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Son habitat ,bien qu'elle ne soit pas rare rend son observation difficile et sa photographie plus encore; D'autant plus qu'elle se déplace lentement mais sans arrêt.Elle se nourrit d'insectes trés variés ainsi que de graines et de fruits. outarde à ventre noir

© Daniel Trinquecostes

Voilà, les photos du mois de janvier 2009 ne seront pas de moi. A moment historique, mesures exceptionnelles. Elles proviennent toutes du site internet officiel de Barack Obama, libres de droit pour la presse. Le moment est unique, ce jour de 20 janvier 2009, un homme noir, et qui plus est, de père Kenyan, va être Président des Etats Unis d'Amérique. Sur ses épaules, un fardeau, celui de l'espoir de millions de gens. Des millions d'américains aujourd'hui vont de nouveau pouvoir être fiers d'être américains, et croyez moi, ce n'était pas le cas depuis de nombreuses années, surtout ceux qui voyagent hors des frontières de l'Amérique ! Bonne chance Monsieur le Président, bon courage...

 Bon, on comprend qu'elles soient libre de droits ces photos, la qualité est pas terrible !  :o)

© Christophe Courteau

Vipere des dunes ou vipere de Pering
guey (Bitis peringueyi), Desert du Namib. Cette vipere de petite taille (20 à 25 cm) vit sur les dunes de sable du desert du Namib, elle est endemique à cette region de NAMIBIE. 
Elle chasse de petits lezards et rongeurs presque completement enfouis dans le sable ne laissant depasser que sa tete et ses yeux qui sont situes tres haut sur sa tête (adpatation). Elle attire ses proie avec l'extrémite de sa queue qu'elle agite comme un leure. 
Elle se deplace sur le côte, laissant des traces en zig-zag sur la sable. 

 Afrique 
 Bitis 
 Namib 
 Namibia 
 Namibie 
 Peringuey 
 Peringueyi 
 Sand 
 africa 
 camouflage 
 danger 
 desert 
 dunes 
 désert 
 endemic 
 endémique 
 eyes 
 hiding 
 predator 
 prédateur 
 reptile 
 sable 
 serpent 
 snake 
 venimeux 
 venomous 
 vipère 
 yeux

© Christophe Courteau

Vipere des dunes ou vipere de Pering
guey (Bitis peringueyi), Désert du Namib. Cette vipère de petite taille (20 à 25 cm) vit sur les dunes de sable du désert du Namib, elle est endémique à cette region de NAMIBIE. 
Elle chasse de petits lézards et rongeurs presque complétement enfouis dans le sable ne laissant dépasser que sa tete et ses yeux qui sont situes très haut sur sa tête (adaptation). Elle attire ses proie avec l’extrémité de sa queue qu'elle agite comme un leurre. 
Elle se déplace sur le côte, laissant des traces en zig-zag sur la sable. 
 Africa 
 Afrique 
 Bitis 
 Namib 
 Namibia 
 Namibie 
 Peringuey 
 Peringueyi 
 Sand 
 camouflage 
 danger 
 desert 
 dunes 
 désert 
 endemic 
 endémique 
 eyes 
 hiding 
 predator 
 prédateur 
 reptile 
 sable 
 serpent 
 snake 
 venimeux 
 venomous 
 vipère 
 yeux

© Christophe Courteau

<center>
C'est depuis l'entrée du terrier principal qu'elle passe<br>
de longues heures à observer, à se réchauffer. marmotte

© Maurice Chatelain

<center>
Le même jour, en France, après 5oo kms.<br> 
Au loin, une forme au milieu de cette nationale ;<br>
je la dépasse, ralentis puis m'arrête ; je reviens<br>
près de la renarde. Je refuse qu'elle finisse en bouillie...<br>
Je la retire de cette route, elle sera mieux dans le fossé. Renard adulte mort, Heurté par un véhicule. route nationale

© Maurice Chatelain

<center>
C'est l'espèce que l'on trouve la plus tuée sur le bord des routes ;<br>
ses piquants dorsaux témoignent de son identité. Habituellement <br>
actif au crépuscule et la nuit, il peut être observé de jour en<br>
automne. Je n'ai pas eu la chance de le voir vivant ; le sang<br>
était encore frais sur le bitume. Comme pour les autres animaux,<br> je l'ai repoussé sur la partie herbeuse de la route en espérant que<br>
renard, blaireau ou autre hibou le découvre et en fasse bombance. Comme me l'a dit un ami, la mort d'un animal, c'est la vie d'un autre ;<br>
Rien n'est plus vrai ; j'aurais seulement souhaité qu'elle fut naturelle et non de la main de l'homme, elle m'aurait été moins révoltante... hérisson (Erinaceus europaeus ) mort sur la route

