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Recherche sur le(s) mot(s) clé(s) : tiques

Résultat de la recherche : 1 page(s) 49 photo(s)

 

 

 

© Maurice Chatelain

<center> Nous devons permettre à la biodiversité de se rétablir dans les Océans.<br>
Le plastique
Divers déchets tels que les emballages, bouteilles en plastiques ou autre sont souvent pris pour nourriture par les gros poissons, <br>tortues de mer ou même par les mammifères comme les phoques ou les dauphins, cela prennent les sacs en plastiques pour des méduses<br> dont ils se nourrissent, ils les avalent et s’étranglent. <br>Cent mille mammifères marins, un million d’oiseaux de mers meurent ainsi chaque  année.<br> Il y a aujourd’hui 100 fois plus de déchets sur les plages que voila seulement 10 ans et une bouteille ou un sac en plastique jeté à la mer vont mettre des siècles pour se dégrader alors penser bien à jeter ou ne pas laisser d’ordures sur les plages et faites l’effort de ramasser celles qui s’y trouve et qui vont venir polluer cette mer que nous aimons et dont nous avons tant besoin <br>. 17 milliards de sacs en plastiques sont fabriqués chaque année en France mais sont de plus en plus prohibés <br>il y a tellement d'autres solutions avec les sacs auto dégradables, les sacs solides les sacs réutilisables et payant les sacs thermoplastique, sacs en papier recyclé en tissu et tant d'autres. (Source: http://www.bien-etre-et-ecologie.com)
 Solution des mers...Déchets plastiques...

© Maurice Chatelain

Loïc VAISSIERE paysages baies bleus jets mers rochers falaises basaltiques iles archipels galapagos equateur amerique sud oceans pacifique

© A&L Vaissiere & JJ Poirault

Loïc VAISSIERE oiseaux sphéniscidés faune colonies adultes accouplements couples royal iles archipels malouines falkland royaume uni amerique oceans atlantique sud

© A&L Vaissiere & JJ Poirault

<b>Pygoscelis papua.</b> Grand plongeur, il peut descendre jusqu'à 150 m. de profondeur. Sa distribution est circumpolaire, sur les îles subantarctiques situées entre les 46° et 65° de latitude sud. Manchot papou, Pygoscelis papua, sphéniscidé habitant les îles subantarctiques.

© Yves Vallier

<b>Pygoscelis papua.</b> De retour à la colonie, l'adulte nourrit le jeune d'une bouillie prédigérée de poissons et crustacés. Manchot papou, Pygoscelis papua, hémisphère sur, îles subantarctiques et Iles Falkland.

© Yves Vallier

<b>Diomedea melanophris.</b> Le jeune albatros quitte le nid à l'âge de 4 mois, puis erre dans les mers du sud durant 5 à 7 ans avant de se reproduire. Albatros à sourcils noirs. Diomedea melanophris. Diomedeidés. Iles Falkland et subantarctiques.

© Yves Vallier

<b>Diomedea melanophris.</b> D'un vol plané, utilisant sa grande envergure proche des 2,30 m., sans un battement d'ailes, il parcourt de grandes étendues, au raz des vagues, volant pour la quête de sa nourriture, mais souvent par simple plaisir. Albatros à sourcils noirs. Diomedea melanophris. Diomédéidés. Iles Falkland et subantarctiques.

© Yves Vallier

<b>Eudyptes chrysocome.</b> Cette espèce a subi depuis 1900 de lourdes pertes, dues à son exploitation pour en retirer sa graisse, au ramassage des oeufs, mais aussi, plus récemment, par une baisse de sa principale source de nourriture, le krill, suite probablement à un réchauffement des eaux. Gorfou sauteur. Eudyptes chrisocome. Manchot des îles Falkland et subantarctiques.

© Yves Vallier

<b>Eudyptes chrysocome.</b> Il se déplace par petits bonds et gravit les falaises par des itinéraires pratiqués depuis des générations de gorfous. Gorfou sauteur, Eudyptes chrisocome, manchot des îles Falkland et subantarctiques.

© Yves Vallier

<b>Eudyptes chrysocome.</b> Les colonies sont situées assez loin de la mer, souvent sur les plateaux de falaises. Les jeunes âgés d'une vingtaine de jours sont regroupés en crèches, puis quittent la colonie un mois et demi après environ. Gorfou sauteur, Eudyptes chrisocome, manchot des îles Falkland et subantarctiques.

