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Recherche sur le(s) mot(s) clé(s) : sociale

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L’utilisation d’un scooter est très variée et excessivement souple autant dans le domaine de la prévention que de l’intervention. Il peut se garer immédiatement sans gêner la circulation, être discret lors de la surveillance des carrefours ou des contrôles routiers…C’est également un précieux outil lors de l’encadrement ou d’escortes des mouvements de foules qu’il s’agisse de manifestations sociales ou culturelles Police municipale, ilotage, contrôle routier, missions de la police municipale, brigade equestre, chevaux, arrestation, violences urbaines, police de proximité, securité routière, brigade nautique, brigade moto, femmes dans la police municipale, eurolaser, scooter, contrôle de vitesse, fonctionnaire de police, policiers municipaux, violences, flagrant délit, tonfa, technique de self défense,

© Pascale Dubois

<b>Macaca mulatta.</b> Il vit en troupes importantes et préfère les bordures de forêts à l'intérieur inextricable, se nourrit principalement au sol et nage bien en surface ou sous l'eau parfois. On le rencontre jusqu'à 2.000 m d'altitude. L'organisation sociale se fait autour d'un mâle dominant. Macaque rhésus, singe de l'Inde.

© Yves Vallier

<b>Ultime échouage.</b> Depuis 1948, les îles font partie de la "communauté autonome dans le Royaume du Danemark". Tout citoyen danois bénéfie donc des lois de protection sociale. Ce massacre n'a alors plus aucune nécessité, en dehors de pérenniser une pratique considérée aujourd'hui comme une "tradition sportive". Chasse des globicéphales aux îles Féroé.

© Yves Vallier

Les bagnards sont « condamnés socialement » cela veut dire que même ceux qui sont volontaires ne peuvent être incorporés pour rejoindre les fronts de la guerre entre  1914 et 1918. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

(Pteronura brasiliensis) Les Loutres géantes vivent et patrouillent dans des territoires étendus, en groupes familiaux, composés d'un couple avec sa progéniture, jusqu'à trois générations. Les aînés veillent sur les plus jeunes, jusqu'à ce qu'ils atteignent l'âge de former leur propre clan. C'est lors de cette étape que les loutres sont les plus vulnérables, car elles sont expulsées du groupe et partent seules à la recherche d'un ou d'une partenaire. Elles peuvent alors devenir la proie des anacondas, des jaguars ou des caïmans... loutres,geantes,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

Les Borana sont des pasteurs semi-nomades, qui tirent leur subsistance de leurs troupeaux de zébus. Ils sont habiles à construire des puits profonds et aussi à récupérer le sel des cratères des volcans, pour le bétail. L'organisation sociale repose sur le "gada", un système de classes d'âges, déterminant la période à laquelle un homme peut se marier et devenir pére. Le non respect de cette règle est sanctionné, par une assemblée exécutive dirigée par un chef spirituel... borana,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

(Microcebus rufus) Observé de nuit, dans la réserve de Ranomafana, ce petit lémurien, d'une longueur de 12 cm (tête et corps) + 11 cm (queue) vit dans les forêts primaires et secondaires de la côte Est de Madagascar. Il se nourrit de fruits, jeunes feuilles, fleurs, insectes, gomme, nectar. Accouplement : septembre/octobre, portée : 1 à 3 petits, gestation : 2 mois, vie sociale : solitaire. microcebe,roux,madagascar.