© Maurice Chatelain

<center>Je devine rapidement qu'elle se trouve dans un terrier de secours.<br>
Ne plus bouger pour la tranquilliser... marmotte sortie terrier alpes grand paradis

© Maurice Chatelain

<center>Je retrouve<i> ma</i> renarde... Elle est sur un autre territoire mais non loin de celui de l'année dernière. J'aime à penser qu'elle me reconnait tant son comportement, ses attitudes, ses regards me confortent dans cette impression. Puis j'ai le bonheur de voir arriver le mâle mais là, méfiance et circonspection sont de mise à l'approche de mon affût. femelle renarde, grand paradis. Vallée d'Aoste.

© Maurice Chatelain

<center>Voici ce que m'évoque cette attitude très caractéristique tant<br> le baillement est ample, les yeux plissés... Encore qu'elle me rappelle Monsieur de La Fontaine sauf que là... point de bec ni de proie !<br>
Quoi qu'il en soit, attendre le moment propice pour saisir l'instant.
 

 baillement renard gueule ouverte

© Maurice Chatelain

<center>
Elle prouve ainsi qu'elle a vécue près des humains, semblant<br>
savourer caresses et soins prodigués par toute la famille. chat blanc et enfant caresses

© Maurice Chatelain

<center>Voir son museau ainsi déformé me glace.<br> Il s'agit d'une renarde ; sa frêle silhouette, <br>
son poil laineux me donnent à penser qu'elle est jeune.

 Renarde morte sur la route.

© Maurice Chatelain

<center> Ce matin 12 avril 2014, ce sont les chants des hirondelles qui m'annonçaient qu'elles étaient de retour.<br>
Dans l'après midi comme tous les jours je suis allé faire ma ballade pour me mettre en jambe avec mon vélo.<br>
J'ai remarqué cette pauvre hirondelle sur le sol et c'est avec une grande tristesse que je me suis arrêté pour la récupérer.<br>
Vous dire combien je suis écoeuré surtout qu'à cette endroit la vitesse est 50 kms.
Mais personne ne respecte la vitesse. Venir de si loin pour mourir le 1er jour de son retour chez nous. Hirondelle rustique morte sur la route france

© Maurice Chatelain

Comme beaucoup de femmes Africaines, l'enfant est maintenu sur le dos à l'aide de ce "porte bébé", harnais  en peau de chèvre,  dont les sangles sont nouées sur la poitrine.
Cette femme porte la coiffe qu'elle a mise pour son mariage et qui lui vient de sa mère. Portage d'un enfant sur le dos. Harnais en peau de chèvre. KAOKOLAND.NAMIBIE

© Maurice Chatelain

<center>Cette autre buse aura plus de chance. Elle pourra retrouver sa LIBERTE, car les plumes de repoussent.
Il faudra  environ 1 an, le temps de la mue. le plus important est qu'elle reprenne son envol, SA LIBERTE; Buse blessée. Queue coupée. Aile coupée. Centre de soins

© Maurice Chatelain

Caméléon endémique de Madagascar. La femelle dépose quatre ou cinq fois par saison une ponte composée de 6 à 11 oeufs qu'elle enterre à une profondeur de 10 cm. Furcifer lateralis, caméléon endémique de Madagascar

© Yves Vallier

<b>Fregata minor ridgwayi.</b> La femelle arbore un cercle de peau nue et rouge autour de l'oeil. Les frégates excellent dans le parasitisme des fous, phaétons ou autres espèces qu'elles harcèlent en vol afin de leur faire régurgiter les prises. Grande frégate, oiseau de mer des îles Galapagos

© Yves Vallier

<b>Chelonia mydas agassisi.</b> Sous-espèce de la tortue verte du Pacifique. Uniquement herbivore. En une nuit, elle pond de 50 à 80 oeufs qu'elle enterre dans le sable d'une plage. Tortue verte, Chelonia mydas agassisi, sous-espèce de la tortue de mer du Pacifique, îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Sula nebouxii excisa.</b> La femelle se distingue du mâle  par sa taille plus imposante et la pupille de l'oeil dont la pigmentation foncée donne l'impression qu'elle est plus grosse que celle du mâle. Fou à pieds bleus, Sula nebouxii excisa, oiseau de mer, palmipède des mers tropicales.

