Aoste.

© Maurice Chatelain

<center> 
Au premier plan Lou Tsantelet ; au fond, l'hôtel HERBETET<br>
(le plus imposant), équipé pour accueillir les personnes handicapées. Hôtel Herbetet à Valnontey. Vallée de Cogne. Aoste.

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

 image noir et blanc.brume matinale.le village de Valnontey.

© Maurice Chatelain

<CENTER>Le village de Valnontey est resté authentique. village de Valnontey, Vallée de COGNE (AOSTE) GRAND PARADIS

© Maurice Chatelain

<center>Ses maisons paysannes sont très photogéniques.

 Vieux, village  du Val de Rhèmes. Détails des murs. construction d'époque. Aoste.

© Maurice Chatelain

<center> Trouvé dans cet état, dans un fossé à la sortie <br>
d'une buse pour l'écoulement de l'eau.<br> 
Ici, aux alentours du village où je me trouve,<br>
 il y a de nombreuses battues pour détruire ce pauvre mammifère. <br>
Pensez... il risque de grignoter les quelques faisans et autres lapins<br>
de garenne qui survivent péniblement sur des terres <br>
qui dorénavant ressemblent à des déserts. Carcasse de Renard mort au bord d'une petite route.

© Maurice Chatelain

<center>
Il saute du lit de bon matin, et ne part que si son esprit est net, <br>
son coeur pur, son corps léger comme un vêtement d'été. <br>
Il n'emporte point de provisions. Il boira l'air frais en route <br>
et reniflera les odeurs salubres.<br>
Il laisse ses armes à la maison et se contente d'ouvrir les yeux.<br>
Les yeux servent de filets ou les images s'emprisonneront<br>
d'elles-mêmes. La première qu'il fait captive est celle du chemin<br>
qui montre ses os, cailloux polis, et ses ornières, veines crevées,<br>
entre deux haies riches de prunelles et de mûres. <br>
Il prend ensuite l'image de la rivière. Elle blanchit aux coudes<br>
et dort sous la caresse de saules. Elle miroite quand un poisson<br>
tourne le ventre, comme si on jetait une pièce d'argent, et, <br>
dès que tombe une pluie fine, la rivière a la chair de poule.<br> 
Il lève l'image des blés mobiles, des luzernes appétissantes<br>
et des prairies ourlées de ruisseaux. Il saisit au passage le vol<br>
d'une alouette ou d'un chardonneret. Puis il entre au bois. <br>
Il ne se savait pas doué de sens si délicats. Vite imprégné<br>
de parfums, il ne perd aucune sourde rumeur, et, pour qu'il<br>
communique avec les arbres, ses nerfs se lient aux nervures<br>
des feuilles. Bientôt, vibrant jusqu'au malaise, il reçoit trop, <br>
il fermente, il a peur, quitte le bois et suit de loin les paysans<br> 
mouleurs regagnant le village. Dehors, il fixe un moment, <br>
au point que son oeil éclate, le soleil qui se couche et dévêt<br>
sur l'horizon ses lumineux habits, ses nuages répandus pêle-mêle.<br> 
Enfin, rentré chez lui, la tête pleine, il éteint la lampe et longuement,<br>
avant de s'endormir, il se plaît à compter ses images. Dociles, <br>
elles renaissent au gré du souvenir. Chacune d'elles en éveille<br>
une autre, et sans cesse leur troupe phosphorescente s'accroit<br>
de nouvelles venues,comme des perdrix poursuivies et divisées <br>
tout le jour chantent le soir, à l'abri du danger, et se rappellent<br>
 aux crues des sillons. ( Jules Renard 1896) Jules Renard écrivain français. Histoires Naturelles lithographie de Henri de Toulouse Lautrec. 1896. PRESSES UNIVERSITAIRES DE FRANCE. COLLECTION SOURCES.

