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A Kyôto, 10 000 torii, formant un long corridor sur plusieurs kilomètres conduisent au sanctuaire Fushimi Inari, dédié à la déesse du riz Inari et plus largement à la richesse. Les Torii ont été financés par les hommes d'affaires et les entreprises et leurs noms inscrits sur les piliers. Le sanctuaire est aussi appelé temple du renard. Cet animal est considéré comme le messager d'Inari et le gardien du temple... kyoto,sanctuaire,fushimi,inari,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Appelée Geiko à Kyôto, la Geisha symbolise le charme, l'éducation, l'intelligence et la beauté. Formée pendant cinq ans dans une Okiya, elle maîtrise les arts d'agrément que sont la conversation, la danse, le chant, la poésie, la pratique d'un instrument (le shamisen, un luth à long manche, la flûte hayashi ou le tambour tsuzumi). Elle est aussi initiée à la calligraphie et à l'art floral (ikebana). Elle parle plusieurs langues étrangères. Image réalisée dans le quartier Ponto Chô à Kyôto. kyôto,geisha,ponto,cho,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

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Ponto Chô, le quartier des Geisha à Kyôto. ponto,cho,kyoto,japon..

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© Jean-Claude FOURNIER

Un monde où cohabitent modernité et tradition... kyoto,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Marché de Nishiki à Kyôto. Le Japon produit essentiellement du thé vert, qu'il destine en quasi-totalité à son propre marché. On attribue au moine Eichû d'avoir rapporté de Chine en 815, les premières graines de théier. C'est au XIIème siècle que fut introduit le thé en poudre, appelé matcha. marche,nishiki,kyoto,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

C'est la rivière aux canards qui traverse Kyôto et qui offre un lieu de promenade pour les habitants. On peut observer les maisons en bois qui abritent de nombreux bars et restaurants... kyoto,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

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© Jean-Claude FOURNIER

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© Jean-Claude FOURNIER

Haut lieu touristique du nord-est de Kyôto, notamment lors de la floraison des cerisiers, ce chemin longe un canal et rejoint les temples Ginkaku-ji et Eikan-do Zenri-ji. Il tire son nom du philosophe japonais zen Kitaro Nishida, fondateur de l'école philosophique de l'université de Kyôto, qui aimait y méditer. chemin,philosophie,kyoto,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

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© Jean-Claude FOURNIER

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© Jean-Claude FOURNIER

Vue du haut de l'hôtel de ville de Tôkyô. Avec sa banlieue, Tôkyô compte 37 millions d'habitants. En 1603, c'était un village de pêcheurs, appelé Edo. En 1868, au début de l'ère Meiji, qui marque le passage du Japon féodal au Japon moderne, l'empereur déplace sa résidence officielle de Kyôto à Edo, qui prend le nom de Tôkyô et devient la capitale politique et économique du Japon. D'un profil à dominante horizontale, la maison individuelle constitue l'élément prégnant du paysage urbain, mais la mégalopole tente de se développer de façon plus verticale. C'est le cas du quartier de Shinjuku qui est devenu un petit Manhattan. tokyo,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Ce qui singularise le jardin au Japon, c'est l'existence d'un espace sec ou zen, représentation abstraite d'un paysage naturel, inspiré du bouddhisme zen, dédié à la méditation. Le plus célèbre jardin zen est celui du Temple Ryôanji de Kyôto. Sur 300 m2 sont disposées 15 pierres qui symbolisent autant d'îles. Elles sont posées sur un lit de sable blanc, figurant la mer et méticuleusement ratissé chaque jour par les moines. Les pierres sont disposées de telle sorte qu'il est impossible de les voir toutes à la fois... jardin,sec,zen,kyoto,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

La gare de Kyôto est un immense temple d'acier et de verre, de 11 étages qui voit passer chaque jour plusieurs centaines de milliers de voyageurs. Construit en 1997, cet immeuble très contemporain conçu par l'architecte Hara Hiroshi cohabite avec de prestigieux monuments, témoignages du passé. Ainsi le toît de la gare aux lignes futuristes fait face à la Tour de Kyôto construite en 1964, à l'occasion des JO. . gare,kyoto,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Le plafond de la gare de Kyôto. gare,kyoto,japon.

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Le Pavillon d'or appelé "Kinkaku-Ji" à Kyôto flotte au dessus d'un miroir d'eau. Il est considéré comme le symbole de la beauté absolue. Edifié en 1937, il a d'abord été la résidence d'un général (shogun), avant de devenir à son décès en 1408, un temple zen. Incendié par un jeune moine en 1950, qui alléguera n'avoir pu supporter la présence de tant de beauté, dans un monde si imparfait, il a été reconstruit à l'identique et s'affiche au milieu d'un somptueux jardin où de nombreux pins incarnent la longévité et aussi la permanence sur l'océan du monde. pavillon,or,kyoto,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

C'est le vêtement traditionnel japonais. Kimono signifie "chose portée". A l'origine sous-vêtement, le kimono est utilisé dans les grandes occasions, mariages et fêtes. Il n'est pas rare cependant de croiser dans le quartier Gion à Kyôto ou dans le métro à Tôkyô, des hommes et des femmes, souvent jeunes, parés de ce vêtement traditionnel. Si le kimono des hommes est sombre, plutôt d'une seule couleur, noir, bleu, indigo ou vert foncé, celui des femmes est de couleur vive, savamment brodé ou imprimé de motifs associant fleurs et grues... kyoto,kimono,japon.

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L'o.mikuji est une divination aléatoire écrite sur des bouts de papier, que l'on tire au sort, après une offrande. La prédiction porte sur la santé, la vie sentimentale, la fortune... kyoto,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

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© Jean-Claude FOURNIER

Sortie de l'Okiya (école de formation des Geisha). La Geisha que l'on aperçoit en arrière plan part au travail. Elle accompagne une clientèle aisée (politiciens, hommes d'affaires...) dans une maison de thé ou un restaurant, où elle incarne avec distinction et grâce le rôle d'ambassadrice des arts traditionnels japonais. geisha,kyoto.

© Jean-Claude FOURNIER

 

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