© Yves Vallier

<b>Canis lupus.</b> Bayericherwald. Bavière. Au terme d'une gestation de 9 semaines, la femelle met au monde de 3 à 6 louveteaux qu'elle allaitera durant 8 semaines. Les jeunes restent dans le groupe une année environ et atteignent la maturité sexuelle à 2 ans. Loup automne, canidé du Mercantour de l'Espagne et d'Italie.

© Yves Vallier

<b>Canis lupus.</b> Bayericherwald. Le loup peut trotter durant des heures et effectuer des pointes de vitesse de l'ordre de 45 km/h. Dans la neige, la pression d'une patte est de 150 g/cm2 alors qu'elle est de 180 pour un caribou et de 3 à 400 pour un cerf. En Angleterre, le loup a été exterminé en 1500. Heureusement, il en reste plus de 3000 en Yougoslavie, autant en Pologne, de 3 à 4000 en Italie et 2000 en Espagne. Loup en hiver. Canis lupus. Bayericherwald.

© Yves Vallier

<b>Pernis apivorus.</b> Spécialiste des guêpes et des abeilles sauvages qu'elle déniche à l'aide de ses pattes. Elle semble ne pas être sensible aux piqûres des hyménoptères. La plupart des rapaces diurnes construisent un nid, qu'ils rafraîchissent périodiquement en le garnissant de branches feuillues. Bondrée apivore. Pernis apivorus. Rapace diurne.

© Yves Vallier

(Ardeola ralloides) C'est un petit héron, qui ressemble au Héron garde-boeufs et à l'Aigrette garzette. Il est très présent en Afrique de l'est. On le rencontre souvent perché en végétation haute, sur des papyrus ou des roseaux. Il se nourrit d'insectes, mollusques, crabes, poissons et grenouilles... Il niche dans les arbres de 2 à 20 mètres au dessus du niveau du sol ou de l'eau. La femelle pond de 3 à 6 œufs qu'elle incube pendant 3 semaines. Les jeunes quittent le nid au bout d'1 mois. crabier,chevelu,baringo,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

(Donacobius atricapilla) Espèce de passereau, le Donacobe à miroir habite les forêts humides tropicales et subtropicales. Il se nourrit surtout d'invertébrés, d'insectes et d'araignées. La femelle dépose 2 œufs qu'elle couve pendant 18 jours... donacobe,miroir,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

(Pteronura brasiliensis) Les pattes de la Loutre géante sont munies de membranes interdigitales, qu'elle utilise pour se propulser en nage lente. Grâce à sa queue elle se propulse en nage rapide. Elle n'utilise jamais ensemble les deux modes (pattes et queue) pour nager... loutre,geante,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

(Tigrisoma lineatum) Cet oiseau établit son nid, soit dans les arbres à une hauteur de 7 mètres maximum, soit à terre, à partir de quelques brins de paille. La femelle dépose un à deux œufs qu'elle couve pendant un mois. Les parents nourrissent les petits à la tombée de la nuit, par régurgitation... onore,raye,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

Autre tradition étonnante du mode de vie lacustre des Inthas : les jardins flottants. Là où les eaux stagnent le long des berges, les paysans découpent à la scie des bandes de terre constituées de limon et de racines entremêlés. Ces bandes sont tirées par des barques jusqu'à l'endroit désiré et pour éviter qu'elles ne dérivent, ancrées à l'aide de perches en bambou, enfoncées dans le fond du lac. Les légumes, les fleurs et le premier riz issus de ces jardins sont  réputés pour leur qualité dans tout le pays... Les Inthas réalisent 3 à 4 récoltes par an. lac,inle,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

De retour de chasse dans les falaises, où nichent de nombreux oiseaux, la renarde a rapporté à ses petits, âgés de quelques semaines, un œuf qu'elle a volé dans un nid. Ces derniers se ruent sur cette proie, pour s'en délecter... renards,polaires,svalbard,spitzberg.

