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<center>Bienvenue en Vallée d'Aoste.
C'est sur cette terre chargée d'histoires que je me propose de vous conduire. Le Massif du Grand Paradis est mon territoire de prédilection pour la pratique de la chasse photographique. C'est un jardin d'eden pour les naturalistes.<br>
Gravir les sentiers à la recherche d'indices de présence, observer longuement pour mieux appréhender son sujet. forêt,sous bois,montagne,alpes

© Maurice Chatelain

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Ambiance matinale sur cette route forestière. Très vite repéré,<br> ma présence oblige ce chevreuil à entrer dans la forêt. D'un bond,<br>
il franchit le fossé ; je l'entends longuement aboyer son irritation ! chevrette

© Maurice Chatelain

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Après avoir longuement cherché un endroit pour franchir le torrent,<br>
il trouve cette roche et en deux bonds, il rejoint l'autre rive ! chamois torrent saut grand paradis alpes

© Maurice Chatelain

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C'est en observant longuement que j'ai détecté<br>
cette petite harde. Image prise au 600 m/m. cabri  chamois mère alpes grand paradis

© Maurice Chatelain

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Nous avons longuement parlé d'images mais j'ai aussi<br>
commenté son dernier ouvrage. Il y mentionne, entre autres,<br>
le génocide arménien, sujet qui me tient particulièrement à coeur. yves Paccalet maurice chatelain

© Maurice Chatelain

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Suite aux avalanches, ces fermiers déblaient branches et 
brindilles <br>
  qui parsèment la prairie, la Renarde va vers eux,
s'assoit et <br> les observe longuement
puis reprend sa route. <br>Aucune agressivité de la part de ces humains-là. Renarde assise devant des fermiers. Nettoyage d'une prairie.Vallée de Cogne.Aoste.

© Maurice Chatelain

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J'ai longuement observé ce chamois mimétique (à gauche).<br>
Sans vouloir faire montre d'anthropomorphisme, je m'interroge :<br>
il me semble désorienté et je n'ai jamais vu un chamois avec<br>
un tel comportement, indécis, perdu. Le paysage a fortement changé,<br>
il est en vie et c'est le plus important. Chamois perdu après une avalanche;
Vallée de cogne, Grand Paradis. Aoste.

© Maurice Chatelain

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Puis, il m'envisage longuement.<br>
Gagner sa confiance et le tranquilliser. <br>Respecter ce prédateur, ce mal aimé sur le territoire français. Face à face entre le Renard et le photographe.
Grand Paradis aoste

© Maurice Chatelain

<center> Exercice journalier dès le réveil.<br>
Du sommet de la tête au bout de la queue. (panthera leo) Lion du Kalahari. Namibie. étirement dès le réveil.

© Maurice Chatelain

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Il saute du lit de bon matin, et ne part que si son esprit est net, <br>
son coeur pur, son corps léger comme un vêtement d'été. <br>
Il n'emporte point de provisions. Il boira l'air frais en route <br>
et reniflera les odeurs salubres.<br>
Il laisse ses armes à la maison et se contente d'ouvrir les yeux.<br>
Les yeux servent de filets ou les images s'emprisonneront<br>
d'elles-mêmes. La première qu'il fait captive est celle du chemin<br>
qui montre ses os, cailloux polis, et ses ornières, veines crevées,<br>
entre deux haies riches de prunelles et de mûres. <br>
Il prend ensuite l'image de la rivière. Elle blanchit aux coudes<br>
et dort sous la caresse de saules. Elle miroite quand un poisson<br>
tourne le ventre, comme si on jetait une pièce d'argent, et, <br>
dès que tombe une pluie fine, la rivière a la chair de poule.<br> 
Il lève l'image des blés mobiles, des luzernes appétissantes<br>
et des prairies ourlées de ruisseaux. Il saisit au passage le vol<br>
d'une alouette ou d'un chardonneret. Puis il entre au bois. <br>
Il ne se savait pas doué de sens si délicats. Vite imprégné<br>
de parfums, il ne perd aucune sourde rumeur, et, pour qu'il<br>
communique avec les arbres, ses nerfs se lient aux nervures<br>
des feuilles. Bientôt, vibrant jusqu'au malaise, il reçoit trop, <br>
il fermente, il a peur, quitte le bois et suit de loin les paysans<br> 
mouleurs regagnant le village. Dehors, il fixe un moment, <br>
au point que son oeil éclate, le soleil qui se couche et dévêt<br>
sur l'horizon ses lumineux habits, ses nuages répandus pêle-mêle.<br> 
Enfin, rentré chez lui, la tête pleine, il éteint la lampe et longuement,<br>
avant de s'endormir, il se plaît à compter ses images. Dociles, <br>
elles renaissent au gré du souvenir. Chacune d'elles en éveille<br>
une autre, et sans cesse leur troupe phosphorescente s'accroit<br>
de nouvelles venues,comme des perdrix poursuivies et divisées <br>
tout le jour chantent le soir, à l'abri du danger, et se rappellent<br>
 aux crues des sillons. ( Jules Renard 1896) Jules Renard écrivain français. Histoires Naturelles lithographie de Henri de Toulouse Lautrec. 1896. PRESSES UNIVERSITAIRES DE FRANCE. COLLECTION SOURCES.

© Maurice Chatelain

S'aidant de la patte, elle étire longuement son aile. Bretagne, oiseau, bécasse des bois, toilette, étirement

© Jacky Bernard

 

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