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

<center>La Vallée d’Aoste…Territoire autonome et francophone ô combien riche d’histoire, de culture, de nature sauvage qu’un livre seul ne pouvait suffire à tout décrire. <br>Telle fut la gageure relevée afin d’offrir une approche des différentes facettes de cet univers montagnard par excellence.<br>7 zones ont été délimitées. Chacune comporte une description générale, allant de l’histoire aux traditions populaires en passant par la découverte de paysages grandioses. <br>Toutes se composent de sentiers de randonnées –33 au total—dont les niveaux variés de difficultés permettront à chacun de choisir les plus adaptés. Ils peuvent être abordés à la belle saison mais quelques-uns révèleront leur attrait s’ils sont effectués en hiver. Photos et cartographie illustrent cet ouvrage pour mieux inviter à la magie du voyage pédestre, voguant de villages singuliers en <br>"Via francigena", de châteaux séculaires en sentiers royaux, de folklore typiques en gastronomie traditionnelle, de flore luxuriante en faune préservée, de glaciers éternels en torrents impétueux.<br> Autant de charmes valdôtains qui concourent à l’émerveillement, à la flânerie, à l’observation, au bonheur. <br>En somme, à vivre l’instant présent en cette terre au grand cœur. Paradis sauvages en Vallée d'Aoste. maurice chatelain ouvrage. Editions Rossolis Suisse

© Maurice Chatelain

<center>La porte d'entrée. C'est dans ce village que j'ai choisi<br>
            de remettre les fournitures scolaires que je ne manque<br> 
            jamais d'acheter et d'emporter avec moi où que j'aille. Porte d'entrée d'une écoleINDE

© Maurice Chatelain

<center>
J'ai déplacé ce pauvre Mustélidé qui, encore une fois,<br>
a eu le tort de quitter son terrier. Sa tête blanche, <br>
coupée de deux raies noires sont ici bien visibles... <br>
Puis, je l'ai déposé dans le fossé qui borde la nationale 10,<br>
 juste à la sortie de mon village. Blaireau mort sur la route.

© Maurice Chatelain

Les femmes sont chargé de la corvée de bois.
Le chemin est long encore jusqu'à son village. Coprvéé de bois. femme HIMBA. KAOKOLAND. NAMIBIE.

© Maurice Chatelain

Elle s'est rendu compte que j'allais la prendre en photo.
C'est pourquoi elle se retourna. Femme HIMBA entrée du kraal.

© Maurice Chatelain

Près du village, cette renarde a choisi un endroit inhabituel pour élever sa nichée. 
<BR> <a href="https://www.youtube.com/watch?v=w2YaXzBbY-0" target="_blank"><B>Cliquez ici pour voir la vidéo "Du côté de chez Manu"</B></a> Bretagne, renard, renardeau, poule, nichée

© Jacky Bernard

Les Inuits ont pris conscience qu'il fallait transmettre leur savoir et leur culture aux plus jeunes, aussi chaque hiver construisent ils des igloos à proximité du village.

© Pierre Vernay

© Pierre Vernay

© Pierre Vernay

© Pierre Vernay

© Pierre Vernay

© Pierre Vernay

Peu de villages ont leur école. Le poids de la tradition "morane" reste important, malgré l'opposition de l'Etat. Cependant tous les Masaïs ne se destinent pas à devenirs pasteurs. Certains partent à la ville pour travailler dans le commerce ou le tourisme... masai,ethnie,ecole,kenya,tanzanie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Visite d'une "manyatta" (regroupement rural) au Kenya. Accueil par les femmes Masaïs du village. Elles jouent un rôle important dans la société. Outre l'éducation des enfants, elles ont en charge la construction et l'entretien des cases, la cuisine, la fabrication des objets de consommation courants - étoffes, sandales de cuir, récipients... Lorsque la tribu déménage à la recherche de pâturages plus verdoyants pour le bétail, elles préparent et transportent les rares bagages de la famille... village,masai,kenya,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

A quelques kilomètres d'Opuwo, capitale du Kaokoland, dont le nom signifie "la fin", rencontre avec les Himbas, dans un village qui regroupe une cinquantaine de personnes. Les Himbas, au nombre de 10 000 individus se répartissent entre la Namibie (2/3) et l'Angola (1/3). Ils sont rattachés à l'ethnie Herero et appartiennent au groupe linguistique Bantou. Ils vivent sur un territoire immense, sauvage, impénétrable, arrosé par la rivière Kunene... Sur cette vue on peut observer que les femmes vivent poitrine nue et portent des jupes traditionnelles, formées de plusieurs couches de peaux de chèvres... himbas,kaokoland,namibie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Ihèrir est un bourg paisible à 200 km de Djanet. Ce village est surtout habité par les femmes, les enfants et les vieillards, les hommes travaillant dans les villes de Djanet et de Illizi. Vue sur l'oasis d'Ihèrir. "Aman iman" ou "l'eau c'est la vie" dit un proverbe touareg. iherir,tassili,n ajjer,algerie.