© Yves Vallier

<b>Aptenodytes patagonica.</b> Les jeunes vêtus d'un duvet soyeux vont devoir affronter leur premier hiver avec son cortège de pluies et de vents glacés. Manchot royal, Aptenodytes patagonica, habitant l'hémisphère sud, les Iles Falkland et subantarctiques.

© Yves Vallier

<b>Aptenodytes patagonica.</b> Mue après la période de reproduction. Il peut descendre jusqu'à 300 m. de profondeur pour capturer poissons et céphalopodes au cours d'apnées de plus de 6 minutes. Manchot royal, aptenodytes patagonica, manchot des îles Falkland et subantarctiques.

© Yves Vallier

Côte granitique Corse Calanches de Piana formation granitiques en Corse

© Yves Vallier

<b>Aptenodytes patagonica.</b> Après avoir été massacrée durant des dizaines d'années, l'espèce a reconstitué aux Iles Falkland une colonie de quelques 400 individus. Dans les îles subantarctiques, les rassemblements comptent plusieurs milliers de têtes. Manchot royal colonie, Aptenodytes patagonica. Manchot habitant les îles Falkland et les îles subantarctiques.

© Yves Vallier

A l'automne dans la région du Scoresbysund, on trouve de temps à autre , des myrtilles savoureuses et sucrées.

© Pierre Vernay

© Pierre Vernay

© Pierre Vernay

© Pierre Vernay

© Pierre Vernay

© Pierre Vernay

(Macaca fuscata) C'est une activité courante chez les singes qui consiste à traquer chez leur congénère puces, tiques et autres parasites. Cette action est aussi la marque d'un lien social très fort. macaques,japon

© Jean-Claude FOURNIER

(Francolinus coqui) Cet oiseau habite les savanes herbeuses et à acacias, parsemées de buissons ou arbustes et se nourrit de graines, jeunes feuilles, scarabées, tiques et fourmis... Sur cette vue, il s'agit d'un Francolin à poitrine barrée mâle. La femelle est reconnaissable à la ligne blanche sur l'oeil et à la gorge blanche bordée de noir. coqui,francolin,masai,mara,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

(Pitangus sulphuratus) Ce petit oiseau très populaire au Brésil consomme des centaines d'insectes par jour, mais aussi des fruits, des tiques, des vers, des crustacés... C'est aussi un prédateur des abeilles pouvant nuire à l'apiculture. Il joue un rôle important dans la dispersion des semences... tyran,quiquivi,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

(Passer domesticus) Moineaux domestiques. moineaux,domestiques,france.

© Jean-Claude FOURNIER

(Buphagus africanus) Les Pique-boeufs à bec jaune ont envahi le corps du bufle. Double avantage : le transport gratuit et une nourriture abondante de tiques et de mouches ! bufle,pique-boeufs,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

(Buphagus africanus) Le Pique-boeuf et le Bufle sont inséparables. L'oiseau trouve sur le mammifère un véritable garde-manger. Le Buffle apprécie d'être débarrassé des tiques et des mouches qui investissent son cuir... buffle,pique,boeuf,masai,mara,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

 
 Iceland 
 Islande 
 benoit feron ©

© Benoit FERON

 
 Iceland 
 Islande 
 benoit feron ©

© Benoit FERON

 
 Iceland 
 Islande 
 benoit feron ©

© Benoit FERON

Ilots granitiques dans le Kalahari - Makgadikgadi pans - Botswana 
 Ilots granitiques 
 désert 
 Kalahari - Makgadikgadi pans - Botswana

© Alain Pons

<br><br>Autre nom français du Lapin de garenne : Lapin commun
<br>Nom anglais : European rabbit
<br><br>Mammifère classé dans l'ordre des lagomorphes, le lapin de garenne est localement considéré comme envahissant en raison de sa densité de population ou plutôt des dégâts qu'il peut parfois occasionner sur l'agriculture et la sylviculture. Mais pour des raisons entre autre cynégétiques, il a pourtant aussi disparu d'une vaste partie de son ancienne aire de répartition, et l'UICN l'a dès 2007 considéré comme <b>" Espèce quasi menacée de disparition"</b> (NT).
<br>La dégradation et la fragmentation de son habitat, la mortalité routière ainsi que des maladies telles que la myxomatose, le virus hémorragique, etc. ont également contribué à la régression des populations du Lapin de garenne.
<br><br>Malgré tout, en France et sous la pression des chasseurs et des agriculteurs, le Lapin de garenne alors qu'ayant localement fortement régressé voire même disparu est inscrit sur la liste des animaux susceptibles d'êtres classés nuisibles. Et pourtant, les organisations cynégétiques qui ne peuvent se passer de ce petit "gibier" facile procèdent régulièrement à des réintroductions qui n'empêchent d'ailleurs pas son déclin. Cherchez l'erreur...
<br><br>Le Lapin de garenne se trouve sur :
<br>- La Liste rouge mondiale de l'UICN (évaluation 2008) : NT
<br>- La Liste rouge des mammifères continentaux de France métropolitaine (2009) : NT
<br>- La Liste rouge européenne de l'UICN (évaluation 2007)  : NT
<br><br>
 Lapin de garenne
Lapin commun
Oryctolagus cuniculus
European rabbit
Espèce quasi menacée de disparition
Liste rouge 
UICN
France
chasseurs
cynégétiques

