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Toujours sur le mème point d'eau prés d'Olifant's River,j'ai pu faire deux jours de suite cette observation du retour matinal à l'eau de l'hippopotame aprés le paccage nocturne. mammiferes afrique hippopotame

© Daniel Trinquecostes

La mouette à queue d'aronde est une mouette de grande taille.Elle pêche de nuit et c'est un spectacle trés interessant que de la voir suivre les bateaux durant leur déplacements nocturnes. mouette queue d'aronde

© Daniel Trinquecostes

<center> C'est un grand privilège, sur ce territoire, de pouvoir <br> observer et photographier des rapaces nocturnes. <br> Ce grand duc africain, très mimétique entre les branches<br> d'un acacia, nous offre cette chance. namibie Kagalagadi transfrontier Park, Grand duc Africain

© Maurice Chatelain

Loic VAISSIERE faune arbres surveillances poses branches faces adultes portraits seul solitaires oiseaux rapaces nocturnes strigides keoladeo park bharatpur rajasthan inde asie

© A&L Vaissiere & JJ Poirault

<b>Bubo bubo.</b> Cévennes. Le plus gros des rapaces nocturnes. Taille 65 cm pour une envergure de 1,80 m et un poids de 2,5 kg environ. Le régime alimentaire est adapté au site dans lequel il niche : rats, hérissons, poissons dont on retrouve les restes dans les pelotes mesurant une dizaine de cm. Il capture également des canards, gallinacés. Redoutable prédateur de rapaces nocturnes ou diurnes qu'il arrache des branches dans ses serres extrêments puissantes lors de vols de nuit . Hibou grand duc poussin. Le plus gros rapace nocturne.

© Yves Vallier

<b>Felis lynx.</b> Bayericherwald. De moeurs nocturnes ou crépusculaires, il se nourrit de petits mammifères : rongeurs, lièvres, d'oiseaux et d'animaux blessés. Lyn,x en hiver. Felis lynx. au Bayericherwald.

© Yves Vallier

<b>Caprimulgus climacurus.</b> Sénégal. Il se tient à terre durant la journée. Oiseau nocturne, il possède des vibrisses raides, implantées aux coins des mandibules, qui constituent des organes tactiles lui servant à capturer les insectes au vol dans la nuit. Homochromie, Engoulevent à longue queue, Caprimulgus climacurus.

© Yves Vallier

<b>Uroplatus sikorae.</b> Madagascar. Dans les forêts tropicales de l'est de la Grande île, la palme du camouflage revient à ce reptile nocturne qui se mêle aux mousses et lichens des troncs d'arbres. Il utilise une double technique de camouflage : chromatique et géométrique. Homochromie, Gecko à queue plate, Uroplatus sikorae. Reptile de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Otus bakkamoena.</b> Inde. A l'aube, ce petit rapace nocturne se réchauffe à l'entrée du trou protecteur. Immobile, entre l'ombre et la lumière, morceau d'écorce parmi l'écorce. Homochromie, Petit duc à collier, Otus bakkamoena, rapace nocturne de l'Inde.

© Yves Vallier

<b>Bufo bufo.</b> Europe. Aucune défense pour cet batracien, excepté, peut-être, son aspect repoussant. Sa couleur de terre ou de feuille d'automne et ses moeurs nocturnes sont ses principales armes de défense. Homochromie. Crapaud commun, Bufo bufo, batracien d'Europe.

© Yves Vallier

<b>Asio flammeus galapagoensis.</b> Ou hibou des marais. Iles Galapagos. Dans l'archipel dont Charles Darwin en a gravé la renommée, ce rapace nocturne n'a pas de prédateur et pourtant, il a conservé l'habitude de se confondre durant la journée avec les lychens et les mousses de la forêt tropicale. Homochromie. Hibou brachyote ou hibou des marais, Asio flammeus galapagoensis, des Iles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Uroplatus lineatus.</b> Gecko à queue plate, endémique et nocturne. Uroplatus lineatus, gecko bambou, espèce nocturne et endémique à Madagascar