© Jean-Claude FOURNIER

A proximité d'Ihèrir et de gueltas verdoyantes, on peut découvrir un village aujourd'hui abandonné, qui fut pendant des années le village d'été des habitants d'Ihèrir. Quelques rares familles viennent récolter les dattes sur ces lieux, mais n'y habitent pas... idaren,iherir,tassili,n ajjer,algerie.

© Jean-Claude FOURNIER

 idaren,iherir,tassili,n ajjer,algerie.

© Jean-Claude FOURNIER

 arbore,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

Les Borana sont musulmans, mais ont conservé de nombreux rites animistes. Ce vieillard est le sage du village. Il est aussi le seul à avoir accompli le pèlerinage à la Mecque, ce qui lui confère autorité et prestige au sein de sa communauté. borana,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

L'ethnie Konso, qui regroupe 200 000 âmes, vit dans le sud de l'Ethiopie, à 1500 mètres d'altitude. Agriculteurs, les Konso ont organisé leurs parcelles en ingénieux systèmes d'irrigation et de cultures en terrasse. Ils produisent du coton, des céréales, des fruits et des légumes... konso,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

Au niveau du village Konso de Ghersegio, découverte d'une curiosité géologique : le ravinement et l'érosion ont créé une gorge d'environ 80 mètres de profondeur, aux flancs abruptes et déchiquetés. La population locale appelle ce site "New York" en référence à une forêts de buildings !!! konso,ghersegio,erosion,falaise,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

Les Arboré sont environ 5500. Leurs villages sont installés sur les berges du fleuve Weito. Les crues saisonnières de ce dernier enrichissent les terres, en déposant du limon, favorisant la culture du sorgho et du maïs, offrant de bons pâturages au bétail... arbore,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

Petit village de maisons en bois, accroché à la montagne et situé à 100 km de Guilin, Longsheng regroupe les minorités Zhuang et Yao. longsheng,ethnies,zhuang,yao,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

Vu dans le village de Kaijue, dans la province du Guizhou. greniers,riz,guizhou,kaijue,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

Tous les villages de la minorité Dong ont été construits au bord d'une rivière ou d'un fleuve et reliés à l'extérieur par un pont couvert, appelé "pont du vent et de la pluie". Celui de Chengyang, construit au début du 20ème siècle est l'un des plus célèbres. Il est constitué de plusieurs pavillons reliés par un long couloir permettant aux villageois de s'abriter et d'échanger. Cet édifice répond à 5 critères : ni fondation, ni échafaudage, ni clous, ni liens, ni mortier ! dong,ethnie,chengyang,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

Au cœur du village, on aperçoit la tour du tambour, édifice original, propre à l'ethnie Dong. Elaborée en bois, sans recours au clou, la tour sert de lieu de rassemblement, de banquets, de distractions collectives et aussi de lieu de rendez-vous pour les amoureux... dong,ethnie,zhaoxing,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

New York est une ville très contrastée. A quelques pas des buildings géants du centre de Manhattan et de sa vie trépidante, Greenwich Village affiche sa sérénité, son calme et la beauté de ses rues et de ses habitations de couleur ocre ou blanche... Greenwich,village,new,york.

© Jean-Claude FOURNIER

Au nombre de 700 000, les Dogon vivent sur la falaise de Bandiagara, une longue chaîne de grès, située à l'est du fleuve Niger, étendue sur 200 km. Originaires du Mandé, ils seraient arrivés dans cette région au XVème siècle. Les Dogon sont majoritairement des cultivateurs. Certains sont forgerons ou tisserands. Les Dogon sont réputés pour leur cosmogonie et leurs sculptures... dogon,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

