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Recherche sur le(s) mot(s) clé(s) : mollusques

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 Helcions bryozoaires algue laminaire Bretagne estran mollusque brouteur biodiversité

© Christophe Courteau

<b>Plegadis falcinellus.</b> Largement réparti en Asie : Pakistan, Inde, Bengladesh, Sri Lanka et Maldives. Echassier d'une cinquantaine de cm qui se nourrit de crustacés, mollusques, insectes le long des lits de rivières ou de marécages. Ibis falcinelle échassier habitant le marais

© Yves Vallier

<b>Diomedea melanophris.</b> Le jeune bénéficie d'attentions particulières :  épouillages et nourrissages quotidiens par régurgitation d'une bouillie composée de céphalopodes et de mollusques. Albatros à sourcils noirs, Diomedea melanophris, diomédéidé, oiseau de mer des îles circumpolaires et des îles Falkland

© Yves Vallier

<b>Platalea leucorodia.</b> Grand échassier élégant réparti sur tout le continent indien. La spatule parcourt les marais à la recherche de sa nourriture. Le bec, organe tactile, est plongé dans l'eau et d'un mouvement de godille, elle racle la couche de vase pour débusquer les larves, mollusques, insectes et grenouilles dont elle se nourrit. Spatule blanche, grand échassier des marais indiens.

© Yves Vallier

<b>Fratercula arctica.</b> Iles Shetland. Une longueur de 30 cm pour un poids de 340 g environ. Il se nourrit, selon les saisons, de petits poissons, lançons et sprats, de crustacés et de mollusques. Un oeuf unique est pondu et incubé durant une quarantaine de jours. Après une cinquantaine de jours passés au fond de la galerie, le jeune quittera son abri pour subvenir seul à ses besoins alimentaires. L'espèce régresse constamment en effectifs depuis le début du 20° siècle. Quelques centaines en France. Macareux moine avec poissons, Fratercula arctica, oiseau de mer, palmipède d'Europe.

© Yves Vallier

<b>Recurvirostra avosetta.</b> Hollande. Inféodée à un régime d'animaux vivant dans des eaux salées, vers, mollusques et larves, cet échassier fréquente le littoral, les plans d'eau stagnante et saumâtre. Espèce grégaire, elle constitue pour nicher des colonies et, lors des migrations d'automne, des rassemblements importants. Avocette. Recurvirostra avosetta. Echassier du littoral.

© Yves Vallier

<b>Lutra lutra.</b> Bayericherwald. Habite très près de l'élément liquide : marais, ruisseaux, lacs, marécages, littoral. Toujours en activité, elle passe son temps à sauter, plonger, nager, jouer avec ses compagnons. Elle se nourrit de poissons, mollusques, crustacés, oiseaux aquatiques. Loutre commune. Lutra lutra au Bayericherwald.

© Yves Vallier

<b>Limosa limosa.</b> Hollande. Echassier observé plutôt dans les marais et les prés humides où elle trouve les vers, insectes, mollusques et larves qui constituent son régime alimentaire. Elle niche au centre et dans le nord-est  de l'Europe jusqu'en Sibérie. La migration l'entraîne sur les bords de la Méditerranée et au nord de l'Afrique. Barge à queue noire. Limosa limosa Echassier. Hollande.

© Yves Vallier

(Vanellus spinosus) Le Vanneau éperonné vit sur les berges des plans d'eau, sur le sable, le gravier ou l'herbe rase. Il chasse les insectes, les vers, les mollusques et les petits crustacés. La femelle dépose de 2 à 6 oeufs... vanneau,eperonne,masai,mara,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

(Bucephala islandica) Ce mâle au plumage nuptial est un oiseau sédentaire. Canard plongeur, il se nourrit d'insectes, de crustacés et de mollusques. garrot,islande,male.

© Jean-Claude FOURNIER

(Histrionicus histrionicus) L'Arlequin plongeur est aussi appelé Garrot arlequin. En période nuptiale, le mâle (à gauche sur l'image) se distingue de la femelle par un plumage gris bleu sombre, les flancs marron et des raies blanches sur la tête, le cou et la poitrine. L'Arlequin plongeur adore les eaux torrentueuses. Il se nourrit d'insectes, de larves, de crustacés et de mollusques... arlequin,plongeur,islande.

© Jean-Claude FOURNIER

(Ardeola ralloides) C'est un petit héron, qui ressemble au Héron garde-boeufs et à l'Aigrette garzette. Il est très présent en Afrique de l'est. On le rencontre souvent perché en végétation haute, sur des papyrus ou des roseaux. Il se nourrit d'insectes, mollusques, crabes, poissons et grenouilles... Il niche dans les arbres de 2 à 20 mètres au dessus du niveau du sol ou de l'eau. La femelle pond de 3 à 6 œufs qu'elle incube pendant 3 semaines. Les jeunes quittent le nid au bout d'1 mois. crabier,chevelu,baringo,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

Les Flamants roses se nourrissent plutôt le jour, en capturant des proies de taille importante : crustacés, vers, insectes, mollusques. Ils vont à la pêche en s'immergeant la tête dans l'eau et la vase... flamants,roses,bogoria,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