© Jean-Claude FOURNIER

(Penelope purpurascens) Elle ressemble à une dinde. Oiseau sociable, vivant souvent en couple ou groupe de 6 à 12 individus, on peut l'observer dans les arbres, marchant le long des branches à la recherche de fruits et de feuillage dont elle se nourrit. La femelle pond deux ou trois œufs qu'elle couve seule. penelope,panachee,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

La plupart du temps, les hyènes occupent un terrier abandonné par un oryctérope, qu'elles ont agrandi et aménagé avec plusieurs sorties et où sont cachés les bébés. Sur cette vue, on voit la mère aider son petit de quelques jours à sortir du trou... hyenes,Kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

S'ils se nourrissent de cadavres abandonnés par les grands félins, les chacals sont aussi des prédateurs redoutables pour les bébés gazelles de Thomson, dik-diks, oiseaux, jeunes phacochères, ovins, bovins, caprins... Ils mangent aussi les reptiles et les insectes. Le chacal est un omnivore opportuniste. La chasse se fait plutôt à deux. Dans le cas présent, trois chacals se sont attaqués à une gazelle de Thomson et son petit. La tactique consiste pour deux d'entre eux à harceler la mère jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus défendre son petit, le troisième se saisissant alors du bébé et le tuant par étouffement. Les trois chacals vont se nourrir des viscères, puis déchirer la proie afin de se la partager... (Cette photo a été sélectionnée au Festival internationa de la photo animalière et de nature de Montier-en-Der en 2010) chacals,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

La hyène tachetée est considérée comme un animal cruel et charognard, poltron et lâche. Elle se révèle pourtant un prédateur audacieux et terriblement efficace dès lors qu'elle chasse en groupe. La proie une fois mise à terre est éviscérée et dévorée avec frénésie. La hyène s'intéresse aux charognes et aux proies vivantes. Sa machoire d'acier peut broyer un os d'élèphant. La hyène joue un rôle essentiel dans le maintien de l'équilibre naturel, en nettoyant la savane des cadavres, avant que ceux ci ne développent des épidémies... Kenia,masaï mara,hyene.

© Jean-Claude FOURNIER

Dès qu'elles sont en âge de procréer, les jeunes filles se marient. Il n'est pas rare qu'à l'âge de 20 ans, elles soient déjà mère de 6 ou 7 enfants ! La polygamie existe dans la société Himba, mais elle n'est pas la règle. himbas,namibie.

© Jean-Claude FOURNIER

(Pluvialis apricaria) Ce joli oiseau parcourt chaque année 20 000 km pour bénéficier des étés boréal et austral. Il habite les espaces ouverts, à herbe rase et se nourrit d'invertébrés et de végétaux. La femelle pond 3 à 4 œufs qu'elle couve avec le mâle durant 27 jours... Sur cette vue, le Pluvier doré porte sa parure nuptiale. pluvier,dore,islande.

© Jean-Claude FOURNIER

C'est la période des naissances. Tandis que la femelle reste au nid avec les petits, le mâle va chasser des petits rongeurs qu'il rapporte pour nourrir les bébés. Il fait une halte sur ce tronc d'arbre et appelle la femelle pour qu'elle vienne chercher la proie.

© Jean-Claude FOURNIER

Cette meule de fermeture a été percée pour pouvoir accéder à la salle qu'elle défendait ; ville souterraine de Sivasa (Gökçetoprak, Cappadoce, Turquie). Cappadoce 
 Sivasa 
 Turquie 
 ville souterraine

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Bain involontaire d'une girafe tombée dans l'eau en glissant alors qu'elle venait boire.

© Brigitte MARCON Jean-Jacques ALCALAY

<br><br>Nom anglais : Common toad
<br>Dans leur hâte de trouver une compagne, les crapauds mâles peuvent  s'agglutiner  jusqu'à dix sur une femelle pour se la disputer. Mais sous le poids et parfois privée de respiration, bien qu'elle tente de repousser les trop nombreux prétendants en donnant de grands coups de pattes arrières, la femelle du Crapaud commun risque de périr noyée sous le fardeau.
<br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)
<br><br> Crapaud commun
Bufo bufo
Common toad
Auvergne
Allier
prétendants
mâles
femelle
accouplement