traditionnellement, le village Dogon est implanté en haut de la falaise, pour mieux surveiller les alentours et se protéger des ennemis. dogon,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Ce lieu est aussi appelé case à palabres. Il est exclusivement réservé aux hommes, après la circoncision. C'est un lieu de rencontres, d'échanges où se prennent les décisions relatives au quartier ou au village. Le plafond est bas (1,20 m environ) pour interdire à l'homme en colère de se lever brusquement et de partir. La vraie parole est celle prononcée assise. Les Dogon désertent le toguna au coucher du soleil pour laisser l'esprit des ancêtres envahir les lieux... dogon,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Dans chaque village Dogon, existe une maison appelée "Ginna Banga", qui est celle du chef spirituel de la communauté. Mais chaque quartier a son propre "Ginna". La construction se distingue par une façade composée de niches, qui abritent des poteries et ustensiles ayant appartenus aux ancêtres, et une terrasse, accessible par une échelle taillée dans un tronc d'arbre, sur laquelle se trouve l'autel des ancêtres (Wagem). dogon,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Lors du décès, le corps du défunt est lavé avant d'être déposé dans les failles d'une falaise, qui sert de cimetière. L'âme reste dans le village. Quelques mois plus tard, des funérailles sont organisées. L'âme va errer dans les alentours. 3 à 5 ans plus tard, une cérémonie collective avec défilé et danses masquées va marquer la fin du deuil. L'âme rejoint alors les ancêtres... dogon,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

C'est un des plus jolis villages Dogon, avec de merveilleux greniers et des maisons à terrasse. Songo est réputé pour sa grotte aux circoncis et pour le travail de ses tisserands... dongo,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Pour entrer dans le monde des hommes et intégrer la société Dogon, les enfants âgés de 7 à 12 ans, doivent se soumettre à la cérémonie de la circoncision, qui se déroule dans une grotte à l'écart du village. Ce lieu est interdit aux femmes et aux enfants non circoncis. La personne chargée de la circoncision est un cultivateur ou un forgeron, qui détient cette charge de son père. Après l'opération, les jeunes sont astreints à une retraite d'un mois, à l'abri des regards. Les peintures de la grotte sont faites de trois couleurs : le blanc symbolise le bonheur, le rouge, le sang et le noir les aliments qui sont à l'intérieur du corps... dogon,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

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© Jean-Claude FOURNIER

On rencontre le long du fleuve Niger, de nombreux villages de pêcheurs Bozo. niger,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

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© Jean-Claude FOURNIER

 mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Au nombre de 3500, ils vivent sur des îles flottantes bâties en roseau (totora), posé sur des pilotis faits de troncs d'eucalyptus. Le sol du village, l'habitat, les écoles et même les barques sont construits en roseau, un matériau éphémère qu'il faut renouveler régulièrement, car il pourrit au terme d'une période de 6 à 9 mois. Qui sont les Uros ? On raconte que lorsque les Incas établirent leur domination, ils déplacèrent cette population vers d'autres régions, puis découragés par leur incapacité à travailler, finirent par les "parquer" dans leurs îles d'origine, où peu à peu la race s'éteignit. Le dernier des Uros aurait disparu au milieu du XXème siècle. Les habitants de ces îles seraient des descendants métissés d'Uros, Aymaras et Quechuas, qui se font passer pour des Uros pur sang !!! Titicaca,uros,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

Inscrit au patrimoine mondial de l'humanité depuis 1995, Shirakawa-Gô, village de la rivière blanche, situé au nord de Nagoya, dans la vallée de Shokawa, se singularise par l'architecture de ses maisons en bois, aux toits de chaume très pentus, destinés à supporter les chutes de neige et ressemblant à des mains jointes en prière. shirakawa,go,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Vue du haut de l'hôtel de ville de Tôkyô. Avec sa banlieue, Tôkyô compte 37 millions d'habitants. En 1603, c'était un village de pêcheurs, appelé Edo. En 1868, au début de l'ère Meiji, qui marque le passage du Japon féodal au Japon moderne, l'empereur déplace sa résidence officielle de Kyôto à Edo, qui prend le nom de Tôkyô et devient la capitale politique et économique du Japon. D'un profil à dominante horizontale, la maison individuelle constitue l'élément prégnant du paysage urbain, mais la mégalopole tente de se développer de façon plus verticale. C'est le cas du quartier de Shinjuku qui est devenu un petit Manhattan. tokyo,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Le temple Dzongdrakha, appelé petit nid de tigre est un complexe monastique accroché à la montagne. Les hommes qui habitent ce village sont des moines n'ayant pas fait vœux de célibat. Les femmes travaillent aux champs et font vivre la famille. Ayant reçu la visite du Gouru Rinpoche, ce site compte désormais parmi les sites religieux majeurs du pays. dzongdrakha.bhoutan.

© Jean-Claude FOURNIER

 gangtey,bhoutan.

