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Après deux années noires où je n'ai rien trouvé, j'ai le bonheur de trouver un site occupé.Il faut dire qu'en 2007 et 2008 des tirs d'élimination terribles ont fait chuté les populations de cette espèce ! RENARD RENARDEAU TERRIER
Photographie nature faune sauvage

Mammifère
Que nature vive

Daniel TRINQUECOSTES

© Daniel Trinquecostes

<center>
Bien qu'en règle générale elles organisent la chasse et<br>
tuent la proie, les femelles doivent attendre sagement que<br>
le lion soit repu pour enfin approcher et prendre part au festin. femelles lionnes tanzanie

© Maurice Chatelain

<center>Assis en tailleur, ils étudient ainsi chaque jour. Je ne sais s'il leur est plus agréable de travailler à l'extérieur plutôt qu'enfermés dans de petites classes mais ces enfants, au moins, ont la chance d'être scolarisés, possibilité qui n'est pas accordée à tous les petits indiens. jeunes enfants en classe en plein air, INDE.

© Maurice Chatelain

<center>Les mamelles sont plus gonglées que l'an dernier; la mise bas a été plus tardive : quinze jours de plus qu'en 2006. J'ai la chance d'observer l'allaitement sans pouvoir, hélas, faire d'images... mamelles, femelle renarde. Parc du grand paradis.

© Maurice Chatelain

Ce papillon (Vanessa cardui) n'est visible qu'en été. Période de vol : de mai à novembre. papillon,vanessa,cardui.

© Jean-Claude FOURNIER

C'est dans cette maison construite au XIIème siècle, qu'en avril 1828, le chef de Djenné confiait l'explorateur René Caillé à des commerçants pour qu'il puisse pénétrer incognito dans Tombouctou. djenne,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

(Dasyprocta punctata) Ce rongeur qui se rencontre qu'en Amérique centrale et du sud est essentiellement frugivore. Il enterre sa nourriture comme les écureuils et contribue ainsi à la dispersion des espèces végétales. agouti,ponctue,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

(Vicugna vicugna) C'est le plus petit des camélidés vivant au Pérou. Elle présente une silhouette fine et délicate. Son corps est recouvert d'une épaisse toison fauve ou chamois, le cou, la poitrine, la partie ventrale, le dessous de la queue, les longues pattes sont blancs. La vigogne vit en harde de 10 à 20 individus, menée par un mâle dominant, sur les hauts plateaux de la Cordillère des Andes, entre 3200 et 4800 m d'altitude. Elle se nourrit de plantes herbacées et de graminées et se reproduit au cours des mois de mars et avril. La femelle donne naissance à un seul petit, après une gestation de 11 mois. Son prédateur est le puma, mais aussi l'homme car sa laine qui porte le nom de carmeline est fine et chaude et très recherchée. Chaque animal ne produit qu'entre 150 et 250 grammes de laine par an.
Plus chère que le cachemire, un pull se vend autour de 3000 euros et un costume 20 000 euros ! On dénombre 125 000 vigognes aujourd'hui au Pérou. vigognes,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

L'origine de ce site demeure une énigme. S'agit-il  d'une dernière cité construite par les Incas, pour sauver leur culture ou la ville était-elle déjà abandonnée avant l'arrivée des Espagnols ? Les ruines dateraient du règne de Pachacutec (1400 après JC), puis seraient devenues la retraite de son successeur Huayna Capac. A la mort de ce dernier, emporté par la variole, ce havre de paix aurait été abandonné en signe de deuil. Ce qui est certain, c'est qu'en 1911, l'historien américain Hiran Bingham  a sorti le Machu Picchu de l'oubli. Il a été ébloui par sa découverte et a écrit dans son journal "Le Machu Picchu est le plus pur chef d'œuvre des Incas". machu,picchu,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

La femelle ne se laisse pas couvrir facilement. Ici le rejet est net. Le lion devra se montrer patient, effectuer plusieurs approches pour qu'enfin elle donne son consentement... lions,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

Cet échassier aux allures préhistoriques dûes à son énorme bec en forme de sabot est une espèce rare , présente principalement en Zambie ( marais de Bangweulu) , Ouganda(lac Victoria) ainsi qu'en petit nobre au Soudan et en Tanzanie.
Inféodé à un milieu marécageux , peu farouche envers l'homme , il demeure difficile à trouver , notre quête a duré trois jours pour enfin en approcher un dans de superbes conditions ..
C'est la naturaliste française,  Geneviève Rensson,  qui a le mieux étudié cette espèce.
 Bec-en -sabot, Zambie, marais de Bangweulu, safari, photographie animalière

© Thierry DUVAL

<br><br>Autres noms français de l'Orchis moustique : Gymnadénie moucheron, Orchis moucheron
<br>Nom anglais : Fragrant Orchid
<br><br>L'Orchis moustique n'attire pas les moustiques comme l'on pourrait s'y attendre. Seuls les papillons avec leur longue trompe sont capables d'accéder au fabuleux nectar qui se trouve au fond de son interminable éperon.
<br><br>L'orchis moustique est plutôt bien représentée en Auvergne. On trouve cette orchidée aussi bien en montagne qu'en plaine, et on peut l'observer également dans des prairies humides ou des pelouses calcaires.
<br>Comme toutes les orchidées, il est interdit de la cueillir.
<br><br>L'orchis moustique est protégé de portée :
<br><br>Communautaire :
<br>- Application de la Convention CITES (Convention de Washington) au sein de l'Union européenne : Annexe B
<br><br>Régionale :
<br>- Liste des espèces végétales protégées en région Limousin : Article 1
Liste des espèces végétales protégées en Corse : Article 1
<br><br>L'Orchis moustique se trouve sur : 
<br>- La Liste rouge des orchidées de France métropolitaine (2009) : LC
<br>- La Liste rouge européenne de l'UICN (évaluation 2011)  : LC
<br><br> Orchis moustique
Gymnadenia conopsea
Orchis moucheron
Fragrant Orchid
moustique
papillons
nectar
Auvergne
protégé
Liste rouge
UICN
France

© Monique Morin

 

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