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Encore une observation faite dans le camp de Satara!C'est un oiseau trés courant que l'on observe aussi bien en ville que dans les zones rurales.Son aire de répartition couvre toute l'Afrique à l'exception de la zone de forêtpuvieuse et du sahara.Elle est proche entant qu'espéce de notre tourterelle des bois qui niche en Afrique du nord et hiverne dans le Sahel. photo tourterelle maillée

© Daniel Trinquecostes

<b>Falco peregrinus.</b> Jura. Rapace de corpulence moyenne : masse 550-650 g pour le mâle, 800-1100g pour la femelle. Longueur 35-40 cm pour le mâle, 40-50 cm pour la femelle. Envergure 70-85 cm pour le mâle, 95-110 cm pour la femelle. En Europe, ses effectifs sont estimés entre 7 et 8000 couples. Il se nourrit essentiellement d'oiseaux. Les proies sont capturées en plein vol à la suite d'une attaque à grande vitesse en piqué, ailes fermées. La réussite est d'une prise pour 4 à 6 attaques au dessus de l'eau et 15 à 20 attaques au dessus de forêts. Espèce répandue sur tous les continents à l'exception de l'Antarctique et de quelques îles des océans Indien et Pacifique. L'espèce est protégée en France et dans tous les pays industrialisés. (sources : René-Jean Monneret) Faucon pèlerin, Falco peregrinus, Jura et vallée du Rhône, sources René-Jean Monneret.

© Yves Vallier

<b>Falco peregrinus.</b> Espèce cosmopolite répandue sur tous les continents à l'exception de l'Antarctique et de quelques îles des océans Indien et Pacifique. Protégée en France et dans tous les pays industrialisés. Après une régression mondiale de 1945 à 1975, principalement imputable aux pesticides organochlorés, l'espèce a partout reconstitué une bonne partie de ses effectifs, à l'exception de la Scandinavie et de l'Amérique du nord. Bien que relativement "rare" en Europe, ses effectifs sont en accroissement constant depuis le milieu des années 70. Les populations les plus nombreuses se rencontrent en Ecosse, en Espagne, en Sicile, sur tout l'arc Alpin et les régions montagneuses adjacentes, à l'exception de celles, colonisées par le grand duc, où l'espèce est plus rare, voire absente. (sources : René-Jean Monneret) Faucon pèlerin, Falco peregrinus, Jura et vallée du Rhône, sources René-Jean Monneret.

© Yves Vallier

L'exceptionnelle biodiversité des Galapagos s'explique par la présence de trois grands courants marins : les masses d'eau froide apportées du sud par le courant de Humboldt, le courant de Cromwell amenant des eaux profondes et fraîches en provenance de l'ouest, et les masses d'eau chaude venant du Panama par le nord-est. Ces îles océaniques constituent un microcosme unique sur la planète. Animaux et plantes se sont développés en vase clos. Un grand nombre sont endémiques et ont inspiré un certain Charles Darwin."Les espèces qui survivent ne sont pas les plus fortes ni les plus intelligentes, mais celles qui s'adaptent le mieux aux changements" Charles Darwin. paysage,galapagos,equateur.

© Jean-Claude FOURNIER

 

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