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Recherche sur le(s) mot(s) clé(s) : religieux

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90 % de la population du Myanmar est de confession bouddhiste Théravâda. Cette philosophie s'articule autour de l'idée de "Chemin des Aînés". L'objectif est d'atteindre le nirvana, bonheur éternel ou extinction de tous les désirs. Construire des monuments religieux, faire des dons, avoir un bon comportement avec autrui permet d'accumuler des mérites afin de pouvoir  prétendre à une vie future meilleure et espérer atteindre un jour le nirvana. 
Au Myanmar, le Bouddhisme cohabite avec des traditions animistes... bouddhisme,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

La coutume impose à tous les hommes du Myanmar, d'effectuer deux retraites monastiques dans leur vie : une comme novice entre 10 et 12 ans, l'autre comme moine, après 20 ans. Le religieux doit se soumettre à trois règles fondamentales : renoncer à toute possession, jurer de respecter toute forme de vie et de n'offenser personne, demeurer chaste... Lorsqu'ils prononcent leurs vœux, les moines reçoivent les "huit nécessités" : le bol à aumônes, le rasoir, l'éventail, l'ombrelle, l'aiguille à coudre et les 3 pièces de la robe safran... Même s'ils ont prononcé leurs vœux, les moines peuvent renoncer à la vie religieuse à tout moment. moine,pagode,shwedagon,rangoon,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

Sous le règne des rois de Bagan, la famille royale, les dignitaires, les riches habitants ont beaucoup construit de monuments religieux, dans le but d'accumuler des mérites afin d'atteindre le bonheur éternel. Ils ont acquis le titre de "donateurs d'édifices religieux". Devant chaque monument, figure une stèle rappelant le nom du donateur, la date de la fondation, le vœu fait par le donateur. Ces actes méritoires sont appelés à durer pendant les 5000 ans de l'ère bouddhique. Ils expliquent la profusion de temples et de pagodes sur les terres de Bagan... bagan,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

La hutte traditionnelle est construite en bois ou en pisé, avec un toît  de chaume. Certaines maisons sont décorées avec des motifs animaliers, religieux, géométriques ou symboliques... oromo,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

Situé à 3500 m d'altitude, dans la région de Cusco, ce site  inca était un centre religieux et administratif important, servant de poste douanier et lieu de stockage de denrées alimentaires. Sur cette vue, on aperçoit les vestiges d'un temple dédié au dieu Wiracocha. raqchi,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

Située à 60 km d'Osaka, perchée à 800 m d'altitude, au plus près du ciel, Kôyasan est une petite ville monastique de 7000 habitants, qui abrite l'un des plus grands sites religieux du Japon. 110 temples-auberges invitent à la spiritualité. On y découvre un étrange et immense cimetière au milieu des cèdres géants. 200 000 stèles recouvrent les sépultures de personnages célèbres et aussi d'illustres inconnus... cimetiere,samourais,koyasan,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Les fûts de sake, en cèdre du Japon et d'une contenance de 72 litres chacun, sont entreposés à l'entrée du temple shinto du parc Meijin, comme une offrande aux dieux... Autrefois réservé à la cour impériale et aux rites religieux, le sake, alcool de riz fermenté, titrant 15° est devenu la boisson nationale. Ce n'est pas un digestif, mais un alcool brassé. Comme le vin et la bière, il accompagne avec bonheur la cuisine japonaise. Bénéfique pour la santé, notamment pour la peau, il est aussi utilisé comme cosmétique. Indissociable de l'âme et de l'esthétisme japonais. sake,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Le temple Dzongdrakha, appelé petit nid de tigre est un complexe monastique accroché à la montagne. Les hommes qui habitent ce village sont des moines n'ayant pas fait vœux de célibat. Les femmes travaillent aux champs et font vivre la famille. Ayant reçu la visite du Gouru Rinpoche, ce site compte désormais parmi les sites religieux majeurs du pays. dzongdrakha.bhoutan.

© Jean-Claude FOURNIER

 Bhoutan.

© Jean-Claude FOURNIER

Le culte primitif du peuple Naxi a été influencé par des apports culturels et religieux han et tibétains. La fusion de ces éléments a donné naissance à une religion fétichiste associant culte des ancêtres et forces de la nature, et appelée Dongba. Le Dongba est représenté par le prêtre ou le chaman. Celui-ci sait lire et écrire la pictographie traditionnelle, chanter et danser, célébrer les rites. Cette religion ne dispose d'aucun temple et se déroule dans la nature... chaman,naxi,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

Les bhoutanais portent leur habit traditionnel. Le "go" est une sorte de kimono, remonté en jupe jusqu'aux genoux et serré à la taille par une ceinture. Lors d'une visite de dzong, ils revêtent une écharpe de cérémonie appelée "kabne", blanche pour le commun des mortels, bleue pour les parlementaires, verte pour les juges et jaune pour le roi et les chefs religieux... habit,traditionnel,bhoutan.

© Jean-Claude FOURNIER

Outre les services administratifs de l'Etat, la forteresse abrite plusieurs temples et 
une importante communauté de moines. thymphu,bhoutan.

© Jean-Claude FOURNIER

C'est le lieu de dévotion préféré des habitants de Thimphu. Ce stupa construit en 1974 pour honorer le troisième roi, décédé deux ans auparavant est le point de repère religieux le plus visible au Bhoutan. Le stupa ou chorten ne renferme pas de restes humains, mais une photo du Roi qui de son vivant souhaitait vouloir construire un chorten pour représenter l'esprit de bouddha. memorial,chorten,bhoutan.

© Jean-Claude FOURNIER

Isolé pendant des siècles, le Bhoutan a peu subi les influences extérieures en matière d'architecture. Les charpentiers n'utilisent aucun clou, les pièces de bois sont assemblées en suivant la technique de queue d'aronde. Seules les forteresses et sites religieux puisent leur inspiration dans l'architecture thibétaine. architecture,bhoutan.

© Jean-Claude FOURNIER

 vue aérienne, abbaye murbach, haut-rhin, alsace, patrimoine religieux

© Sandrine MARBACH

Des religieux occupent de minuscules chambres creusées dans la paroi rocheuse entourant la cour de Bete Medhane Alem (l’église du Sauveur du monde), la plus grande des églises monolithes de Lalibela (Lalibela, Ethiopie). Abyssinie 
 Bete Medhane Alem 
 Ethiopie 
 Lalibela 
 UNESCO 
 christianisme 
 chrétiens 
 grotte 
 sanctuaire 
 troglodyte 
 tuf volcanique 
 église monolithe 
 église souterraine

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Lors d’une fête religieuse, tabot (tablette symbolisant les tables de la Loi), religieux et fidèles au pied de la falaise abritant l’église de Ne’akuto Le’ab (environs de Lalibela, Ethiopie). Abyssinie 
 Ethiopie 
 Lalibela 
 Ne’akuto Le’ab 
 UNESCO 
 christianisme 
 chrétiens 
 grotte 
 sanctuaire 
 troglodyte 
 tuf volcanique 
 église monolithe 
 église souterraine

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Religieux chantant et dansant lors d’une fête dans la gigantesque grotte abritant l’église de Ne’akuto Le’ab (environs de Lalibela, Ethiopie). Abyssinie 
 Ethiopie 
 Lalibela 
 Ne’akuto Le’ab 
 UNESCO 
 christianisme 
 chrétiens 
 grotte 
 sanctuaire 
 troglodyte 
 tuf volcanique 
 église monolithe 
 église souterraine

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Mante religieuse

© Sebastien FRANCEY

 

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