© Jean-Claude FOURNIER

Au cours des années 2011 et 2012, les fortes pluies qui se sont déversées sur Baringo ont contribué à faire monter les eaux de plus de huit mètres, engloutissant une partie du village et transformant profondément l'environnement. baringo,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

Pasteurs nomades, les Masaïs se nourrissent du lait, de la viande et du sang de leurs animaux. Leur vie sociale est découpée en cycles et rites : le passage de l'adolescence à l'âge adulte est marqué par la circoncision (le jeune devient "morane", quitte village et famille, pour apprendre le métier de pasteur et de guerrier). "L'eunoto" 7 ans plus tard met un terme au moranisme, permettant au jeune de se marier et de conduire son propre troupeau. Sept ans plus tard, il peut accéder au rang d'ancien, participer au Conseil. Seuls les devins appelés "laidons" peuvent prétendre représenter le Dieu Enkai et diriger le clan... ethnie,masai,kenya,tanzanie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Le culte de Bouddha atteint parfois la démesure. Dans le village de Khatakan Taung, à quelques kilométres de Monywa, une statue géante de Bouddha, de 129 mètres de hauteur, s'élance vers le ciel. Elle fut édifiée entre 1996 et 2008 et financée par les dons des fidèles... bodhi,taung,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

L'ethnie Dorze occupe un territoire de 30 km2 à l'ouest du lac Abaya et sur les versants du mont Gughe. Elle est réputée pour son savoir faire dans le tissage des chammas en coton (sorte de toge portée en drapé autour de la taille). Le présent cliché nous montre une vieille femme filant la laine. Rencontre au village de Chencha. dorze,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

Les Himbas sont des nomades, qui font l'élevage des bovins, des moutons et des chèvres, se déplaçant d'un point d'eau à l'autre. Ils changent de pâture une dizaine de fois l'an. Le bétail structure toute l'organisation socio-économique. Il procure la nourriture principale sous forme de lait ou de viande. Certains Himbas sont semi-nomades et pratiquent la culture du maïs. himba,namibie.

© Jean-Claude FOURNIER

Malgré le développement du tourisme, la proximité des villes ouvertes sur le monde moderne, les Himbas sont restés attachés à leur mode de vie ancestral. Les missionnaires n'ont pas réussi à les convertir à la religion chrétienne. Ils ne sont jamais arrivés à convaincre les femmes Himbas de couvrir leur poitrine. Les Himbas sont restés animistes, pratiquant le culte des ancêtres, faisant référence à Makuru, créateur de toutes choses. Le feu sacré -okuruwo - qui ne doit jamais s'éteindre, et dont le chef de village est le gardien, sert de lien entre les vivants et les morts... himba,namibie.

© Jean-Claude FOURNIER

Ce groupe ethnique, au nombre de 2,6 millions individus, réside dans les terres montagneuses du sud-ouest et sud de la Chine. La religion est basée sur l'animisme, mais beaucoup de Yao ont été convertis au bouddhisme et au christianisme. L'image ci-dessus, réalisée dans le village de Huangluo Yao, lors d'un spectacle, met en évidence la longue chevelure des femmes Yao. Ces dernières ne coupent leus cheveux que 2 fois dans leur vie, à 18 et à 38 ans. Lorsqu'elles se coiffent, certaines femmes ajoutent à leur chevelure des mèches reçues en héritage de leur mère ou grand-mère. Pour la minorité chinoise Yao, les cheveux sont le symbole de la beauté... yao,ethnie,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

Les Gejia, rencontrés dans le village de Matang, sont assimilés par les autorités chinoises à l'ethnie Miao. Au nombre de 50 000, ils vivent dans l'est de la province du Guizhou et sont réputés pour leur savoir faire en batik... gejia,ethnie,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

Les habitudes vestimentaires marquent le statut social des habitants. Le bonnet blanc et rouge est porté par les hommes mariés, le rouge uni permet d'identifier le célibataire. Le "leader" du village porte un bonnet en feutre noir.
Les femmes mariées sont toutes vêtues de noir. Les femmes célibataires portent des décorations sur le bas de leurs jupons. Titicaca,taquile,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

 portrait,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

© Sandrine MARBACH

 vue aérienne, éguisheim, village fortifié, rempart, vignoble alsacien, haut-rhin, alsace

© Sandrine MARBACH

 village, malgache, madagascar

© Sandrine MARBACH

 village malgache, enfants, madagascar

© Sandrine MARBACH

 village, port de pêche, sine saloum, missirah, sénégal, afrique de l'ouest

© Sandrine MARBACH

© Sandrine MARBACH

© Sandrine MARBACH

 

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