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Proche parent du coucal du Sénégal,il supplante celui-ci dans l'aire de répartition allant de l'est de la Tanzanie jusqu'au Cap.On peut fréquemment l'observer en plein soleil queue et ailes déployées. photo coucal de burchell

© Daniel Trinquecostes

Vivant dans les forêts claires et les savanes herbeuses,ce calao est un grand marcheur qui parcourt jusqu'à dix lilométres par jour.Il se nourrit en capturant ses proies au sol.Son menu est constitué de rongeurs,serpents,reptiles,batraciens et gros insectes.Une de ses caract"ristiques est de se déplacer en volant vers les feux de brousse pour capturer les animaux fuyant l'incendie. photo calao

© Daniel Trinquecostes

Je ne suis pas certain de l 'identification.S'il s'agit bien de cette espéce,elle est trés largement répartie et vit dans les zones semi désertiques et les savanes du Sénégal ,la Somalie et se répand jusqu'au Natal. photo outarde naine

© Daniel Trinquecostes

Caractérisé par son oeil rouge cerclé de jaune cet oiseau débarrasse les mammifères de leur parasites.Il vit dans les savanes herbeuses en présence des grands herbivores sauvages ou domestiques.Cet oiseau vit en bande et il est interressant de noter que dans celle ci un seul couple se reproduit et éléve jusqu'à 3 couvées par an.Il niche dans un arbre creux,au fond d'une cavité profonde d'un mêtre. photo pique boeuf

© Daniel Trinquecostes

Toffe était en 1997 agé de 4 ans! incroyable!Tout juste un gamin!C'est pour cela qu'on l' aime! cerf brame couché

© Daniel Trinquecostes

Il existe au beau milieu du camp de Satara une petite ile oû s'est installée une petite colonie de tisserins.Cet oiseau tisse un nid d'herbes muni d'un couloir d'accés.Chaque colonie peut compter de simplement quelques couples jusqu'à 400 individus.

© Daniel Trinquecostes

juste avant la pluie cerf brame

© Daniel Trinquecostes

Mickey tout juste avant la pluie. cerf brame

© Daniel Trinquecostes

Nous sommes en présence d'un très beau male d'impala photographié avant qu'il ne rentre dans le bush.On le rencontre depuis le Kenya etle Rwanda au nord jusque dans le nord est de l'Afrique du sud. mammiferes antilope afrique impala

© Daniel Trinquecostes

Le même que sur la précédente. La goutière de rejet est ici parfaitement visible. La photo est prise juste au dessus de la gueule principale. terrier blaireau

© Daniel Trinquecostes

Le cincle ne dédaigne pas chercher aussi sa nourriture juste en bordure de l'eau, dans la végétation basse.Ceci se vérifie d'ailleurs en période de très fortes eaux quand il est géné parun courant très puissant. CINCLE PLONGEUR Oiseaux PHOTOGRAPHIE DE CINCLE PLONGEUR PHOTOGRAPHIE de NATURE et de FAUNE SAUVAGE Daniel TRINQUECOSTES Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

Avec les précipitations l'eau a monté, le courant a forci, pourtant cela ne l'empêche pas de se tenir dans l'eau jusqu'au ventre .Il cherce à cet endroit des larves bloquées contre le muret ! CINCLE PLONGEUR Oiseaux PHOTOGRAPHIE DE CINCLE PLONGEUR PHOTOGRAPHIE de NATURE et de FAUNE SAUVAGE Photographe naturaliste Daniel TRINQUECOSTES Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

Cerf de pluie .....l'averse fut soudaine, juste le temps de se mettre à l'abri sous un de ces chênes plusieurs fois centenaires qui ornent ce parc et d' attendre. Et il vint ! Parc de DYREHAVEN .Brame 2006 Cerf au brame.Brame du cerf Dyrehaven 2006 Mammifère. Cerf élaphe.Cervus élaphus. Photographie de faune sauvage. Daniel TRINQUECOSTES Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

Scène très étonnante à laquelle nous avons assisté par 2 fois : un jeune qui piaille de manière incessante au point qu'il attire votre attention tellement il fait de raffut. Et puis un ou deux adultes qui s'approchent ensuite et lui flanque une raclée qui vous cloue sur place de stupéfaction ! Les coups pleuvent, le petit se fait tordre le coup au sens propre du terme, l'adulte va jusqu'à lui monter dessus et le piétiner sans vergogne tout en continuant à lui asséner des coups de bec. Et ce, jusqu'à ce que le petit se taise. Si il se redresse un peu et ré émet un son, les coups retombent. Très impressionnant ! Nous nous sommes demandés si les adultes n'allaient pas finir par le tuer, au rythme où ils s'acharnaient dessus. Finalement, le petit a fini par se relever et par s'éloigner en silence... Dix minutes plus tard, il se remettait à brailler...

© Diane CASTANET & Olivier HERVIEU

<center> Observation de l'île-volcan depuis le bateau.<br> Encore en activité, laissant échapper de larges<br> panaches de fumée, il n'est pas toujours permis <br> d'en faire l'ascension. Sur ses flancs abrupts,<br> les pierres instables roulent jusqu'à la mer. stromboli, volcan, eoliennes.