© Yves Vallier

<b>Lepilemur microdon.</b>Lémurien endémique nocturne qui mesure une soixantaine de cm dont la moitié pour la queue. Habite les forêts pluvieuses, primaires ou secondaires de la partie sud de l'île, côte est. Solitaire, soumis à un régime exclusivement végétarien, il subit les nuisances dues à l'exploitation de la forêt et à la chasse par l'homme. Lepilemur microdon, lémurien nocturne, endémique de Madagascar

© Yves Vallier

Gecko à queue plate, endémique, nocturne. Arbore de gros yeux avec une pupille verticale. Il mesure 18 cm environ queue comprise. Sa répartition se disperse dans quelques lieux uniquement, le long de la côte est, dans la forêt pluvieuse. Gecko nocturne à queue plate, Uroplatus sikorae. Endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Lepilemur microdon.</b>Lémur endémique de petite taille. Le corps mesure une trentaine de cm plus la queue longue de 25 cm environ, pour un poids inférieur à 1 kg. Nocturne, inféodé à un régime végétarien constitué de feuilles, fleurs et fruits, il est cantonné aux forêts primaires pluvieuses situées le long de la côte est de la partie sud de l'île. L'exploitation à outrance de la forêt et le piégeage sont les principales causes de la diminution de ses effectifs. Lepilemur microdon, caméléon nocturne endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Sanzinia madagascariensis.</b>Boa femelle endémique de Madagascar. Pupille verticale et écailles ornant la mandibule supérieure rendent l'espèce facilement reconnaissable . De moeurs plutôt nocturnes, elle se situe dans la partie est de l'île, dans les forêts pluvieuses de préférence. Ovovivipare, elle donne naissance après 6 à 7 mois de gestation à une portée pouvant aller jusqu'à 16 jeunes d'une quarantaine de cm. Sa taille adulte peut dépasser les 2,5 m de longueur. Espèce protégée par la Convention de Washington. Sanzinia madagascariensis, boa femelle endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Otus bakkamoena.</b> Rapace nocturne. Le plus petit de la famille avec une taille avoisinant les 20 cm. Habite les forêts ouvertes où il chasse de nuit les scarabées et micro-mammifères. Petit duc à collier, rapace nocturne de l'Inde

© Yves Vallier

<b>Cheirogaleus major.</b>Petit lémurien endémique, nocturne, des forêts pluvieuses de l'est de Madagascar. Longueur du corps 23 cm environ et autant pour la queue, pour un poids de 3,5 kg. Habitant des forêts primaires ou secondaires et parfois de plantations de café ou de lychee. Régime omnivore composé de fleurs, fruits, nectar et insectes. A un rôle semblable à celui des abeilles en disséminant le pollen lorsqu'il se déplace pour cueillir sa nourriture. Cheirogaleus major, Chirogale de Milius, lémurien nocturne endémique de Madagascar

© Yves Vallier

<b>Caprimulgus macrurus.</b> Il est orfèvre dans l'art du mimétisme. Discret et immobile au point qu'un être humain peut passer à quelques cm de lui sans le lever. Oiseau nocturne, il capture principalement des insectes en vol. Engoulevent de Horsfield, roi du mimétisme.

© Yves Vallier

<b>Athene brama.</b> Ou Brame tacheté. Petite chouette d'une vingtaine de cm qui se nourrit de scarabées, micro-mammifères, jeunes oiseaux et lézards. Plutôt nocturne, elle regagne sa cache à l'aube et se réchauffe à l'entrée de l'orifice dans les premiers rayons du soleil. Chevêche brame ou tachetée rapace nocturne

© Yves Vallier

<b>Tyto alba.</b> Première victime des voitures qui la percutent en pleine nuit, car l'effraie est le seul nocturne a être ébloui par la lumière vive. Son aspect "fantomatique" et son cri plaintif faisait dire qu'il portait malheur. Ainsi, dans les campagnes, les gens capturaient cette chouette au piège à poteau, fortes mâchoires de fer disposées au sommet d'un poteau et qui se refermaient lorsque l'oiseau s'y posait. Cela lui brisait les pattes et la maintenait, suspendue, tête en bas l'entraînant dans une lente agonie. C'est alors qu'on la clouait sur les portes des granges pour "conjurer le mauvais sort". Chouette effraie, rapace nocturne

© Yves Vallier

<b>Tyto alba.</b> Chez les rapaces, les pattes servent à se défendre, capturer, tenir, tuer parfois. La force dans les serres peut-être considérable chez certaines espèces : Gérard Ménatory relate dans un de ses livres la décapitation d'un chat par un simple coup de patte d'aigle royal. Un vétérinaire qui manipulait, pour le soigner, un grand duc blessé a eu l'avant bras transpercé par son "pouce". Pour construire son nid, l'aigle royal casse des branches en plongeant, serres en avant. Pattes de Chouette effraie rapace nocturne. Tyto alba.

