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<center>C'est le temps du grattage des bourres de poils. bouquetin grattage bourre de poils alpes grand paradis

© Maurice Chatelain

poils,indice

© Maurice Chatelain

<center>Voir son museau ainsi déformé me glace.<br> Il s'agit d'une renarde ; sa frêle silhouette, <br> son poil laineux me donnent à penser qu'elle est jeune. Renarde morte sur la route.

© Maurice Chatelain

<center> Juin... Le temps est venu de perdre les poils d'hiver. Tout est requis<br> pour ôter cette toison superflue et faire place au pelage d'été. Bouquetin mâle, grattage bourre d epoils alpes grand paradis

© Maurice Chatelain

<b>Callorhinus ursinus.</b> Le mâle porte avec ostentation de longues moustaches. L'otarie se différencie des phoques par ses oreilles externes. Elle est équipée, pour affronter les plus basses températures, d'un pelage composé d'environ 300.000 poils et duvets pour 6 cm2. Essentiellement pélagique, elle ne revient à terre que pour se reproduire. La population totale est de 2 millions d'individus, dont 1,4 aux îles Pribilof. Le reste est réparti en mer d'Okhotsk, aux îles Kouriles, le long des côtes ouest de la mer de Béring et du Pacifique nord. Otarie à fourrure, Callorhinus ursinus, espèce nordique des îles Pribilof, Kouriles et de l'océan Pacifique nord.

© Yves Vallier

<b>Bubo bubo.</b> Les sucs digestifs des nocturnes ne contenant pas d'acide chlorhydrique, les poils, os et plumes sont rejetés régulièrement dans les pelotes. Ce grand rapace nocturne adapte son régime alimentaire selon les lieux de nidification. Il capture la nuit les oiseaux branchés, des rats dans les décharges, des hérissons, des batraciens et des poissons parfois. Grand duc. Bubo bubo. Rapace nocturne.

© Yves Vallier

Deux jours plus tard, l'oeil est encore fermé mais le poil n'est plus hérissé. Le chevreuil va mieux. brocard, blessure, chevreuil, rut, mammifère

© Jacky Bernard

Pendant le rut, je découvre ce brocard fièvreux, le poil hérissé, l'extrémité d'un bois planté dans la joue. brocard, blessure, chevreuil, rut, mammifère

© Jacky Bernard

© Pierre Vernay

L'Otarie des Galápagos partage son territoire avec son proche parent, l'Otarie à fourrure. Originaire des régions antarctiques, l'Otarie à fourrure est dotée d'un double manteau de longs poils protecteurs, garni d'un sous-poil épais. Lorsqu'elle plonge en eau profonde, elle est isolée du froid, grâce à la couche d'air située entre les deux épaisseurs. otarie,fourrure,galapagos,equateur.

© Jean-Claude FOURNIER

Ce mâle dominant - dos argenté et poil grisonnant - est un animal impressionnant pouvant peser jusqu'à 170 kg. Ce géant de la forêt africaine équatoriale est plutôt d'un comportement paisible. Lorsqu'il se sent menacé, il démontre sa force en se tenant debout, grognant et se frappant la poitrine. Sa charge est rarement suivie d'un contact... gorille.

© Jean-Claude FOURNIER

Sur cette vue, on aperçoit un attribut très important chez l'otarie : les vibrisses. Ces poils possèdent des terminaisons nerveuses qui lui permettent de capter l'onde émise par un poisson. Elles jouent un rôle essentiel dans la communication entre les individus. L'érection des moustaches traduit un état d'excitation. Le toucher mutuel des vibrisses facilite la reconnaissance entre une mère et son petit, ou marque l'état d'agressivité entre mâles concurrents. otaries,galapagos,equateur.

© Jean-Claude FOURNIER

(Coragyps atratus) L'Urubu noir est un charognard, qui participe au nettoyage de l'environnement en s'attaquant aux cadavres de tous poils. Il tue aussi des proies vivantes : hérons, canards domestiques, veaux, petits mammifères, oiseaux, œufs... Il est monogame et effectue une seule nichée par an. La femelle dépose deux œufs, couvés par les parents pendant 40 jours. urubu,noir,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

Ce bébé guépard est recouvert d'un épais manteau de poils gris argenté, qui lui permet de mieux se camoufler dans l'herbe et aussi de se protéger du froid. Il commence à disparaitre à 3 mois, mais peut encore être observé à l'âge de 2 ans... guepard,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

La peau du tigre est d'une grande beauté. Tout comme nos empreintes digitales, les rayures du tigre sont uniques. Autre moyen d'identification : le nombre de poils de moustache, différent d'un individu à l'autre. tigre,bengale,inde.