© Maurice Chatelain

Cette petite fille , conservera sa coiffure jusqu'à la puberté Petite fille himba et sa coiffure. KOAKOLAND. NAMIBIE.

© Maurice Chatelain

<center> L'Inde : pays ô combien attirant ! A peine rentré de ce pays extraordinaire, je cherche déjà une date pour y retourner.<br> "L'Inde n'est pas un pays que l'on peut simplement visiter.<br> C'est une contrée qui exige un engagement total <br> et que l'on n'oublie jamais." (LONELY PLANET).<br> Quelques images toutes simples, glanées au cours de<br> mes nombreux séjours ; des rencontres au hasard des villages<br> traversés ; toutes au Rajasthan, depuis Delhi jusqu'au désert <br> de Thar. Viendront plus tard, des images faites dans le Madhya<br> Pradesh et l'Uttar Pradesh. Et toujours le sourire, la beauté<br> des regards et les merveilleuses couleurs des saris des femmes. fleurs,couleur,plante

© Maurice Chatelain

<center> Quelques belles scènes à photographier tandis que nous<br> nous approchons d'une langue de sable pour rejoindre nos véhicules.<br> Nous irons, en suivant le bord de mer, jusqu'à Sandwich Harbour.

© Maurice Chatelain

La côte de NAMIBIE. Plage de Sable. Les dunes descendent jusqu'au bord de la mer.

© Maurice Chatelain

<center>La caldera de ce vieux volcan légendaire est classée<br> au patrimoine de l'humanité. Tous les biotopes sont<br> réunis dans ce sanctuaire, du marais au désert, <br> en passant par une superbe forêt, jusqu'aux lacs<br> permettant d'observer, outre les mammifères emblématiques,<br> une faune ailée extraordinaire : flamants roses, ibis, <br>pélicans, oies, grues, jabirus, hérons, ombrettes... Ngorongoro afrique Tanzanie

© Maurice Chatelain

<center> L'emplacement va être un peu juste.

© Maurice Chatelain

<center> Il saute du lit de bon matin, et ne part que si son esprit est net, <br> son coeur pur, son corps léger comme un vêtement d'été. <br> Il n'emporte point de provisions. Il boira l'air frais en route <br> et reniflera les odeurs salubres.<br> Il laisse ses armes à la maison et se contente d'ouvrir les yeux.<br> Les yeux servent de filets ou les images s'emprisonneront<br> d'elles-mêmes. La première qu'il fait captive est celle du chemin<br> qui montre ses os, cailloux polis, et ses ornières, veines crevées,<br> entre deux haies riches de prunelles et de mûres. <br> Il prend ensuite l'image de la rivière. Elle blanchit aux coudes<br> et dort sous la caresse de saules. Elle miroite quand un poisson<br> tourne le ventre, comme si on jetait une pièce d'argent, et, <br> dès que tombe une pluie fine, la rivière a la chair de poule.<br> Il lève l'image des blés mobiles, des luzernes appétissantes<br> et des prairies ourlées de ruisseaux. Il saisit au passage le vol<br> d'une alouette ou d'un chardonneret. Puis il entre au bois. <br> Il ne se savait pas doué de sens si délicats. Vite imprégné<br> de parfums, il ne perd aucune sourde rumeur, et, pour qu'il<br> communique avec les arbres, ses nerfs se lient aux nervures<br> des feuilles. Bientôt, vibrant jusqu'au malaise, il reçoit trop, <br> il fermente, il a peur, quitte le bois et suit de loin les paysans<br> mouleurs regagnant le village. Dehors, il fixe un moment, <br> au point que son oeil éclate, le soleil qui se couche et dévêt<br> sur l'horizon ses lumineux habits, ses nuages répandus pêle-mêle.<br> Enfin, rentré chez lui, la tête pleine, il éteint la lampe et longuement,<br> avant de s'endormir, il se plaît à compter ses images. Dociles, <br> elles renaissent au gré du souvenir. Chacune d'elles en éveille<br> une autre, et sans cesse leur troupe phosphorescente s'accroit<br> de nouvelles venues,comme des perdrix poursuivies et divisées <br> tout le jour chantent le soir, à l'abri du danger, et se rappellent<br> aux crues des sillons. ( Jules Renard 1896) Jules Renard écrivain français. Histoires Naturelles lithographie de Henri de Toulouse Lautrec. 1896. PRESSES UNIVERSITAIRES DE FRANCE. COLLECTION SOURCES.

© Maurice Chatelain

<center> Pleine, jusqu'à la poste et de chaque côté du boulevard...

© Maurice Chatelain

<center> Les coins retiennent l'arbre et le bûcheron poursuit <br> le tronçonnage jusqu'à la chute du géant. tronçonnage finale .chêne abattage. bûcheron.

© Maurice Chatelain

<CENTER> Les feuilles s'enflamment au soleil couchant. <br> Bientôt, elles s'habilleront de brun et <br>resteront accrochées ainsi jusqu'au printemps. Chêne à l'automne

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

<center> Triste fin pour ce jeune chat, heurté à la tête.<br> Il gisait ainsi, au bord du trottoir, juste devant ma porte.