© Yves Vallier

<b>Tyto alba.</b> Chez les nocturnes, la surface des plumes est veloutée par des barbules finement prolongées par des duvets, ce qui élimine les frottements et les vibrations. Leur vol ainsi amorti ne produit aucun bruit de battement. Plumes d'effraie. Tyto alba. Rapace nocturne.

© Yves Vallier

<b>Tyto alba.</b>Famille des strigiformes qui inclue les strigidés, (chouettes et hibous) et les tytonidés (les effraies). Les rapaces nocturnes ont un champ visuel de 160° dont 50 à 60° de vision binoculaire, ce qui leur assure une excellente perception du relief. L'angle de vision réduit est compensé par une grande mobilité de la tête, permettant une rotation de 270°. Jeune effraie. Tyto alba. Rapace nocturne.

© Yves Vallier

<b>Bubo bubo.</b> Le hibou grand duc est le plus gros des rapaces nocturnes : une envergure de 1,80 m pour un poids de plus de 3 kg pour la femelle. Il possède une grande force dans les serres, qui ne laisse aucune chance de survie à sa victime. Grand duc européen. Bubo bubo.

© Yves Vallier

<b>Bubo bubo.</b> Les sucs digestifs des nocturnes ne contenant pas d'acide chlorhydrique, les poils, os et plumes sont rejetés régulièrement dans les pelotes. Ce grand rapace nocturne adapte son régime alimentaire selon les lieux de nidification. Il capture la nuit les oiseaux branchés, des rats dans les décharges, des hérissons, des batraciens et des poissons parfois. Grand duc. Bubo bubo. Rapace nocturne.

© Yves Vallier

<b>Strix aluco.</b> Le "chat huant". Les globes oculaires des rapaces nocturnes diposés cote à cote ont un volume hors de proportions. Ceux de la hulotte -qui ne mesure que 38 cm- sont plus gros que ceux de l'homme. Chouette hulotte. Strix aluco. Rapace nocturne.

© Yves Vallier

<b>Asio otus.</b> La famille des "ducs" (grand, moyen et petit) se distingue par des aigrettes de plumes situées au niveau du front. Les rapaces nocturnes ont une rétine tapissée uniquement de bâtonnets, probablement 100 fois plus que l'homme. Ils ne perçoivent donc pas les couleurs. Hibou moyen duc. Asio otus. Rapace nocturne.

© Yves Vallier

<b>Aegolius funereus.</b> L'acuité auditive exceptionnelle chez les rapaces nocturnes leur permet de repérer la nuit les déplacements des petits rongeurs grâce aux sons suraïgus qu'ils émettent. Chouette de Tangmalm

© Yves Vallier

<b>Accipiter nisus.</b> Chez les rapaces diurnes, la femelle est toujours plus grosse que le mâle, particulièrement chez les éperviers et les faucons. Spécialisé dans la chasse d'oiseaux en vol, l'épervier pratique le "vol ramé" en poursuivant sa proie. Epervier d'Europe. Accipiter nisus. Rapace nocturne.

© Yves Vallier

<b>Strix uralensis.</b> Les rapaces nocturnes ne construisent pas de nid. Ils préfèrent utiliser ceux abandonnés par d'autres espèces ou les cavités de falaises et d'arbres. Chouette de l'Oural. Strix uralensis. Rapace nocturne d'Europe.

© Yves Vallier

Athene canicularia. Chevêche des terriers. Athene canicularia. Rapace nocturne du Pantanal. Brésil.

© Yves Vallier

<b>Glaucidium passerinum.</b> Chouette chevêchette, Glaucidium passerinum, rapace nocturne d'Europe.

© Yves Vallier

<b>Bubo lacteus.</b> Botswana. Grand duc de Verreaux. Bubo lacteus. Botswana. Rapace nocturne. Afrique du sud.

