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Recherche sur le(s) mot(s) clé(s) : kayak

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© Pierre Vernay

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Minuit, Frédéric Vernay et Jean-Yves Lapaix ne résistent pas à l'appel d'aller naviguer quelques instants dans ce fjord barré par un glacier  au fond.

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Traquer un ours polaire en kayak est particulièrement excitant mais la prudence doit être de mise car l'ours même traqué est capable de se rebiffer et d'attaquer .

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C'est la vue que l'on a du kayak quelques centimètres au ras de l'eau. Difficile d'apprécier ainsi la route à tenir en fonction des glaces.

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Tentant mais très dangereux. Côte sud de Devon island

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Le kayakiste doit être extrêmement prudent quand il approche des morses sur une plaque de glace. IL ne doit pas risquer de les faire plonger dans l'eau car les morses peuvent faire chavirer les kayaks.

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Frédéric Vernay fasciné par la muraille de glace de l'iceberg se dirige lentement vers elle. Le risque qu'un pan de glace se détache n'est pas négligeable.

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Les voiles sont d'une formidable aide pour un kayak quand le vent est portant. Il permet de remonter le courant contre du détroit de Bellot.

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En moins d'une heure, le détroit de Bellot s'est rempli de galces dérivantes sous l'action des forts courants de marée. Les kayaks devront rejoindre le  campement guidés par radio car au ras de l'eau, il était impossible de regagner la côte.

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Après 1 heure de pousuite en kayak, l'ours finit par se hisser sur un glaçon en équilibre et fixe Pierre quelques minutes avant de se remettre à l'eau et de nager vers son kayak ...

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A l'attention des photographes: Prise avec un F5, 300 mm depuis un kayak, le stress est à son comble ....

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Après  une heure de traque par des kayaks, l'ours polaire a compris qu'il n'était pas plus rapide dans l'eau. Aussi décide t'il de gagner la terre. il s'enfuiera dans les collines en se retournant de temps à autre.

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Frédéric Vernay fasciné par la muraille de glace de l'iceberg se dirige lentement vers elle. Le risque qu'un pan de glace se détache n'est pas négligeable.

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Dans l'arctique , Il n'est pas rare de devoir affronter des tempêtes en plein été avec de fortes précipatations. Dans
ces conditions, la mer se lève très vite et en kayak , il faut rapidement se mettre à l'abri.

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Les hommes vont reconnaître à pied la banquise compacte qui leur  barre la progression en kayak.

© Pierre Vernay

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