© Maurice Chatelain

<center>Ce matin, tandis que je déjeunais, un oiseau a violemment heurté<br> le carreau de la fenêtre, juste en face de moi ; c'est un rouge-queue,<br> mort sur le coup. L'idée, bien sûr, s'impose à moi : offrir ce repas providentiel. Arrivé à mon affût, je le place donc sur un rocher,<br> à l'écart du terrier pour ne pas déranger sa quiétude. Elle le découvre, le prend délicatement et va le porter à ses jeunes. renarde et un oiseau dans la gueule

© Maurice Chatelain

<center>Plus d’une vingtaine d’associations de protection de la nature, dont l’ASPAS, <br>manifesteront samedi 16 janvier 2016, à Lyon. Après un rassemblement statique <br>sur la place Bellecour, les manifestants se rendront en cortège jusqu’à la préfecture<br> de la région Rhône-Alpes, où le dossier Loup est géré <br>administrativement pour l’ensemble du territoire national. Manifestation pour dire non à la chasse aux loups LYON FRANCE.

© Maurice Chatelain

<center> C'est le digne fils de son père. Ayant baigné dans<br> ce monde depuis son plus jeune age, ses images<br> sont aujourd'hui reconnues et justement récompensées.<br> Michel, tu dois être bien fier du chemin parcouru. vincent munier photographe

© Maurice Chatelain

<center> Une approche prudente de cette prairie, sans trop chercher le <br> cadrage au risque de les faire fuir. Juste mémoriser la scène. Harde Chevreuils mères et jeunes

© Maurice Chatelain

<center> Il disparait et entre dans la plantation de résineux, <br> pour ressortir juste dans notre allée, face à nous.<br> Heureusement, nous espérions le voir traverser justement ici. <br> 3 images et le voilà disparu.<br> Ainsi se termine mon séjour "Brame 2015". CERF en bordure d'un sous bois. de profil. Regard vers le photographe.

© Maurice Chatelain

<center> J'ai cru un instant qu'il s'agissait d'un terrier <br> mais non... Juste un recoin de la montagne.

© Maurice Chatelain

<center> Agréable d'y passer une nuit juste pour le plaisir de se réveiller <br> dans ce bel environnement. L'eau est stockée dans des récipients, <br> quelques bougies, un peu de nourriture et un cahier pour y noter <br> votre passage. Ne pas oublier de bien refermer la porte, <br> de laisser le lieu aussi propre qu'à votre arrivée, <br> et surtout de redescendre vos déchets.<br> Quoi de plus normal, me direz-vous l... Interieur du bivouac money. Vallée de Valnontey. Grand Paradis Vallée d'Aoset

© Maurice Chatelain

<center> Le terrain, plissé par la neige, laisse apparaître le haut <br> de sa tête ainsi qu'une infime partie de son dos.<br> Dommage pour le manque de lumière. Renard couché dans la neige. Juste apparent derrière le pli du terrain , ses oreilles et le haut du dos.

© Maurice Chatelain

<center> Pour obtenir cette ambiance que j'aime singulièrement : <br> celle où l'animal se découpe. Renard qui laisse apparaître juste le haut de sa tête

© Maurice Chatelain

<center> J'ai tout de suite remarqué cette forme si caractéristique, juste à<br> la sortie de mon hameau. Je crains qu'il ne s'agisse de ce jeune<br> mâle observé à plusieurs reprises aux abords d'un champ qui jouxte<br> le petit bois derrière chez moi. Je ne l'avais pas encore <i>affûté</i> <br> et je n'en aurai, malheureusement et définitivement, plus l'occasion... renard mort, borde de route

© Maurice Chatelain

<center>Elle reste parfois sur le muret jusqu'au coucher du soleil. CHAT BLANC couché lumière du soir

© Maurice Chatelain

dernière ligne droite. L’arrivée est au bout, comme pour le marathon. Grace au sport je suis encore là. Combien de temps reste-t-il à ma pendule ? « LES YEUX DANS LES YEUX » Les heures s’écoulent, le soleil décline lentement, le jour s’éteint. Nous devrons quitter ce poste …. Puis l’improbable arriva. Un scoop dirons-nous. La chance du chasseur d’images. Nous étions à l’affut engoncé - gêner dans une voie de passage faites d’épines. Une haie sépare deux prairies de fauche. Nous avions une vue intéressante face à nous. Les roseaux avaient été coupés. Elle offrait une vision lointaine. Impossible de bouger, accrocher ici et là aux épines. Taillis ou nous avions juste la place de poser nos sièges. Une belle coulée qui marque la fréquence, malgré les épineux qui agrippent. Images faites, il y a quelques jours avec mon ami, je dirai « frère d’armes » de l’ ASCPF. Le calme régnait, pas un son, pas d’aboiement caractéristique du chevreuil. Si, un faisan se manifestait par moment. Nous attendions en Paix, échangions discrètement quelques signes. Écoutions le silence nous parler, seul sur cette étendue de terre. Nous avons la chance de pouvoir circuler à notre guise avec l’autorisation des propriétaires. Puis ! L’impossible arriva. Un léger bruissement, il s’arrêta nous fixant sans bouger. Les yeux dans les yeux. Le son de nos déclenchements successif n’a eu aucun effet sur le solitaire. Cet instant, ce face à face, dura une minute. Il était 18h30. Le temps pour moi de déclencher à 5 reprises. Sans me rendre compte qu’il avait légèrement bouger la tête, laissant apparaitre le haut de son boutoir. Puis la dernière vue me permit de constater la masse sombre de son profil. Le résultat est intéressant. Mon ami a déclenché 2 fois. Il était équipé d’un zoom et n’a pas osé bouger pour changer sa focale. Personnellement j’avais monté sur mon boitier, un 300 m/m + un multiplicateur 1,4 l’ensemble sur un monopod. Il poursuivi son chemin tout aussi silencieux. Cela nous a semblé irréel. MC