© Yves Vallier

Chouette de l'Oural. Strix Uralensis. Rapace nocturne. Japon. Ho

© Yves Vallier

Campagne bretonne : En fin d'après-midi, le soleil n'est pas encore couché, cette effraie part en chasse. Et cela tous les jours. <BR> <a href="https://www.youtube.com/watch?v=fuaE5qsM-so" target="_blank"><B>Cliquez ici pour voir la vidéo "Chouette effraie, rapace nocturne? "</B></a> Bretagne, chouette, effraie, nocturne, chasse

© Jacky Bernard

Les lumières du couchant s'éteignent. Un à un, des museaux noirs et blancs émergent du terrier et se lancent dans d'interminables poursuites et jeux de cache-cache parmi les ajoncs en fleurs. 23heures le 1er mai. Affût. Mammifère, blaireau, nocturne, terrier.

© Jacky Bernard

© Pierre Vernay

Le Puma est présent dans l'ouest de l'Amérique du nord et dans toute l'Amérique du sud, plus particuliérement dans les zones montagneuses et forestières. Il est souvent décrit comme un gros chat. C'est un excellent chasseur, qui se nourrit principalement de petits mammifères, mais peut s'attaquer au bétail et aussi terrifier les populations... puma,felin.

© Jean-Claude FOURNIER

(Nyctibius grandis) Ce prédateur nocturne est un oiseau rare et extraordinaire. Proche de l'Engoulevent, il est sédentaire, vit dans la forêt dense de basse altitude. Dans la journée, on peut l'observer posé à la verticale sur une souche d'arbre. Son plumage gris lui permet de se fondre parfaitement au milieu des branches. Il chasse la nuit les grands coléoptères et aussi les chauve-souris. La période de reproduction s'étend de février à août. La femelle dépose un œuf. Celui-ci est couvé par les deux parents pendant un mois. L'oisillon devient autonome au bout de deux mois. Les prédateurs des nids sont les singes. Le défrichement de la forêt constitue une menace pour la survie de cette espèce... grand,ibijau,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

(Bubo virginianus) C'est le plus grand des rapaces nocturnes d'Amérique. Oiseau sédentaire, il niche dans d'anciens nids, dans des trous d'arbres et des corniches de falaise. C'est un excellent chasseur, qui se nourrit de petits mammifères, d'insectes, de reptiles, d'amphibiens et des oiseaux. L'espèce serait en régression grand,duc,amerique,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

(Boophis madagascariensis) Cette rainette arboricole et nocturne, avec de grands yeux se rencontre dans les forêts pluvieuses de l'Est. Les œufs sont déposés dans les ruisseaux ou les flaques d'eau, où les têtards se développent... grenouille,madagascar.

© Jean-Claude FOURNIER

Les rapaces nocturnes ne construisent pas de nids. Ils sont dépendants de nids déjà existants, soit de cavités dans des arbres, d'abris en falaise ou dans des constructions. L'Effraie niche le plus souvent dans les granges, les clochers ou les greniers. chouette effraie 10 juillet 201

© Jean-Claude FOURNIER

Troisième ville du Japon, Osaka grâce à son port est l'un des grands pôles commerciaux d'Asie. Mais ce qui la caractérise, c'est sa vie nocturne bruyante, frénétique autour du canal Dôtombori et de ses grandes enseignes lumineuses. Historiquement quartier des théâtres, Dôtombori se distingue par ses restaurants et sa cuisine inventive. Certains journalistes n'hésitent pas à proclamer Osaka comme la capitale gastronomique du monde. canal,dotombori,osaka,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

(Creagrus furcatus) C'est un oiseau endémique des Galapagos. Oiseau nocturne, la mouette quitte son nid à la tombée de la nuit et part pêcher en mer, jusqu'à 30 km de distance... Sur cette vue, séance de toilettage. mouette,queue,fourchue,galapagos,equateur.