© Jean-Claude FOURNIER

Le chevreuil finit par s'éloigner d'une vingtaine de mètres pour retourner à ses occupations... chevreuil, brocard

© Aurélie BLUSSEAU

Pendant le rut, les poils du dos du mâle sont souvent hérissés en une crête bien visible chamois

© Aurélie BLUSSEAU

L'aigle prépare son casse-croûte en arrachant des touffes de poils du lièvre

© Aurélie BLUSSEAU

Cet ours brun singulier porte une large bande de poils plus clairs au niveau du cou ours brun

© Aurélie BLUSSEAU

Les longs poils qui recouvrent les boeufs laissent toujours voir leurs chaussettes blanches

© Aurélie BLUSSEAU

Avec une toison hivernale exceptionnellement dense et épaisse, les boeufs ne craignent ni le vent, ni le froid

© Aurélie BLUSSEAU

Antilope que l'on rencontre sur les affleurements rocheux , l'oréotrague possède des sabots spéciaux lui permettant de sauter sur des rochers lisses ; son pelage formé de poils creux et rêches le protège des températures extrèmes . oréotrague Afrique du sud Kruger national park

© Thierry DUVAL

Dragon sculpté par Cadars, un Poilu cantonné dans la carrière du Chauffour en Picardie (France, Première Guerre mondiale). 14-18 Art des carrières Chauffour carrière souterraine creutes première guerre mondiale souterrain

© Jerôme et Laurent TRIOLET

"Dans les creutes de Laffaux, 1917" Le calme et la nonchalance des poilus vaquant à diverses tâches ménagères devant l'entrée des creutes qui les abritent contrastent avec les furieux combats qui virent la conquête de cette zone lors de l'offensive française du Chemin des Dames (16 avril - 2 novembre 1917). Les entrées, qui semblent avoir souffert des bombardements, ont été dégagées et le front s'est éloigné ; cette photographie a très certainement été prise à la fin du mois de novembre ou en décembre 1917 (France, Première Guerre mondiale). 14-18 Chemin des Dames archives creutes poilus première guerre mondiale souterrain tunnels

© Jerôme et Laurent TRIOLET

« Dans l’Aisne, Ambulance souterraine avec le Docteur Libessart. » Chirurgien, infirmier et blessés dans une creute de l’Aisne, en 1915 ? (France, Première Guerre mondiale). 14-18 archives carrière souterraine poilus poste de secours première guerre mondiale souterrain tunnels

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Poilus posant, dans une des cours à ciel ouvert de la carrière du Chauffour. Certains d'entre-eux sont en train de confectionner un châlit ; photographie de 1915 (France, Première Guerre mondiale). 14-18 Chauffour Oise archives carrière souterraine creutes première guerre mondiale soldats français souterrain tunnels

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Sculptures réalisées par les Poilus cantonnés dans la carrière du Chauffour en Picardie (France, Première Guerre mondiale). 14-18 Art des carrières Chauffour carrière souterraine creutes première guerre mondiale souterrain

© Jerôme et Laurent TRIOLET

<br><br>Autres noms français du Salsifis sauvage : Salsifis des prés ou encore Barbe de bouc <br>Nom anglais : Goat's-beard <br><br>Présentes dans toute la France, les fleurs de ce salsifis ne s'ouvrent que le matin (capitule jaune, longues bractées). Le reste du temps, on voit un faux calice de bractées refermé dont émergeront plus tard quelques poils lorsque le capitule ne s'ouvrira plus (d'où son nom de barbe-de-bouc). Ces poils deviendront des akènes (fruits secs) qui ressemblent à de petits parachutes inversés. <br><br> Salsifis sauvage Salsifis des prés Salsifis Tragopogon pratensis Goat's-beard Barbe de bouc France akènes fruits parachutes

