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Pour compléter ce fil, fin février j'ai tenté une sortie pour voir les hiboux des marais et essayer de les saisir au vol comme l'avait fait mon ami photographe Ô-live ( c'est son surnom )!
J'arrive donc sur les lieux une bonne heure avant celle présumée de leur envol et roule doucement sur la petite départementale.
Je sais que le coin est bien fréquenté par les lièvres et suis donc attentif .
Je fais bien car j'en apperçois un en train de brouter à une quinzaine de métres de la route.
Je m'arrête un peu tardivement mais il ne bouge pas.
Je décide donc de faire tranquillement une boucle pour pouvoir mieux me positionner, sans trop d'espoir car ils n'apprécient guère que l'on s'arrête pour leur tirer le portrait !
Me voilà donc de retour et calcule mieux cette fois la position adéquate pour essayer de faire quelques clichés.
Le 7 d et le 500 mm sont prêts et la glace baissée.....
Je stoppe tout doucement et ne coupe pas le moteur.....
Il ne s'occupe pas de moi....

Clic clac quelques photos .....

N'étant pas satisfait de ma position je bouge le véhicule, coupe le moteur et suis extrèmement surpris de voir que mon capucin est toujours aussi tranquille !
La séance durera 30 mns sans qu'il ne change quoi que ce soit à son activité de nourrissage !

L' herbe devait êre bonne !

 LIEVRE
PHOTOGRAPHIE de LIEVRE
Mammifères
PHOTOGRAPHIE de NATURE et de FAUNE SAUVAGE

Daniel TRINQUECOSTES 
Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

<center>
Sous la conduite des mères, les jeunes se déplacent et<br>
prennent connaissance de leur territoire, goûtant l'herbe tendre.<br>
Toutefois ils tètent toujours, ils ont une quinzaine de jours. Harde femelles bouquetins et jeunes

© Maurice Chatelain

<b>Aethia pusilla.</b> Alcidé de petite taille qui mesure une quinzaine de cm. Il se nourrit exclusivement en mer et niche dans les cavités rocheuses des falaises. On le trouve dans les mers de Béring et d'Okhotsk et dans la chaîne des îles Aléoutiennes. Alque minuscule, Aethia pusilla,  famille des Alcidés habitant  l'Alaska, la mer de Béring, mer d'Okhotsk

© Yves Vallier

<b>Propithecus verreauxi.</b>Sifaka de Verreau. Lémurien diurne dont le corps mesure 45 cm, plus une queue de 55 cm. Très agile, il se déplace par bonds de plusieurs mètres de branche en branche ou à terre. Réparti dans le sud et sud-est de l'île, il constitue des groupes de 6 à 8 individus pour une seule famille, ou d'une quinzaine de membres comprenant dans ce cas plusieurs mâles et femelles. Bien qu'il soit menacé par la déforestation et la chasse dans certaines régions, il bénéficie dans d'autres d'une aura qui le rend tabou et le protège. Sifaka de Verreaux, lémurien endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Sula nebouxii excisa.</b> Les fous sont d'excellents plongeurs équipés de coussins d'air sous les plumes du front afin d'amortir les chocs lors du contact avec la surface. Le plongeon se fait d'une quinzaine de mètres de hauteur. Avec un corps taillé en fuseau, les ailes tendues vers l'arrière, il fend le liquide comme la pointe d'une lance pour capturer les poissons dont il se nourrit. Fou à pieds bleus, Sula nebouxii excisa, oiseau de mer palmipède des mers tropicales.

© Yves Vallier

<b>Cervus elaphus</b>. Dyrehaven. Dès la fin août débute le brame et la concurrence entre les grands mâles reprend, les mettant à rude épreuve. Les mâles dominants ou "pachas" se livrent de violents combats pour leur territoire et surtout pour conserver dans leur entourage les biches qu'ils rassemblent par hardes d'une quinzaine de têtes voire plus. Cerf élaphe brame. Cervus elaphus. cervidé de Dyrehaven

© Yves Vallier

L'hôpital. Les Iles du Salut se situent à une quinzaine de km de Kourou, environ 30 de Cayenne. Les forts courants marins, la fréquentation régulière des eaux environnantes par les requins, font que les tentatives d’évasion sont souvent vouées à l’échec. Ile Royale. Bagne de Cayenne. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

(Cebus capucinus) De grande dextérité manuelle, le Capucin moine accède à certaines nourritures tels que escargots, noix, fruits et graines bien protégés. Il utilise ses mains et ses dents pour tirer, mordre, casser... Il vit dans des groupes d'une quinzaine d'individus comportant mâles, femelles et petits, sans règle hiérarchique précise. Le mâle défend le territoire, la femelle a plus un rôle social. capucin,moine,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

Ces jeunes resteront avec leur mère une quinzaine de mois. Devenus adultes, ils devront quitter le territoire de leur mère qui ne les tolèrera plus mais les femelles devenus adultes auront souvent un territoire contigu à celui de leur mère quand les mâles devront  à le quitter totalement.

© Thierry DUVAL

 

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