© Maurice Chatelain

<center> J'ai déplacé ce pauvre Mustélidé qui, encore une fois,<br> a eu le tort de quitter son terrier. Sa tête blanche, <br> coupée de deux raies noires sont ici bien visibles... <br> Puis, je l'ai déposé dans le fossé qui borde la nationale 10,<br> juste à la sortie de mon village. Blaireau mort sur la route.

© Maurice Chatelain

<center>En fin de journée, la chaude lumière éclaire cette scène<br> qui, par le seul regard du félin au végétal, justifie pleinement,<br> (si besoin en était...), le titre donné à cette rubrique. guépard arbre afrique

© Maurice Chatelain

Les femmes sont chargé de la corvée de bois. Le chemin est long encore jusqu'à son village. Coprvéé de bois. femme HIMBA. KAOKOLAND. NAMIBIE.

© Maurice Chatelain

<center> L'image est tout aussi saisissante... <br> Monsieur le conducteur immatriculé 74 qui, en cette matinée<br> du 31 juillet 2006 avez, délibérément et sans état d'âme,<br> éclaté (le mot est si juste) cette tortue, comme je voudrais<br> que vous veniez sur mon site afin de contempler le résultat<br> de votre indifférence ou pis, de votre mépris d'une vie animale !<br> J'ai, bien sûr, voulu vous trouver des circonstances atténuantes,<br> telle votre volonté de mettre une distance entre votre voiture et<br> le piéton que j'étais mais étant suffisamment en retrait de la route<br> pour vous éviter tout écart... NON ! Décidément, il n'y a aucune<br> excuse à votre abject, honteux et criminel comportement. <br> Bien que le geste soit dérisoire, je n'ai pu me résoudre<br> à laisser la dépouille : le fossé l'a recueillie. cistude..morte sur la route tortue

© Maurice Chatelain

Loïc VAISSIERE paysages naturels herbes collines soleil nuages gris pres prairies ciel iles archipels shetland ecosse royaume unis

© A&L Vaissiere & JJ Poirault

<b>Marmota marmota.</b> Grand Paradis. En automne, avant de disparaître dans son terrier pour plusieurs mois, la marmotte se nourrit abondamment et engraisse ainsi jusqu'à doubler son poids. Marmotte des Alpes devant son terrier en automne. marmota marmota.

© Yves Vallier

<b>Callorhinus ursinus.</b> Le mâle pèse 300 kg au début de la saison de reproduction, avant la constitution des harems. Il perdra jusqu'à 25 % de son poids durant son séjour à terre. La femelle, quant à elle, ne pèse qu'une cinquantaine de kg. Otaries à fourrure du nord, Callorhinus ursinus, îles Pribilof.

© Yves Vallier

<b>Capra ibex.</b> Grand Paradis. C'est un animal trapu et puissant qui peut peser jusqu'à une centaine de kg. Les sabots sont larges, avec des soles élastiques et spongieuses qui lui procurent une grande adhérence sur les roches. D'une agilité diabolique, le bouquetin franchit des passages sur des vires n'offrant des prises que de quelques cm seulement de largeur."Le bouquetin est un honneur, pour notre siècle, dans l'histoire de la nature" (Robert Hainard). Bouquetin des Alpes mâle adulte, Capra ibex.

© Yves Vallier

<b>Limosa limosa.</b> Hollande. Echassier observé plutôt dans les marais et les prés humides où elle trouve les vers, insectes, mollusques et larves qui constituent son régime alimentaire. Elle niche au centre et dans le nord-est de l'Europe jusqu'en Sibérie. La migration l'entraîne sur les bords de la Méditerranée et au nord de l'Afrique. Barge à queue noire. Limosa limosa Echassier. Hollande.