© Jean-Claude FOURNIER

Lijiang est une ville très touristique, visitée par les chinois et les étrangers. On y trouve quantité de vêtements Naxi, viande de yak séchée, accessoires en cuir, remèdes composés à partir de plantes... et aussi de nombreux lieux de restauration et de loisirs. lijiang,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

(Caprimulgus) Oiseau nocturne aux longues ailes étroites, aux petits pieds et au très petit bec. Il fréquente les clairières, les lisières des forêts. Il possède l'art du camouflage. Il se nourrit de scarabées, de papillons de nuit... engoulevent,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

(Bubo lacteus) Ce rapace nocturne se repose le jour dans les grands arbres. Il chasse en début de soirée, se nourrissant de lièvres, mangoustes, hérissons, rats et pigeons... grand,duc,verreaux,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

Petit prédateur nocturne, semi-arboricole et solitaire, qui se nourrit de fruits, nectar et insectes, autant que de petits invertébrés... genette,masai,mara,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

Après les pluies nocturnes, retour éclatant du soleil sur la forêt et ses hôtes chevreuil

© Aurélie BLUSSEAU

Atterrissage nocturne d'un pygargue

© Aurélie BLUSSEAU

Visite nocturne d'un imposant sujet

© Aurélie BLUSSEAU

Virée nocturne pour le beau brun ours brun

© Aurélie BLUSSEAU

© Pierre-Georges Despierre

Chouette hulotte perchée sur l'arbre où se trouve son nid oiseau;rapace;chouette-hulotte;nocturne;strix-aluco;nid;arbre-mort;yvelines-78;france;

© Martial COLAS

Effraie des clochers dans un grenier oiseau;rapace;effraie-des-clochers;nocturne;tito-alba;grenier;eure-27;france;

© Martial COLAS

Effraie des clochers avec un campagnol dans le bec oiseau;rapace;nocturne;effraie-des-clochers;tito-alba;campagnol;proie;bec;eure-27;france;

© Martial COLAS

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© Martial COLAS

Effraie des clochers dans un grenier avec un campagnol dans le bec pour nourrir ses jeunes oiseau;rapace;nocturne;effraie-des-clochers;tito-alba;campagnol;nourrissage;jeunes;grenier;eure-27;france;

© Martial COLAS

Jeune hibou moyen-duc en posture d'intimidation oiseau;rapace;nocturne;hibou-moyen-duc;juvenile;intimidation;yvelines-78;france;

© Martial COLAS

Jeunes chouettes hulottes sur le bord de leur cavité oiseau;rapace;nocturne;chouette-hulotte;strix-aluco;juvenile;bord-du-nid;yvelines-78;france;

© Martial COLAS

Avec la nuit, la quiétude et la fraîcheur s’invitent dans le vaste patio, et les lumières viennent souligner les reliefs de l’écrin rocheux ; Lagomar, village de Nazaret (Lanzarote, Canaries). Canaries Lagomar Lanzarote Nazaret architecture rupestre artiste maison troglodytique troglodyte volcanique

© Jerôme et Laurent TRIOLET

<br><br> Nom anglais : Common toad <br>Bien que l'on pourrait penser le contraire, les mœurs du Crapaud commun sont essentiellement terrestres. A l'approche du printemps, du fond de sa cachette hivernal, cet anoure abandonne temporairement sa vie nocturne et solitaire pour un bain d'amour et ne rejoint l’eau que pendant la courte période de reproduction. <br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne) <br><br> Crapaud commun Bufo bufo Common toad Auvergne Allier solitaire terrestre nocturne eau

© Monique Morin

<br><br> Nom anglais : European tree frog <br>Bien qu'ayant des mœurs principalement nocturnes et crépusculaires, la Rainette verte aime prendre des bains de soleil de plusieurs heures, exposée sur des branches ou sur la végétation basse, mais toujours à proximité d'un point d'eau. Cependant, en période caniculaire, elle préfèrera un trou sous terre. Il n'est pas rare de trouver une petite Rainette au jardin, près d'une petite mare, voire dans la gamelle du chien. <br>La Rainette verte hiberne d'octobre à mars, soit dans la vase, soit dans une cachette comme une cavité de pierres ou sous un tas de feuilles mortes. <br>Son régime alimentaire est essentiellement constitué d'insectes volants, mais aussi de vers, de larves, d'araignées et de petits vertébrés. La Rainette capture ses proies à l'aide de sa langue qu'elle projette en avant. <br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne) <br><br> Rainette verte Hyla arborea European tree frog Allier Auvergne nocturne crépusculaire eau