Il se nourrit de poissons, mollusques, escargots et crustacés. Cette espèce a été beaucoup chassée pour la qualité de sa peau. Malgré des programmes de protection mis en place au Brésil et au Paraguay, le braconnage perdure... caiman,yacare,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

(Theristicus caerulescens) Il vit dans les espaces ouverts, fréquentant les zones humides (rizières, étangs et marais). Il se nourrit d'insectes, escargots d'eau et autres mollusques aquatiques. Il sonde la vase grâce à son long bec recourbé et adapté pour atteindre des proies dans l'eau et la boue. La femelle dépose 2 à 3 œufs, l'incubation assurée par les deux parents dure un mois. L'espèce n'est pas menacée. ibis,plombe,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

(Vanellus chilensis) Cet oiseau, typique d'Amérique du Sud vit dans les zones humides, sur les berges des fleuves et des lacs. Il possède sous les ailes des ergots, utilisés pour intimider ou combattre des oiseaux de proie. Le Vanneau téro est agressif et querelleur. Il se nourrit de petits poissons et d'invertébrés, d'arthropodes et de mollusques terrestres... vanneau,tero,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

(Conolophus subcristatus) L'iguane terrestre ressemble étrangement à l'iguane marin. On peut imaginer que ces espèces avaient à l'origine un ancêtre commun, et qu'au fil du temps il y  a eu divergence. L'iguane terrestre est végétarien comme l'iguane marin, sans toutefois dédaigner les insectes et les mollusques... iguane,terrestre,galapagos,equateur.

© Jean-Claude FOURNIER

(Himantopus himantopus) L'Echasse blanche peut être observée principalement dans les marais salants. Elle se déplace avec élégance dans les eaux peu profondes, où elle picore avec délicatesse, insectes, larves aquatiques, mollusques et crustacés... echasse,blanche.

© Jean-Claude FOURNIER

(Arenaria interpres) Comme son nom l'indique, cet oiseau retourne les pierres à la recherche de mollusques adhérant aux rochers. On le rencontre le long des côtes, plages et vasières littorales... tournepierre,collier,france.

© Jean-Claude FOURNIER

(Actophilomis africana) Remarquable par ses longues pattes grises et ses longues griffes, le Jacana africain vit sur les rivages boueux et dans les marécages à nénuphars et jacinthes d'eau où il se nourrit d'insectes et de mollusques... jacana,africain,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

(Jabiru mycteria) Le Jabiru d'Amérique est un grand échassier qui appartient à la famille des Cigognes. Il mesure de 115 à 130 cm et son envergure est de 260 cm. Il vit en colonies dans les zones marécageuses. C'est un oiseau monogame et le couple est formé pour la vie. Son alimentation est principalement constituée de poissons, d'amphibiens et de mollusques. Il lui arrive de manger des petits mammifères et des charognes fraîches. jabiru,amerique,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

(Ephippiorhynchus senegalensis) C'est un grand échassier repérable par son claquement de bec, qui vit dans les vastes marécages et rivages des plans d'eau salée ou douce. Il se nourrit de poissons, de criquets, de mollusques, de grenouilles et de lézards... jabiru,senegal,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

<br><br>
Autre nom français : Serpent de verre 
<br>Nom anglais : Slow Worm
<br><br>L'Orvet fragile craint autant le froid que la grosse chaleur et il ne s'expose au soleil qu'au printemps ou en automne. Actif surtout le soir et par temps pluvieux, si sa température interne est bonne, il est capable de se déplacer très vite. L'Orvet est très attaché à l'endroit qu'il habite. 
<br>L'Orvet fragile est un fouisseur qui passe beaucoup de temps sous terre. Il peut creuser lui-même ses galeries ou utiliser celles de rongeurs. Il hiverne dans le sol, dans des galeries, d'octobre à février-mars. Plusieurs Orvets peuvent hiverner ensemble entrelacés, formant un "nœud d'Orvets". Son régime alimentaire est carnivore. Il consomme principalement des Vers de terre, des Limaces,  des Insectes et leurs larves, des Mollusques et autres Cloportes et Araignées.
<br>L'Orvet fragile est très calme et ne cherche jamais à mordre. Pourtant, en dépit de ses qualités d'auxiliaire de l'agriculture et du jardin, la similitude de ce reptile avec les serpents en fait un mal aimé que l'on tue encore pour cette seule raison.
<br><br>Il peut vivre plus de 50 ans, pour peu qu'on lui en laisse le temps!