© Monique Morin

<br><br>Autres noms français : Salamandre terrestre, Salamandre commune ou Salamandre de feu.
<br>Nom anglais : Fire Salamander
<br><br>Contrairement à ce que raconte la légende, la Salamandre ne traverse pas le feu. D'ailleurs, sa peau est si fragile qu'elle recherche plutôt la fraicheur des sous bois humides et commence à sortir le plus souvent en soirée. A cet effet, ses grands yeux noirs sont adaptés à une vision nocturne et crépusculaire. Son long corps également noir,  possède des taches jaunes disposées en lignes, et propres à chaque individu. Ces taches constituent sa carte d'identité.
<br>En Europe, ce joli et fascinant urodèle (amphibien avec une queue à l'état adulte) est en régression constante depuis au moins un siècle. Les principales causes sont  : le recul des zones humides intra et périforestière par comblement ou drainage, la contamination de son environnement par les pesticides (elle est notamment sensible aux insecticides qui peuvent la tuer ainsi que ses larves, une faible dose étant suffitante), et la fragmentation écopaysagère en général et celle des forêts par les routes en particulier.
<br><br>La Salamandre tachetée est protégée en France. Elle est classée comme "vulnérable" dans le Livre rouge des amphibiens de France.
Cette espèce est protégée de portée : 
<br><br><li><b>Internationale</b> : <a target="_blank" href="http://conventions.coe.int/Treaty/fr/Treaties/Html/104.htm"><u>Convention de Berne : Annexe III</u></a target="_blank" href="http://conventions.coe.int/Treaty/fr/Treaties/Html/104.htm">
<li><b>Nationale</b> :  <a target="_blank" href="http://legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000017876248"><u>Amphibiens et Reptiles protégés : Article 3</u></a target="_blank" href="http://legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000017876248">
<br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)
<br><br> Salamandre tachetée
Salamandra salamandra 
nocturne
Allier 
Auvergne
urodèle
amphibien
protégée
vulnérable
pluie

© Monique Morin

<br><br>
Nom anglais : European tree frog
<br>Bien qu'ayant des mœurs principalement nocturnes et crépusculaires, la Rainette verte aime prendre des bains de soleil de plusieurs heures, exposée sur des branches ou sur la végétation basse, mais toujours à proximité d'un point d'eau. Cependant, en période caniculaire, elle préfèrera un trou sous terre. Il n'est pas rare de trouver une petite Rainette au jardin, près d'une petite mare, voire dans la gamelle du chien. 
<br>La Rainette verte hiberne d'octobre à mars, soit dans la vase, soit dans une cachette comme une cavité de pierres ou sous un tas de feuilles mortes.

<br>Son régime alimentaire est essentiellement constitué d'insectes volants, mais aussi de vers, de larves, d'araignées et de petits vertébrés. La Rainette capture ses proies à l'aide de sa langue qu'elle projette en avant.
<br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)
<br><br> Rainette verte
Hyla arborea 
European tree frog
Allier
Auvergne
nocturne
crépusculaire
eau

© Monique Morin

<br><br>Autre nom français du Ragondin : Castor des marais 
<br><br>Le Ragondin étant devenu indésirable, afin de réguler sa population, le tir mais surtout le piégeage par des particuliers ou certains organismes habilités sont pratiqués. Le poison qui devait officiellement être interdit en 2009 est  toujours utilisé. Pourtant, il ne sélectionne pas l'espèce animale qu'il tue et cause des préjudices insupportables à la faune sauvage : rapaces (en Auvergne, de nombreux Milans royaux et Buses sont déjà victimes d'empoisonnements), renards, chevreuils, lièvres, loutres, visons d’Europe et campagnols amphibies, aux chats domestiques et bien d'autres. Tous ces animaux font dramatiquement  les frais de ces comportements irresponsables depuis des années. L'humain aussi en fait les frais, mais de manière indirecte... et tout cela pour quoi ?
<br>Les cages-pièges, souvent utilisées, ne sont pas plus sélectives et  restent tout aussi dangereuses pour les autres espèces comme la Loutre d'Europe et tant d'autres dès lors qu'elles ne sont pas relevées tous les jours, ce qui est hélas fréquemment le cas. Restent le tir au fusil et à l'arc qui sont tout aussi cruel.
<br>Alors que des solutions existent pour éviter ce gâchis, la lutte contre le Ragondin coûte chaque année une fortune que chaque contribuable finance au travers de ses impôts. Nous avons tout intérêt à apprendre à vivre avec lui, le Ragondin. Et si on essayait ?
<br><br>Depuis 2009, le Ragondin est inscrit sur la Liste rouge des mammifères continentaux de France métropolitaine parmi les espèces préoccupantes mineures.
<br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne) Myocastor coypus
Coypu
Castor des marais
mammifère
poison
piégeage
Liste rouge
France
Allier 
Auvergne