© Monique Morin

<br><br>Autres noms français du Salsifis sauvage : Salsifis des prés ou encore Barbe de bouc <br>Nom anglais : Goat's-beard <br><br>Présentes dans toute la France, les fleurs de ce salsifis ne s'ouvrent que le matin (capitule jaune, longues bractées). Le reste du temps, on voit un faux calice de bractées refermé dont émergeront plus tard quelques poils lorsque le capitule ne s'ouvrira plus (d'où son nom de barbe-de-bouc). Ces poils deviendront des akènes (fruits secs) qui ressemblent à de petits parachutes inversés. <br><br> Salsifis sauvage Salsifis des prés Salsifis Tragopogon pratensis Goat's-beard Barbe de bouc France akènes fruits parachutes

© Monique Morin

<br><br>Autres noms français du Salsifis sauvage : Salsifis des prés ou encore Barbe de bouc <br>Nom anglais : Goat's-beard <br><br>Présentes dans toute la France, les fleurs de ce salsifis ne s'ouvrent que le matin (capitule jaune, longues bractées). Le reste du temps, on voit un faux calice de bractées refermé dont émergeront plus tard quelques poils lorsque le capitule ne s'ouvrira plus (d'où son nom de barbe-de-bouc). Ces poils deviendront des akènes (fruits secs) qui ressemblent à de petits parachutes inversés. <br><br> Salsifis sauvage Salsifis des prés Salsifis Tragopogon pratensis Goat's-beard Barbe de bouc France akènes fruits parachutes

© Monique Morin

<br><br>La maïsiculture est très consommatrice d'eau (irrigation). Or, le Sanglier a impérativement besoin d’humidité et d’eau. D'une part, parce qu'il consomme beaucoup d’aliments secs tel que des graines, des fruits durs... ce qui l’oblige à boire beaucoup. D'autre part, parce qu'il a pour habitude de se rouler dans des mares de boue que l'on appelle "souilles" pour se débarrasser des parasites qu'il transporte. Cette boue joue un rôle essentiel pour le Sanglier, car en séchant sur son poil, elle emprisonne les tiques et les poux dans une croûte de terre. <br><br>Depuis 2008, le Sanglier est inscrit sur la Liste rouge mondiale de l'UICN. <br>Depuis 2009, il est également inscrit sur la Liste rouge des mammifères continentaux de France métropolitaine. <br><br>Jeune Sanglier en mue sorti d'une souille <br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne) Sanglier Sus scrofa Wild Boar mammifères maïsiculture eau souilles Liste rouge France Allier Auvergne

© Monique Morin

<br><br>Autres noms français du Salsifis sauvage : Salsifis des prés ou encore Barbe de bouc <br>Nom anglais : Goat's-beard <br><br>Présentes dans toute la France, les fleurs de ce salsifis ne s'ouvrent que le matin (capitule jaune, longues bractées). Le reste du temps, on voit un faux calice de bractées refermé dont émergeront plus tard quelques poils lorsque le capitule ne s'ouvrira plus (d'où son nom de barbe-de-bouc). Ces poils deviendront des akènes (fruits secs) qui ressemblent à de petits parachutes inversés. <br><br> Salsifis sauvage Salsifis des prés Salsifis Tragopogon pratensis Goat's-beard Barbe de bouc France akènes fruits parachutes

© Monique Morin

Castor d'Europe. Se déplace le plus souvent de nuit et possède un excellent odorat, d'une très bonne ouïe et des vibrisses (moustaches et poils tactiles). Dans la nature son espérance de vie n'excède pas 7 à 8 ans (Castor fiber, Saxe, Allemagne). Castor d'Europe, Saxe, Allemagne.

© Eddie ROY

Castor d'Europe. Se déplace le plus souvent de nuit et possède un excellent odorat, d'une très bonne ouïe et des vibrisses (moustaches et poils tactiles). Dans la nature son espérance de vie n'excède pas 7 à 8 ans (Castor fiber, Saxe, Allemagne). Castor d'Europe en surface, Saxe, Allemagne.

© Eddie ROY

Attitude d'intimidation typique des oies et des Bernaches, ici il s'agit d'une Bernache du Canada (Branta canadensis). Elle avance en poussant des râles, cou tendu, tête rabaissée parallèlement au sol, (elle ressemble alors à un détecteur de métaux). En général, l'intrus déguerpi rapidement si non il y laissera des plumes... ou des poils !

© Eddie ROY

 

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