© Yves Vallier

<b>Ciconia ciconia.</b> Charente. Cet échassier populaire arpente les prairies humides, les marécages où il capture les grenouilles, petits rongeurs, taupes et reptiles qui composent son menu. Le couple est uni pour la vie et réoccupe chaque année le même nid qu'il restaure dès son arrivée en mars. Il peut atteindre ainsi jusqu'à 2 m de hauteur. Les 4 oeufs sont couvés durant 1 mois. Les jeunes s'envolent 2 mois plus tard. Les cigognes se rassemblent dès août et gagnent l'Afrique pour hiverner. L'espèce avait presque disparu de l'exagone, mais peuple à nouveau plusieurs régions de France. Cigognes blanches couple. Ciconia ciconia . Echassier de Charente

© Yves Vallier

<b>Lunda cirrhata.</b> Il se rencontre le long des côtes orientales de la Sibérie en mer d'Okhotsk et le long de celles de l'océan Pacifique, jusqu'en Californie. Macareux huppé, Lunda cirrhata. Oiseau de mer de la famille des Alcidés. Mers de Béring et d'Okhotsk, océan Pacifique nord.

© Yves Vallier

<b>Furcifer balteatus.</b> Madagascar. Un des champions de l'"homochromie mobile" puisqu'il change de couleur. Il prend la couleur d'un feuillage et de plus, il affine son camouflage jusqu'à dessiner sur son abdomen la nervure de cette feuille. Homochromie mobile, caméléon.

© Yves Vallier

<b>Diomedea melanophris.</b> Ce superbe voilier, compagnon occasionnel des longs coursiers, hante les mers et océans de l'hémisphère sud exclusivement, jusqu'aux limites de la banquise, entre les 40° et 60° sud. Albatros à sourcils noirs, diomédéidés, oiseau de mer de l'hémisphère sud, Iles Falkland.

© Yves Vallier

<b>Mirounga leonina.</b> Jeunes femelles. Phoque persécuté jusqu'en 1900 pour en prélever sa graisse. Eléphant de mer, mammifère marin de l'hémisphère sud, Iles Falkland.

© Yves Vallier

<b>Diomedea melanophris.</b> Le couple, fidèle à vie, construit un nid en boue, de forme tronconique. Réutilisé chaque année, il peut mesurer jusqu'à 90 cm. de hauteur. La femelle couve seule l'oeuf unique durant 60 jours. Albatros à sourcils noirs. Diomedea melanophris, Diomédéidés, oiseau de mer des Iles Falkland.

© Yves Vallier

<b>Otaria byronia.</b> Otarie de l'hémisphère sud présente tout le long de la côte d'Argentine et sur celles du Pacifique jusqu'en Colombie. Le mâle peut atteindre 2,25 m. de longueur pour un poids de 600 kg. environ. Lion de mer du sud. Otaria byronia. Pinnipède de l'hémisphère sud.

© Yves Vallier

<b>Pygoscelis papua.</b> Grand plongeur, il peut descendre jusqu'à 150 m. de profondeur. Sa distribution est circumpolaire, sur les îles subantarctiques situées entre les 46° et 65° de latitude sud. Manchot papou, Pygoscelis papua, sphéniscidé habitant les îles subantarctiques.

© Yves Vallier

<b>Eudyptes crysolophus.</b> Ce puissant manchot mesurant 71 cm. pour 6kg. n'hésite pas à s'éloigner jusqu'à 300 km. de sa colonie pour chercher sa nourriture, effectuant ainsi des déplacements de trois jours. Il niche en colonies regroupant parfois 3 millions d'individus ou peut être nicheur isolé, dans une colonie de Gorfous sauteurs. Gorfou doré ou macaroni, Eudyptes crisolophus, manchot, sphéniscidé.

© Yves Vallier

<b>Butoroïdes sundevalli.</b> Iles Galapagos. Un morceau de basalte posé sur de la lave, des gestes contrôlés, couleur "ton sur ton", il approche ainsi les crabes ou les petits poissons dans les marres au jusant. Homocromie. Héron des laves, échassier des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Partage.</b> Cette capture est profondément encrée dans les moeurs des insulaires et ainsi, des troupes de 50 à 300 individus sont décimées, jusqu'au dernier. Chasse des Globicéphales aux îles Féroé.

© Yves Vallier

<b>Eudyptes chrysocome.</b> Les gorfous se groupent pour pêcher. Pour ce faire, ils se rendent parfois jusqu'à une cinquantaine de km. de la colonie pour trouver les crustacés dont ils se nourrissent. Gorfou sauteur groupe. Eudyptes chrysocome. Manchot des Iles Falkland et des ^^iles subantarctuqes.

© Yves Vallier

<b>Argema mittrei.</b> Espèce endémique. C'est l'un des plus gros papillons du monde. Le mâle mesure jusqu'à 20 cm de longueur de la tête au bout de la queue. Papillon endémique, Argema mittrei.

© Yves Vallier

<b>Mirounga leonina.</b> Véritable géant parmi les pinnipèdes, ce phoque mâle peut dépasser les 5 m. de longueur pour un poids approchant les 4 tonnes. Il peut descendre jusqu'à 600 m. de profondeur réalisant des apnées d'une vingtaine de minutes pour capturer les seiches et calmars. Eléphant de mer, Mirounga leonina, pinnipède géant de l'hémisphère sud.

© Yves Vallier

<b>Aptenodytes patagonica.</b> Mue après la période de reproduction. Il peut descendre jusqu'à 300 m. de profondeur pour capturer poissons et céphalopodes au cours d'apnées de plus de 6 minutes. Manchot royal, aptenodytes patagonica, manchot des îles Falkland et subantarctiques.