© Monique Morin

<br><br>Autre nom français : Petite grenouille verte
<br>Nom anglais : Pool Frog
<br><br>La Grenouille verte peuple également le bord des rivières (ici l'Allier) riches en végétation aquatique qui lui assurent un abri et qu'elle sélectionne pour leur ensoleillement.
<br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)
<br><br> Grenouille de Lessona
Petite grenouille verte
Pelophylax lessonae 
Allier
Auvergne
rivière
aquatique
végétation
soleil

© Monique Morin

<br><br>Autre nom français de l'Orchis bouc : himantoglosse à odeur de bouc
<br>Nom anglais : lizard orchid
<br><br>Cette très belle orchidée qui n'est pas rare dans l'Allier peut atteindre un mètre de haut et pousse toujours sur des substrats calcaires : Pelouses, friches, prairies maigres, talus, forêts avec clairière... Elle tient son nom de l'odeur fétide qu'elle dégage lorsque l'on se trouve à proximité.
<br>Le labelle de ses nombreuses fleurs ressemble à un joyeux petit serpentin d'environ six centimètres de long, attractif pour certains insectes.
<br>Comme toutes les orchidées, l'Orchis bouc est protégé et il est interdit de le cueillir.
<br><br>L'Orchis bouc est protégé de portée :
<br><br>Communautaire : 
<br>- Suspension de l'introduction dans l'Union européenne de spécimens de certaines espèces de faune et de flore sauvages : Article premier
<br>- Application de la Convention CITES (Convention de Washington) au sein de l'Union européenne : Annexe B
<br><br>Départementale :
<br>- Liste des espèces végétales protégées en région Rhône-Alpes : Article 4
<br><br>L'Orchis bouc se trouve sur :
<br>- La Liste rouge des orchidées de France métropolitaine (2009) : LC
<br>- La Liste rouge européenne de l'UICN (évaluation 2011)  : LC Orchis bouc
Himantoglossum hircinum
himantoglosse à odeur de bouc
lizard orchid
orchidée
fleur
labelle
protégée
Liste rouge
UICN
France

© Monique Morin

Cette vache est morte alors qu'elle était en train de vêler au petit matin. Le soir même le renard était déjà présent. le renard roux, Vulpes vulpes, mammifère, vertébré, montagne, France

© Daniel MAILLARD

Cette vache est morte alors qu'elle était en train de vêler au petit matin. Il aura fallu attendre le lendemain pour voir arriver les vautours. le vautour fauve, Gyps fulvus, oiseau, vertébré, montagne, France

© Daniel MAILLARD

Cette vache est morte alors qu'elle était en train de vêler au petit matin. Le soir même le renard était déjà présent. le renard roux, Vulpes vulpes, mammifère, vertébré, montagne, France

© Daniel MAILLARD

La pauvre Perdrix grise (Perdix perdix) existe encore en liberté de façon ponctuelle, selon les lâchés, uniquement parce qu'elle est chassable. Aujourd'hui, c'est pathétique à dire, mais sans ces remises en liberté, l'espèce serait éteinte. Saviez-vous que des Perdrix peuvent être placées dans de petites cages grillagées afin de servir d'appelants ? En fin de période de chasse, certaines sont purement et simplement condamnées à une longue agonie, dans ces mouroirs, sans eau ni nourriture ...dans l'indifférence totale. Je suis tombé sur une de ces petites prisons, en périphérie d'un petit bois en centre Bretagne. La cage portait le n°26 et contenait 3 petits êtres desséchés...L'enfer n'existe pas pour les animaux, ils y sont déjà (Victor Hugo) perdrix grise femelle

© Eddie ROY

Le bec puissant du vautour fauve est capable de déchiqueter n'importe qu'elle charogne (Gyps fulvus, Espagne). portrait du vautour fauve

© Eddie ROY

Les équilibristes (Après l'accouplement le mâle Agrion maintient sa compagne par le col, jusqu'à ce qu'elle aille pondre). Accouplement agrion

© Eddie ROY

 

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