© Jean-Claude FOURNIER

La coutume des pieds bandés en Chine remonte au Xème siècle. L'empereur avait demandé à une jeune concubine de se bander les pieds pour exécuter la danse du lotus et stimuler son désir. Bien qu'aujourd'hui interdite, cette tradition s'est perpétuée dans le temps et nombre de jeunes filles de toutes classes sociales, dans l'espoir d'acquérir richesse et distinction, ont imité depuis la maitresse de l'empereur. Le bandage commence dès le plus jeune âge, au mépris de grande souffrance et mutilation, visait à atteindre une taille idéale de 7,5 cm... Observé à Tuanshan dans la province du Yunnan. pieds,bandes,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

L'Hippopotame passe la journée dans l'eau à digérer et à se livrer aux rites de la vie sociale. Capable d'ouvrir sa gueule à 150 degrés, il est pourvu de canines impressionnantes, véritables dagues pouvant mesurer près de 60 cm et occasionner de graves blessures, lors des combats entre mâles pour la défense du territoire. L'Hippopotame est aussi dangereux pour l'homme et responsable chaque année de nombreux accidents et décès... hippopotame,okavango,botswana.

© Jean-Claude FOURNIER

Les tigres sont souvent solitaires. Leur vie sociale repose pourtant sur un groupe. Le mâle dominant exerce son pouvoir sur quelques femelles et sur un territoire. Il apporte sécurité et sérénité à son clan. Les jeunes quittent la famille vers l'âge de 3 ans, quand le dominant les considère comme rivaux. Lorsqu'un mâle revendique un territoire, il lui arrive de s'attaquer aux petits pour conquérir les femelles... tigre,bengale,inde.

© Jean-Claude FOURNIER

(Macaca fuscata) La structure sociale repose sur les femelles qui ne quittent jamais le groupe dont elles sont originaires. Les mâles eux s'éloignent à la maturité sexuelle, se fondant dans un plusieurs autres groupes, au cours de leur existence. macaques,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Hors de toute vie sociale, la femelle élève seule sa progéniture. Elle a à coeur de protéger, nourrir, éduquer son bébé. Au cours des premières semaines qui suivent la naissance, elle doit l'abandonner régulièrement, à l'abri dans un fourré, pour aller chasser et prendre des forces. Cette absence peut être dangereuse pour le petit car elle laisse le champ libre aux prédateurs (hyènes, chacals, babouins, lions...) guepards,Kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

Pasteurs nomades, les Masaïs se nourrissent du lait, de la viande et du sang de leurs animaux. Leur vie sociale est découpée en cycles et rites : le passage de l'adolescence à l'âge adulte est marqué par la circoncision (le jeune devient "morane", quitte village et famille, pour apprendre le métier de pasteur et de guerrier). "L'eunoto" 7 ans plus tard met un terme au moranisme, permettant au jeune de se marier et de conduire son propre troupeau. Sept ans plus tard, il peut accéder au rang d'ancien, participer au Conseil. Seuls les devins appelés "laidons" peuvent prétendre représenter le Dieu Enkai et diriger le clan... ethnie,masai,kenya,tanzanie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

L'ethnie Mursi et tout particulièrement la femme Mursi suscitent l'étonnement et l'admiration du voyageur. Certaines femmes Mursi arborent un plateau labial. Ce dernier est une marque de richesse et d'appartenance à un clan "noble", ancien ou important socialement. Le port du plateau est autant un symbole honorifique qu'un ornement esthétique. Il en est de même pour les scarifications rituelles, faites à l'aide de petits cailloux ou d'éclats de bois, incrustés sous la peau, par la fente d'une fine incision. Autres signes distinctifs : le crâne rasé et les oreilles pendantes pour servir au port de disques de terre séchée ou en bois. La femme Mursi peut-être demandée en mariage dès l'âge de 15 ans. Le prétendant doit offrir en dot à la famille de l'élue, plusieurs zébus. L'importance de la dot varie selon la taille du plateau porté par la promise !!! mursi,plateau,labial,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

La structure sociale chez les Himbas est organisée de telle façon que chaque individu hérite son sang de sa mère et ses caractères spirituels de son père... Les droits de propriété et d'héritage sont transmis par la mère et le pouvoir spirituel et politique par le père. Cet héritage maternel serait aujourd'hui en recul au profit d'une filiation paternelle. himbas,namibie.

© Jean-Claude FOURNIER

 

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