© Monique Morin

<br><br>Nom anglais : Common toad <br>Les yeux sont de véritables joyaux. L'iris rouge-cuivre semble bien adapté à la vision nocturne du crapaud grâce à une pupille horizontale extensible. <br>Des glandes volumineuses sont visibles en arrière des yeux. <br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne) <br><br> Crapaud commun Bufo bufo Common toad Auvergne Allier yeux vision nocturne

© Monique Morin

<br><br>Nom anglais du Hérisson d'Europe : European Hedgehog <br>Autres noms français : Hérisson commun, Hérisson d'Europe occidentale, Hérisson d'Europe de l'Ouest ou plus simplement Hérisson ordinaire ou « hérisson » tout court <br>L'un de ces deux jeunes hérissons avait une patte blessée. Celle-ci a guéri après deux jours de soins. <br><br>L'espérance de vie du hérisson : <br>Les quatre premières semaines de la vie d'un hérisson sont souvent les dernières. Vingt pour cent des jeunes environ disparaissent avant d'avoir quitté le nid. Après un an, il ne subsiste que 30 % de la portée. S'ils passent ce cap, les jeunes ont de bonnes chances de survie jusqu'à 4 ou 5 ans. Cette survie dépend de la quantité de nourriture qu'ils vont pouvoir trouver. Environ quatre individus sur mille atteignent l'âge de 10 ans, mais il est rarissime qu'un hérisson vive plus longtemps. <br><br>Les principales causes de la mortalité du Hérisson d'Europe sont : <br>Les intoxications chimiques et le trafic routier. Mais il existe de nombreux autres facteurs de disparition de ce petit mammifère. Plusieurs études ont permis de mieux les connaître. <br><br>* Les intoxications chimiques (26 % des cas). Par l'ingestion de nourriture contaminée par des herbicides ou des pesticides (utilisés au jardin, dans les parcs ou dans les cultures). L'essentiel des menus du hérisson consiste en mollusques (limaces, vers de terre, escargots) et arthropodes en tous genres (coléoptères, hannetons, charançons, bousiers, perce-oreilles et autres carabes. Il mange également des araignées, des vers de terre et des sauterelles, des chenilles et des mille-pattes). Drôle de remerciement pour ce véritable ami du jardinier ; <br><br>* Les morts sur la route (24 % des cas). Souvent dus à la vitesse excessive des véhicules. Le hérisson a une vie essentiellement nocturne. De nuit, au delà de 80 km/h et à fortiori de 90, il est difficile à percevoir dans le faisceau des phares et donc de l'éviter ; <br><br>* Le parasitisme (18 % des cas). Mouches (larve), puces, tiques et autres acariens. Un hérisson dehors en pleine journée est exposé aux attaques des mouches. Elles pondent sur l'animal. En se développant, les asticots se nourrissent de sa chair et le malheureux meure en d'atroces souffrances ; <br><br>* La mort par épuisement (13 % des cas). La mort par épuisement concerne souvent des jeunes hérissons, dont la mère a disparu (morte ou "enlevée"). Incapables de se nourrir, ils meurent de faim. Des adultes pris au piège dans des fosses, des caniveaux y périssent aussi d'inanition. Il en est de même pour les hérissons pris dans des filets de protection pour les cultures. Dans les régions viticoles, par exemple, les hérissons périssent par dizaines chaque automne ; <br><br>* La prédation (9 % des cas). Les prédateurs naturels du hérisson sont le blaireau, le hibou grand-duc, le renard, le sanglier, la buse et la fouine. Signalons comme autres prédateurs le chien et très rarement le chat ; <br><br>* Autres causes (10 % des cas). Les maladies infectieuses, les accidents divers (noyade dans les trous et les piscines), les blessures, la disparition du bocage, la disparition des petits bois, le cloisonnement de nos jardins, les actes de cruauté ainsi que la vieillesse, etc. Cette dernière possibilité est désormais bien rare. <br><br>Depuis 2008, le Hérisson d'Europe est inscrit sur la Liste Rouge mondiale de l'UICN. <br>Depuis 2009, il est également inscrit sur la Liste Rouge des mammifères continentaux de France métropolitaine. <br>Il est protégé : <br>- Au niveau international par la Convention de Berne : Annexe III <br>- Au niveau national par le Code de l'environnement : Arrêté du 23 avril 2007 - Mammifères protégés - Article 2 <br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne) <br><br> Hérisson d'Europe Erinaceus europaeus European Hedgehog mammifères France Auvergne Allier Jeune Liste rouge protégé