<br>Ce lézard est protégé de portée : 
<br><br><li><b>Internationale </b>: <a target="_blank" href="http://conventions.coe.int/Treaty/fr/Treaties/Html/104.htm"> <u>Convention de Berne : Annexe III</u></a target="_blank" href="http://conventions.coe.int/Treaty/fr/Treaties/Html/104.htm">
<br><li><b>Nationale </b>: <a target="_blank" href="http://legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000017876248"> <u>Amphibiens et Reptiles protégés : Article 3</u> </a target="_blank" href="http://legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000017876248">
<br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)
<br><br> Orvet fragile
Serpent de verre
Anguis fragilis
lézard
soleil
Allier
Auvergne
carnivore
espèce protégée
reptile

© Monique Morin

<br><br>Nom anglais du Hérisson d'Europe : European Hedgehog
<br>Autres noms français : Hérisson commun, Hérisson d'Europe occidentale, Hérisson d'Europe de l'Ouest ou plus simplement Hérisson ordinaire ou « hérisson » tout court
<br>L'un de ces deux jeunes hérissons avait une patte blessée. Celle-ci a guéri après deux jours de soins.
<br><br>L'espérance de vie du hérisson :
<br>Les quatre premières semaines de la vie d'un hérisson sont souvent les dernières. Vingt pour cent des jeunes environ disparaissent avant d'avoir quitté le nid. Après un an, il ne subsiste que 30 % de la portée. S'ils passent ce cap, les jeunes ont de bonnes chances de survie jusqu'à 4 ou 5 ans. Cette survie dépend de la quantité de nourriture qu'ils vont pouvoir trouver. Environ quatre individus sur mille atteignent l'âge de 10 ans, mais il est rarissime qu'un hérisson vive plus longtemps.
<br><br>Les principales causes de la mortalité du Hérisson d'Europe sont :
<br>Les intoxications chimiques et le trafic routier. Mais il existe de nombreux autres facteurs de disparition de ce petit mammifère. Plusieurs études ont permis de mieux les connaître. 
<br><br>* Les intoxications chimiques (26 % des cas). Par l'ingestion de nourriture contaminée par des herbicides ou des pesticides (utilisés au jardin, dans les parcs ou dans les cultures). L'essentiel des menus du hérisson consiste en mollusques (limaces, vers de terre, escargots) et arthropodes en tous genres (coléoptères, hannetons, charançons, bousiers, perce-oreilles et autres carabes. Il mange également des araignées, des vers de terre et des sauterelles, des chenilles et des mille-pattes). Drôle de remerciement pour ce véritable ami du jardinier ;
<br><br>* Les morts sur la route (24 % des cas). Souvent dus à la vitesse excessive des véhicules. Le hérisson a une vie essentiellement nocturne. De nuit, au delà de 80 km/h et à fortiori de 90, il est difficile à percevoir dans le faisceau des phares et donc de l'éviter ;
<br><br>* Le parasitisme (18 % des cas). Mouches (larve), puces, tiques et autres acariens. Un hérisson dehors en pleine journée est exposé aux attaques des mouches. Elles pondent sur l'animal. En se développant, les asticots se nourrissent de sa chair et le malheureux meure en d'atroces souffrances ;
<br><br>* La mort par épuisement (13 % des cas). La mort par épuisement concerne souvent des jeunes hérissons, dont la mère a disparu (morte ou "enlevée"). Incapables de se nourrir, ils meurent de faim. Des adultes pris au piège dans des fosses, des caniveaux y périssent aussi d'inanition. Il en est de même pour les hérissons pris dans des filets de protection pour les cultures. Dans les régions viticoles, par exemple, les hérissons périssent par dizaines chaque automne ;
<br><br>* La prédation (9 % des cas). Les prédateurs naturels du hérisson sont le blaireau, le hibou grand-duc, le renard, le sanglier, la buse et la fouine. Signalons comme autres prédateurs le chien et très rarement le chat ;
<br><br>* Autres causes (10 % des cas). Les maladies infectieuses, les accidents divers (noyade dans les trous et les piscines), les blessures, la disparition du bocage, la disparition des petits bois, le cloisonnement de nos jardins, les actes de cruauté ainsi que la vieillesse, etc. Cette dernière possibilité est désormais bien rare.
<br><br>Depuis 2008, le Hérisson d'Europe est inscrit sur la Liste Rouge mondiale de l'UICN.
<br>Depuis 2009, il est également inscrit sur la Liste Rouge des mammifères continentaux de France métropolitaine. 
<br>Il est protégé :
<br>- Au niveau international par la Convention de Berne : Annexe III
<br>- Au niveau national par le Code de l'environnement : Arrêté du 23 avril 2007 - Mammifères protégés - Article 2
<br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)
<br><br> Hérisson d'Europe
Erinaceus europaeus
European Hedgehog 
mammifères
France
Auvergne
Allier
Jeune
Liste rouge
protégé

© Monique Morin

<br><br>Nom anglais : European pond turtle
<br>Principalement carnivore, le régime alimentaire de la Cistude d'Europe se compose d’insectes, de mollusques aquatiques, de crustacés, de larves, de poissons malades ou morts et plus rarement, de têtards d'amphibiens. 
<br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)<br><br> Cistude d'Europe
Emys orbicularis
European pond turtle
tortue
carnivore
régime
France
Allier
Auvergne

© Monique Morin

L'ibis plombé fréquente les zones équatoriales humides du continent américain. Il se nourrit d'insectes et de mollusques aquatiques. C'est une espèce peu commune, mais qui n'est pas actuellement menacée. bolivie,rurrenabaque,ibis plombe,theristicus caerulescens

© Philippe GAUDIBERT

 

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