© Yves Vallier

<b>Sanzinia madagascariensis.</b>Boa femelle endémique de Madagascar. Pupille verticale et écailles ornant la mandibule supérieure rendent l'espèce facilement reconnaissable . De moeurs plutôt nocturnes, elle se situe dans la partie est de l'île, dans les forêts pluvieuses de préférence. Ovovivipare, elle donne naissance après 6 à 7 mois de gestation à une portée pouvant aller jusqu'à 16 jeunes d'une quarantaine de cm. Sa taille adulte peut dépasser les 2,5 m de longueur. Espèce protégée par la Convention de Washington. Sanzinia madagascariensis, boa femelle endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Grus leucogeranus.</b> Espèce gravement en danger. La chasse, les pesticides et la réduction des territoires où elle trouvait sa nourriture, ont décimé ses troupes. Migrateur régulier dans le passé au Rajasthan où elle constituait des rassemblements allant jusqu'à 200 individus. Aujourd'hui, quelques individus s'y arrètent exceptionnellement. Un plan de protection et de réintroduction a été mis en oeuvre depuis quelques années en Inde. L'espèce niche au nord de la Russie Grue de Sibérie. Echassier inscrit sur la liste rouge des espèces gravement en danger.

© Yves Vallier

<b>Panthera tigris tigris.</b> Ou tigre du Bengale. Redoutable chasseur mesurant jusqu'à 3 m de longueur pour un poids de 200 kg environ, il est situé tout en haut de la chaîne alimentaire. Six sous-espèces ont été identifiées, dont l'indienne considérée comme celle originelle. Tigre du Bengale le plus gros des félins habitant de l'Inde

© Yves Vallier

<b>Macaca mulatta.</b> Il vit en troupes importantes et préfère les bordures de forêts à l'intérieur inextricable, se nourrit principalement au sol et nage bien en surface ou sous l'eau parfois. On le rencontre jusqu'à 2.000 m d'altitude. L'organisation sociale se fait autour d'un mâle dominant. Macaque rhésus, singe de l'Inde.

© Yves Vallier

<b>Spilornis cheela.</b> Appelé aussi aigle des serpents, ce rapace habite les plaines, les forêts jusqu'à 2.000 m d'altitude. Sa répartition couvre l'ensemble du continent indien. C'est un chasseur à l'affût dont le régime alimentaire varié se compose de grenoulles, lézards, rats et serpents. Serpentaire bacha ou aigle des serpents, rapace de l'Inde.

© Yves Vallier

<b>Presbytis entellus.</b> Appelé aussi langur, on le trouve jusqu'à 3.600 m d'altitude. Vit principalement en forêt, mais aussi dans les temples et les villes. Il est protégé et vénéré par les Indiens. Entelle de l'Inde singe de la famille des coloninés habitant l'Asie et l'Inde

© Yves Vallier

<b>Buteo buteo.</b> Victime également des pièges à poteau. Son plumage varie, comme son nom l'indique, du brun foncé au brun trés clair allant jusqu'au blanc sur la poitrine. Elle se tient souvent perchée sur les piquets de clôtures le long des autoroutes, postes d'observation d'où elle scrute le sol à la recherche des campagnols, taupes et autres petits rongeurs. Buse variable. Buteo buteo. Rapace diurne.

© Yves Vallier

<b>Falco cherrug.</b> Utilisé par l'homme pour la "chasse au vol". La vue des rapaces est leur atout principal. Dans certaines zones rétiniennes appelées aréas, la densité des cônes est trés élevée, jusqu'à 1 million au mm². En comparaison, on en compte 200.000 pour l'homme. Chez les faucons, la mandibule supérieure est équipée d'une "dent" qui leur sert à casser le cou de leur proie. Faucon sacre. Falco cherrug. Rapace diurne.

© Yves Vallier

<b>Panthera tigris.</b> Son déclin rapide, conséquence d'une chasse intensive a été stoppé en 1970 par une loi le protégeant. Il se rencontre jusqu'à 3.000 m d'altitude. Amateur de forêts humides, de jungles sèches ou ouvertes et de marais où il se fond aisément. Tigre du Bengale adulte le plus grand des félins Inde

© Yves Vallier

<b>Geochelone elephantopus.</b> Espèce regroupant 14 variétés dans l'archipel. Elle mesure 1,50 m au sommet de la carapace et pèse jusqu'à 250 kg. La population est estimée à 15.000 individus répartis sur toutes les îles. Longtemps exploitée, notamment par les pirates qui hantèrent les lieux et qui l'utilisèrent comme nourriture, elle fait actuellement l'objet de soins particuliers dans des élevages. Elle pourrait vivre jusqu'à 150 ans. Tortue galapago, Geochelone elephantopus, reptile des Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Cervus nippon.</b> Dyrehaven. Danemark. Espèce originaire d'Asie, introduite en Europe. Hauteur au garrot environ 75 cm. Durant la période du rut, le mâle peut avoir jusqu'à 7 biches. Cerf sika, Cervus nippon, Dyrehaven, Danemark.