© Monique Morin

<br><br>Nom anglais : Edidle Frog
<br>Des espèces exotiques, euro-méditerranéennes, ont fait l'objet d'introductions et menacent par la pollution génétique les espèces de Grenouilles vertes indigènes, ce qui engendre à terme la perte d'un patrimoine.
<br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)
<br><br> Grenouille verte
Rana esculenta  
Edible Frog 
Allier
Auvergne
grenouille
espèces exotiques
espèces indigènes
introductions
menace

© Monique Morin

<br><br>La maïsiculture est très consommatrice d'eau (irrigation). Or, le Sanglier a impérativement besoin d’humidité et d’eau. D'une part, parce qu'il consomme beaucoup d’aliments secs tel que des graines, des fruits durs... ce qui l’oblige à boire beaucoup. D'autre part, parce qu'il a pour habitude de se rouler dans des mares de boue que l'on appelle "souilles" pour se débarrasser des parasites qu'il transporte. Cette boue joue un rôle essentiel pour le Sanglier, car en séchant sur son poil, elle emprisonne les tiques et les poux dans une croûte de terre.
<br><br>Depuis 2008, le Sanglier est inscrit sur la Liste rouge mondiale de l'UICN.
<br>Depuis 2009, il est également inscrit sur la Liste rouge des mammifères continentaux de France métropolitaine.
<br><br>Jeune Sanglier en mue sorti d'une souille
<br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne) Sanglier
Sus scrofa
Wild Boar
mammifères 
maïsiculture
eau
souilles
Liste rouge
France
Allier
Auvergne