© Monique Morin

<br><br>Autres noms français : Salamandre terrestre, Salamandre commune ou Salamandre de feu. <br>Nom anglais : Fire Salamander <br><br>Contrairement à ce que raconte la légende, la Salamandre ne traverse pas le feu. D'ailleurs, sa peau est si fragile qu'elle recherche plutôt la fraicheur des sous bois humides et commence à sortir le plus souvent en soirée. A cet effet, ses grands yeux noirs sont adaptés à une vision nocturne et crépusculaire. Son long corps également noir, possède des taches jaunes disposées en lignes, et propres à chaque individu. Ces taches constituent sa carte d'identité. <br>En Europe, ce joli et fascinant urodèle (amphibien avec une queue à l'état adulte) est en régression constante depuis au moins un siècle. Les principales causes sont : le recul des zones humides intra et périforestière par comblement ou drainage, la contamination de son environnement par les pesticides (elle est notamment sensible aux insecticides qui peuvent la tuer ainsi que ses larves, une faible dose étant suffitante), et la fragmentation écopaysagère en général et celle des forêts par les routes en particulier. <br><br>La Salamandre tachetée est protégée en France. Elle est classée comme "vulnérable" dans le Livre rouge des amphibiens de France. Cette espèce est protégée de portée : <br><br><li><b>Internationale</b> : <a target="_blank" href="http://conventions.coe.int/Treaty/fr/Treaties/Html/104.htm"><u>Convention de Berne : Annexe III</u></a target="_blank" href="http://conventions.coe.int/Treaty/fr/Treaties/Html/104.htm"> <li><b>Nationale</b> : <a target="_blank" href="http://legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000017876248"><u>Amphibiens et Reptiles protégés : Article 3</u></a target="_blank" href="http://legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000017876248"> <br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne) <br><br> Salamandre tachetée Salamandra salamandra nocturne Allier Auvergne urodèle amphibien protégée vulnérable pluie

© Monique Morin

A l'aube, les grues quittent leur lieu de repos nocturne plus au nord sur le lac. Ici, les cygnes chanteurs sont encore les seuls à occuper le terrain, mais plus pour longtemps. Hornborga, cygnes chanteurs

© Philippe GAUDIBERT

hibou moyen-duc, Asio tous, oiseau, strigiformes, nocturne, France

© Daniel MAILLARD

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© Daniel MAILLARD

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© Daniel MAILLARD

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© Daniel MAILLARD

Chouette effraie (Tyto alba, Côtes d'Armor, France) Chouette effraie, Tyto alba, rapace nocturne, rapace, dame blanche, ruine, prédateur, carnivore, Bretagne, Côtes d'Armor, Eddie Roy

© Eddie ROY

Chouette effraie (Tyto alba) Chouette effraie, Tyto alba, rapace, nocturne

© Eddie ROY

4ème place dans la catégorie « Oiseaux de Proie » du Concours Photo International du Festival de l’Oiseau et de la nature 2016 Oiseau Oiseau de proie Rapace nocturne Hibou Grand-duc de Verreaux Bubo lacteus Portrait Désert du Kalahari Parc Transfrontalier de Kgalagadi Afrique du Sud Animaux d'Afrique

© Tina Malfilatre

Portrait d'un Grand-duc de Verreaux se reposant dans un arbre en fin d'après-midi. Oiseau Oiseau de proie Rapace nocturne Hibou Grand-duc de Verreaux Bubo lacteus Portrait Désert du Kalahari Parc Transfrontalier de Kgalagadi Afrique du Sud Animaux d'Afrique Faune d'Afrique Afrique

© Tina Malfilatre

Oiseau; Oiseau de proie; Rapace nocturne; Hibou; Grand-duc de Verreaux; Bubo lacteus; Portrait; Désert du Kalahari; Parc Transfrontalier de Kgalagadi; Afrique du Sud; Animaux d'Afrique

© Tina Malfilatre

 

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