© Yves Vallier

<b>Sterna hirundo.</b> Hollande. Bec rouge avec la pointe noire. Silhouette effilée et élégante, elle est largement répartie dans la plupart des régions de l'hémisphère nord, de l'Océan Atlantique jusqu'à la Sibérie et sur la côte est de l'Amérique du nord. Sternes Pierregarin accouplement, oiseau de mer de l'hémisphère nord.

© Yves Vallier

La légende dit que les mains des ouvriers furent tranchées à la fin du travail, pour qu'ils ne puissent plus reconstruire une copie ailleurs... mais qu'ils touchèrent en compensation une somme d'argent suffisante pour vivre jusqu'à la fin de leurs jours ; afin d'éviter de subir le même sort, l'architecte avait intégré un défaut dans la construction du dôme qu'il était le seul à connaître, gardant ainsi la possibilité de le corriger ; une fois l'édifice terminé, Shah Jahan projeta de construire, sur l'autre rive, une réplique identique, en marbre noir, mais son fils Aurangzeb l'enferma car les finances ne permettaient plus une telle dépense. Taj Mahal, Uttar Pradesh, Inde.

© Yves Vallier

<b>Lunda cirrhata.</b> Il arbore des couleurs vives sur le bec et des joues blanches uniquement durant la saison de reproduction. Durant l'hiver, il perdra sa huppe et les couleurs du bec deviendront plus ternes jusqu'au printemps suivant. Macareux huppé, Macareux du Kamtchatka, oiseau de mer, famille des Alcidés, Mers de Béring, d'Okhotsk, et Pacifique nord.

© Yves Vallier

<b>Ursus arctos.</b> Au mois de juillet, les saumons remontent les torrents, jusqu'aux sources de leur vie, pour frayer. Les ours les attendent pour les cueillir, depuis des générations d'ours, toujours aux mêmes places, pour se gaver de leur chair rouge et nourrissante. Ours brun et saumon, Alaska.

© Yves Vallier

<b>Cervus elaphus.</b> Dyrehaven. Ce cerf noble a belle allure. Il mesure 1,50 m au garrot et pèse jusqu'à 350 kg. Il se nourrit de plantes herbacées, graminés, feuilles, champignons, glands, châtaignes, écorces, maïs et blé. Cerf élaphe portrait. Cervus elaphus. Cerf rouge. Dyrehaven au Danemark.

© Yves Vallier

<b>Marmota marmota.</b> Grand Paradis. Son poids varie de 3 à 8 kg selon la période. Sociable, elle constitue des colonies orientées plein sud entre 1400 et 3200m d'altitude. Les galeries mesurent de 3 à 10 m de profondeur. Elle hiberne du mois d'octobre jusqu'en avril. Les herbes ramassées servent à obstruer de l'intérieur les orifices. Nourriture : graminées, racines, fleurs, baies. Elle vit une vingtaine d'années. Marmotte des Alpes avec herbes dans la gueule. Marmota marmota. Mammifère de montagne.

© Yves Vallier

<b>Cervus dama.</b> Dyrehaven. Danemark. Hauteur au garrot environ 1 m. Poids jusqu'à 200 kg. Au terme de 8 mois de gestation la femelle met au monde un seul jeune qui aura une espérance de vie d'une vingtaine d'années. Daims en velours. Cervus dama. Dyrehaven. Danemark. Cervidé.

© Yves Vallier

<b>Saxicola torquata.</b> Ou Tarier pâtre. Mâle. France. Habite les landes, les marais, les buissons. Il se reproduit en Europe, du nord de la Scandinavie jusqu'en Espagne. Sa route migratoire le conduit en Afrique, jusqu'en Namibie. L'espèce régresse en Europe principalement à cause de l'emploi d'engrais chimiques et de pesticides. Traquet pâtre mâle. Tarier pâtre. Saxicola torquata. Passereau d'Europe.

© Yves Vallier

<b>Ursus arctos.</b> Alaska. Après une gestation de 8 mois environ, la femelle met au monde 2 ou 3 jeunes, chacun pesant 400 gr. Ils restent à l'abri, dans leur cache, durant 4 mois, puis suivent leur mère à la découverte du monde et restent avec elle jusqu'à l'âge de 4 ans. Ours brun, Ursus arctos femelle avec jeunes. Alaska.

© Yves Vallier

<b>Merops apiaster.</b> Mâle. Charente. Originaire d'Afrique, cet oiseau haut en couleurs est venu depuis une cinquantaine d'années peupler nos régions, du sud d'abord, puis jusqu'aux abords de Paris. Agile en vol, il alterne battements d'ailes, glissades, accélérations, vire-voltages. C'est un chasseur spécialisé dans la capture d'hyménoptères, guêpes, abeilles, frelons qu'il saisit en vol. Il les frappe ensuite à l'aide du bec contre une branche et les débarasse de leur dard avant de les avaler. Gêpier d'Europe mâle. Merops apiaster. avec libellule dans le bec.

© Yves Vallier

Podocnemis expansa. Enorme tortue d'eau qui peut mesurer jusqu'à 1 mètre de longueur pour un poids qui avoisine les 90 kg. Podocnemis expansa. Enorme tortue d'eau. Guyane française.

