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Recherche sur le(s) mot(s) clé(s) : politique

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Ou comment verrouiller un système où les femmes n'ont pas beaucoup le choix, ici en Inde comme dans les 3/4 des pays en voie de développement ("tiers monde" n'est plus politiquement correct).
Pendant ce temps, les filles ne vont pas à l'école... C'est pratique : elles ne risquent pas d'acquérir trop de savoir...
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© Christophe Courteau

Ou comment verrouiller un système où les femmes n'ont pas beaucoup le choix, ici en Inde comme dans les 3/4 des pays en voie de développement ("tiers monde" n'est plus politiquement correct). Pendant ce temps, les filles ne vont pas à l'école... C'est pratique : elles ne risquent pas d'acquérir trop de savoir... 
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© Christophe Courteau

<center>Nous comptons sur vous pour résister à ce que l’on peut qualifier de véritable censure orchestrée par les lobbies et pratiquée par un personnel politique à la botte de ceux qui font le plus de bruit.<br>
Merci chers visiteurs de permettre à jean-Michel de passer le plus d temps possible sur le terrain dans des conditions difficilespour filmer les loups sauvage, LIBRE dans ce milieu Naturel.

© Maurice Chatelain

Superficie de l’île du Diable : 14 ha. D’abord réservée pour les lépreux puis les déportés politiques et anarchistes.
Au début, un câble est tendu entre l’île Royale et l’île du Diable pour le ravitaillement.
 Ile du Diable. Guyane française.

© Yves Vallier

Entre 1852 et 1862 : 12570 condamnés  transitent sur l’île Royale.
Parmi eux se distinguent trois catégories. Les déportés : espions, anarchistes, activistes politiques, traitres (Dreyfus était considéré comme tel). Les transportés : peines assorties du doublage du temps et soumis aux travaux forcés. Les relégués : ceux qui ont été condamnés plusieurs fois.
 Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Ce magnifique félin est menacé de disparition à cause de la destruction de son habitat, de la chasse intensive et de la situation politique instable au Sri Lanka. Un programme européen d'élevage a été mis en place dans les zoos pour tenter de sauvegarder cette espèce. panthere,sri-lanka.

© Jean-Claude FOURNIER

Vue du haut de l'hôtel de ville de Tôkyô. Avec sa banlieue, Tôkyô compte 37 millions d'habitants. En 1603, c'était un village de pêcheurs, appelé Edo. En 1868, au début de l'ère Meiji, qui marque le passage du Japon féodal au Japon moderne, l'empereur déplace sa résidence officielle de Kyôto à Edo, qui prend le nom de Tôkyô et devient la capitale politique et économique du Japon. D'un profil à dominante horizontale, la maison individuelle constitue l'élément prégnant du paysage urbain, mais la mégalopole tente de se développer de façon plus verticale. C'est le cas du quartier de Shinjuku qui est devenu un petit Manhattan. tokyo,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

La structure sociale chez les Himbas est organisée de telle façon que chaque individu hérite son sang de sa mère et ses caractères spirituels de son père... Les droits de propriété et d'héritage sont transmis par la mère et le pouvoir spirituel et politique par le père. Cet héritage maternel serait aujourd'hui en recul au profit d'une filiation paternelle. himbas,namibie.

© Jean-Claude FOURNIER

Cette politique mise en œuvre en 1979 concerne surtout l'ethnie Han, qui représente 92 % de la population chinoise. Dans les campagnes, le gouvernement autorise une deuxième naissance dans le cas où le premier enfant est une fille. Quant aux couples issus des minorités ethniques, ils sont autorisés à avoir plusieurs enfants. enfant,unique,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

<br><br><font color="#F5D257">"Ce sont des élus qui on décidé la création de ce barrage et ils ont refusé le dialogue avec les opposants. Pour ce qui nous concerne, nous ne croyons pas à la délégation du pouvoir. C'est à chacun de réfléchir et s'interroger sur les besoins d'une communauté, en vue d'une décision collective. Cette responsabilité ne se délègue pas.
<br><br>Ce système politique ne supporte pas la contestation. Les sanctions financières et la violence policière rappellent régulièrement à l'ordre ceux qui se refusent d'obéir. Cette règle générale, nous la retrouvons à Sivens.
<br><br>Là, des bureaucrates imposent la puce RFID aux oreilles des brebis au nom de la "traçabilité du minerai viande". Ici, des bureaucrates imposent un barrage pour "préserver la ressource en eau". Dans les deux cas,la nature n'est qu'un tas de matières premières dans lequel l'industrie peut se servir, et les humains de bétail à affourager."</font color="#F5D257">
<br><br>Le collectif invite à discuter de tout cela ce dimanche 26 octobre à 20h sous le chapiteau.
<br>Signé Collectif Faut Pas Pucer (Fautpaspucer@laposte.net)
<br><br>

© Monique Morin

 

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