© Monique Morin

<br><br>Nom anglais du Hérisson d'Europe : European Hedgehog
<br>Autres noms français : Hérisson commun, Hérisson d'Europe occidentale, Hérisson d'Europe de l'Ouest ou plus simplement Hérisson ordinaire ou « hérisson » tout court
<br>L'un de ces deux jeunes hérissons avait une patte blessée. Celle-ci a guéri après deux jours de soins.
<br><br>L'espérance de vie du hérisson :
<br>Les quatre premières semaines de la vie d'un hérisson sont souvent les dernières. Vingt pour cent des jeunes environ disparaissent avant d'avoir quitté le nid. Après un an, il ne subsiste que 30 % de la portée. S'ils passent ce cap, les jeunes ont de bonnes chances de survie jusqu'à 4 ou 5 ans. Cette survie dépend de la quantité de nourriture qu'ils vont pouvoir trouver. Environ quatre individus sur mille atteignent l'âge de 10 ans, mais il est rarissime qu'un hérisson vive plus longtemps.
<br><br>Les principales causes de la mortalité du Hérisson d'Europe sont :
<br>Les intoxications chimiques et le trafic routier. Mais il existe de nombreux autres facteurs de disparition de ce petit mammifère. Plusieurs études ont permis de mieux les connaître. 
<br><br>* Les intoxications chimiques (26 % des cas). Par l'ingestion de nourriture contaminée par des herbicides ou des pesticides (utilisés au jardin, dans les parcs ou dans les cultures). L'essentiel des menus du hérisson consiste en mollusques (limaces, vers de terre, escargots) et arthropodes en tous genres (coléoptères, hannetons, charançons, bousiers, perce-oreilles et autres carabes. Il mange également des araignées, des vers de terre et des sauterelles, des chenilles et des mille-pattes). Drôle de remerciement pour ce véritable ami du jardinier ;
<br><br>* Les morts sur la route (24 % des cas). Souvent dus à la vitesse excessive des véhicules. Le hérisson a une vie essentiellement nocturne. De nuit, au delà de 80 km/h et à fortiori de 90, il est difficile à percevoir dans le faisceau des phares et donc de l'éviter ;
<br><br>* Le parasitisme (18 % des cas). Mouches (larve), puces, tiques et autres acariens. Un hérisson dehors en pleine journée est exposé aux attaques des mouches. Elles pondent sur l'animal. En se développant, les asticots se nourrissent de sa chair et le malheureux meure en d'atroces souffrances ;
<br><br>* La mort par épuisement (13 % des cas). La mort par épuisement concerne souvent des jeunes hérissons, dont la mère a disparu (morte ou "enlevée"). Incapables de se nourrir, ils meurent de faim. Des adultes pris au piège dans des fosses, des caniveaux y périssent aussi d'inanition. Il en est de même pour les hérissons pris dans des filets de protection pour les cultures. Dans les régions viticoles, par exemple, les hérissons périssent par dizaines chaque automne ;
<br><br>* La prédation (9 % des cas). Les prédateurs naturels du hérisson sont le blaireau, le hibou grand-duc, le renard, le sanglier, la buse et la fouine. Signalons comme autres prédateurs le chien et très rarement le chat ;
<br><br>* Autres causes (10 % des cas). Les maladies infectieuses, les accidents divers (noyade dans les trous et les piscines), les blessures, la disparition du bocage, la disparition des petits bois, le cloisonnement de nos jardins, les actes de cruauté ainsi que la vieillesse, etc. Cette dernière possibilité est désormais bien rare.
<br><br>Depuis 2008, le Hérisson d'Europe est inscrit sur la Liste Rouge mondiale de l'UICN.
<br>Depuis 2009, il est également inscrit sur la Liste Rouge des mammifères continentaux de France métropolitaine. 
<br>Il est protégé :
<br>- Au niveau international par la Convention de Berne : Annexe III
<br>- Au niveau national par le Code de l'environnement : Arrêté du 23 avril 2007 - Mammifères protégés - Article 2
<br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)
<br><br> Hérisson d'Europe
Erinaceus europaeus
European Hedgehog 
mammifères
France
Auvergne
Allier
Jeune
Liste rouge
protégé

© Monique Morin

© Monique Morin

 grèbe castagneux, tachybaptusruficollis, oiseau, vertébré, France, étang

© Daniel MAILLARD

 grèbe castagneux, tachybaptusruficollis, oiseau, vertébré, France, étang

© Daniel MAILLARD

 grèbe castagneux, tachybaptus ruficollis, oiseau, vertébré, France, étang

© Daniel MAILLARD

Petite joute territoriale entre deux Sternes arctiques (Sterna paradisaea) Sterne arctique, Sterna paradisaea, oiseau pélagique, oiseau migrateur, piscivore, charadriiforme, chorégraphie, ballet aérien

© Eddie ROY

Hirondelles rustiques juvéniles (Hirundo rustica) Hirondelle rustique

© Eddie ROY

Hirondelles rustiques juvéniles (Hirundo rustica) Hirondelle rustique juvénile

© Eddie ROY

Mon père...ce héros ! (Mâle Moineau domestique et son petit : Passer domesticus, Côtes d'Armor, France). Mon père ce héros, Moineau domestique et son petit

© Eddie ROY

Fratrie d'Hirondelles rustiques (Hirundo rustica) Fratrie d'Hirondelles rustiques, Hirundo rustica, passereaux, passériformes, oiseaux migrateurs en Bretagne, oiseaux insectivores, eddie roy

© Eddie ROY

Parade amoureuse Sternes arctiques (Sterna paradisaea) Parade amoureuse Sternes arctiques

© Eddie ROY

Hirondelles rustiques (Hirundo rustica, Bretagne, France) Hirondelles rustiques (Hirundo rustica)

© Eddie ROY

Hirondelles rustiques (Hirundo rustica, Bretagne, France) nid Hirondelles rustiques

© Eddie ROY

Hirondelles rustiques (Hirundo rustica, Finistère, France) Hirondelles rustiques, Petite Hirondelles rustiques, oisillon d'hirondelle rustique, Hirundo rustica, passereaux, passériformes, oiseaux migrateurs en Bretagne, oiseaux insectivores, eddie roy

© Eddie ROY

Accouplement de moineaux domestique dans l'eau (Côtes d'Armor, France). Accouplement de moineaux domestique dans l'eau

© Eddie ROY

 

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