© Yves Vallier

Nullement inquiet, juste en contrebas du terrier, un lapin arrive. Il est 10h et demie. Mammifère, renard, terrier,lapin

© Jacky Bernard

Juste le temps nécessaire pour déposer la nourriture et donner la tétée, il est temps pour la renarde de repartir en chasse. Mammifère, renard, terrier

© Jacky Bernard

prédateur, mustélidé, œuf, martre des pins, poulailler, nuit, branche

© Jacky Bernard

La neige fond, découvrant ses trésors: Un bois d'élan jusque là invisible commence à apparaître. Mammifère, élan,neige, Suède.

© Jacky Bernard

Cett edélicate fleur va continuer à éclore jusqu'à former un petit ballonet.

© Pierre Vernay

C'est au large de l'île Rathbone que coula la Hansa commandée par Friedrich Hegemann en août 1869. L'équipage allemand survécut en vivant dans une hutte qui dériva sur un floe de glace jusqu'au sud du Groenland !

© Pierre Vernay

Ce papillon (Vanessa atalanta) se rencontre dans les prairies et les vergers de l'hémisphère nord tempéré. Il se nourrit du nectar des fleurs, ainsi que du jus des fruits mûrs ou pourris tombés à terre. Période de vol : d'avril à juillet. papillon,vulcain,vanessa,atalanta.

© Jean-Claude FOURNIER

Observation de deux Anacondas (le mâle de couleur sombre) et (la femelle de couleur jaune) entrain de s'accoupler... La femelle qui est plus grosse que le mâle attire les partenaires en émettant des phéromones. Une sorte de ballet nuptial se déroule sous l'eau. Les femelles peuvent avoir jusqu'à 12 partenaires !!! La portée peut compter jusqu'à 50 petits. Dès la naissance, les serpenteaux sont livrés à eux-mêmes. Peu survivent, dévorés par les oiseaux, les caïmans, les piranhas...Les anacondas sont des serpents aquatiques constricteurs non venimeux. Cependant, ils ont des dents et des mâchoires puissantes qu'ils utilisent pour agripper leur proie, l'entraînant sous l'eau pour la noyer. anacondas,accouplement,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

Culminant à 1720 mètres d'altitude, le volcan Arenal, au cône parfaitement symétrique, est constitué de cinq cratères. Sa première éruption remonte à 7000 ans, sa dernière éruption date de juillet 1968 et s'est poursuivie jusqu'en 2010. L'Arenal est l'un des volcans les plus actifs du Costa Rica. Il occupe le centre du parc national qui porte son nom. volcan,arenal,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

Ce mâle dominant - dos argenté et poil grisonnant - est un animal impressionnant pouvant peser jusqu'à 170 kg. Ce géant de la forêt africaine équatoriale est plutôt d'un comportement paisible. Lorsqu'il se sent menacé, il démontre sa force en se tenant debout, grognant et se frappant la poitrine. Sa charge est rarement suivie d'un contact... gorille.

© Jean-Claude FOURNIER

(Pteronura brasiliensis) Les Loutres géantes vivent et patrouillent dans des territoires étendus, en groupes familiaux, composés d'un couple avec sa progéniture, jusqu'à trois générations. Les aînés veillent sur les plus jeunes, jusqu'à ce qu'ils atteignent l'âge de former leur propre clan. C'est lors de cette étape que les loutres sont les plus vulnérables, car elles sont expulsées du groupe et partent seules à la recherche d'un ou d'une partenaire. Elles peuvent alors devenir la proie des anacondas, des jaguars ou des caïmans... loutres,geantes,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

Ce lion est le chef d'un clan de 14 membres. Un groupe peut compter jusqu'à 40 individus... lion,okavango,bostwana.

© Jean-Claude FOURNIER

(Amazona aestiva) Cet oiseau, qui peut vivre jusqu'à 40 ans (80 ans en captivité), se nourrit de graines, de noix et de baies... amazone,front,bleu,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

Les mâles qui figurent dans ce groupe arboreront une crinière noire ou dorée vers l'âge de 3 ans. C'est aussi à cet âge qu'ils devront quitter le clan, lorsque le mâle dominant commencera à les traiter en rivaux. Ils partiront alors, menant une vie de nomade, jusqu'à réussir pour chacun d'entre eux à conquérir un nouveau groupe et à s'affirmer comme leader. lions,okavango,bostwana.

© Jean-Claude FOURNIER

Le Tapir fait partie de la famille des Tapiridés, proche de celle des chevaux et des rhinocéros. Cet animal peut atteindre 2 mètres et peser jusqu'à 300 kg. Son ouïe et son odorat sont très développés. Il vit en solitaire dans la forêt et se déplace principalement la nuit. Il est herbivore. La gestation du Tapir est d'environ 13 mois. La femelle met au monde un petit (rarement deux) d'un poids de 7 kg. Le bébé est allaité pendant un an. Le Tapir a deux prédateurs : les félins et l'homme qui recherche son cuir et sa viande !!! tapir,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

 

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