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Recherche sur le(s) mot(s) clé(s) : japonais

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Pêcheurs au filet droit dans les vagues puissantes de l' Océan Atlantique, vidé de ses poissons par les chalutiers industriels Coréens, Chinois, Japonais, Russes... Ici, les filets sont déposés en mer en pirogue en pleine nuit et tirés à la main par une centaine d'hommes qui repartiront avec chacun 1,5 Kg de petits poissons. C'est tout ce qu'il reste au fond de l'océan sur cette côte d'Afrique de l'Ouest autrefois si poissonneuse. 
Amis pêcheurs de France, d'Espagne ou d'Italie, avant de bloquer les ports Européens pour demander une réduction sur le prix du gazole et continuer à vider l'océan jusqu'au dernier des poissons, va plutôt tirer sur cette corde qui arrache la peau des mains pour nourrir des familles de pêcheurs avec des poisson de 10 cm de long et totalement inmangeables. Les bonnes prises sont déjà congelées dans des chalutiers géants au large, en route pour l'Asie ou l'Europe...
  
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 vie quotidienne

© Christophe Courteau

<b>Callorhinus ursinus.</b> Groupe de femelles. Aux îles Pribilof, la colonie d'otaries à fourrure est en baisse constante car la concurrence est rude. En effet, la mer de Béring, une des plus riches en poissons, est exploitée par les Russes, les Coréens et les Japonais. Les pêcheurs des Pribilof ont eux-mêmes d'énormes difficultés à rentabiliser leurs prises qui servent à leur consommation personnelle mais aussi à l'export. Otaries à fourrure du Nord femelles en Alaska îles Pribilof

© Yves Vallier

Les chinois pratiquent la pêche au Cormoran depuis des siècles. Ils sont champions du monde de la spécialité devant les japonais. Sur le lac Erhai à Dali, la minorité Bai maintient la tradition... cormoran,peche,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

Elevée au centre d'un grand parc de 6 ha, la forteresse veille sur Osaka. Elle fut édifié au XVIème siècle , maintes fois détruite au cours des conquêtes et des batailles, elle a abrité au cours de son histoire, une imposante garnison de samouraï. Ces guerriers combattaient à cheval, au sabre ou à l'arc, revêtus d'un heaume et d'une armure souple. Le bushidô ou la voie du guerrier était le code qui régissait la vie du samouraï, exaltant la droiture, le courage, la bienveillance, la politesse, la sincérité, l'honneur, la loyauté. Il a inspiré les kamikazes pendant la seconde guerre mondiale et souffle encore dans le cœur des Japonais du XXIème siècle... chateau,osaka,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

La majorité légale au Japon est fixée à l'âge de 20 ans, mais il est possible de se marier à 16 ans pour les femmes et à 18 ans pour les hommes, avec l'autorisation des parents. Le mariage civil relève d'un simple enregistrement auprès de l'état civil avec ou sans la présence des postulants. La plupart des japonais se considèrent shintoïstes et bouddhistes. Le mariage traditionel japonais se déroule dans un sanctuaire shintô. La mariée porte un kimono blanc symbole de virginité, le marié est vêtu d'un kimono noir. mariage,shinto,tokyo,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Les jardins au Japon ne sont pas des lieux d'agrément, mais de contemplation, conçus comme des tableaux, avec une représentation miniaturisée et idéalisée de la nature, où les pierres et l'eau sont omniprésentes. jardin,japonais.

© Jean-Claude FOURNIER

Au début du mois d'avril, une marée rose et blanche submerge les villes et les campagnes japonaises. S'ouvre l'Hanami, la période de contemplation des cerisiers en fleurs (sakura), à laquelle aucun japonais ne saurait se soustraire. Cette tradition, influencée par la dynastie chinoise Tang, correspond au Japon de la période Nara (710 - 784). D'origine aristocratique, elle est devenue à compter du XVIème siècle, une immense fête populaire. Parcs, squares et lieux historiques sont envahis par les promeneurs, des milliers de pique-niques sont organisés sous les arbres. Le Japon tout entier rend hommage à la nature. cerisiers,osaka,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Haut lieu touristique du nord-est de Kyôto, notamment lors de la floraison des cerisiers, ce chemin longe un canal et rejoint les temples Ginkaku-ji et Eikan-do Zenri-ji. Il tire son nom du philosophe japonais zen Kitaro Nishida, fondateur de l'école philosophique de l'université de Kyôto, qui aimait y méditer. chemin,philosophie,kyoto,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

C'est l'un des trésors culturels du Japon. Le chateau Himeji, situé à 60 km de Kobe est inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO. Il date de 1346 et fut reconstruit au XVIIème siècle. Le cinéma japonais utilise régulièrement ce décor pour les films historiques. chateau,himeji,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Par sa fragilité et sa courte durée (10 jours) la fleur de cerisier symbolise le caractère éphémère de la vie. La progression de l'éclosion des fleurs est suivie à la télévision, sur internet et téléphone mobile. Les voyageurs organisent leurs déplacements, du sud au nord de l'archipel, en fonction de cette évolution. Fascinés par le spectacle produit par les cerisiers à l'apogée de leur floraison, les japonais le sont plus encore, à l'instant où se dispersent les pétales... cerisiers,floraison,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Les fûts de sake, en cèdre du Japon et d'une contenance de 72 litres chacun, sont entreposés à l'entrée du temple shinto du parc Meijin, comme une offrande aux dieux... Autrefois réservé à la cour impériale et aux rites religieux, le sake, alcool de riz fermenté, titrant 15° est devenu la boisson nationale. Ce n'est pas un digestif, mais un alcool brassé. Comme le vin et la bière, il accompagne avec bonheur la cuisine japonaise. Bénéfique pour la santé, notamment pour la peau, il est aussi utilisé comme cosmétique. Indissociable de l'âme et de l'esthétisme japonais. sake,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Les japonais sont les premiers consommateurs de thon rouge au monde. Ce poisson dont la chair est si goûteuse, peut atteindre des prix exorbitants. Cette espèce est aussi la plus menacée, pour cause de pêche excessive. Sous de faux prétextes d'ordre scientifique, le Japon reste aussi impliqué dans la chasse à la baleine, malgré le moratoire de 1986, qui en interdit la pratique. Il est également interpellé par les associations de préservation de la faune marine, pour ses méthodes cruelles de pêche au requin. tsukiji,tokyo,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Elle est construite en bois, avec le recours de la pierre pour les fondations, du papier pour les portes et fenêtres coulissantes, de la paille de riz pour les tatamis et du bambou pour la décoration et les objets du quotidien. Elle offre des espaces lumineux et modulables, aux lignes épurées, se pliant aux usages de la vie courante, avec un mobilier mobile et minimaliste. Ainsi dans la journée, la chambre à coucher est libérée des tatamis et futons, rangés dans un placard, rendant la pièce disponible pour d'autres activités (travail, réception...). maison,traditionnelle,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Gardiennes d'une tradition ancestrale, les Ama sont d'étranges pêcheurs japonais.
Depuis 2000 ans, elles plongent plusieurs fois par jour, sans appareil respiratoire pour ramener algues et crustacés. Ces sirènes de la mer interviennent surtout pour déposer au fond de l'océan les huitres perlières et les récupérer quelque temps après, à l'aide de seaux en bois. On peut les voir à l'ouvrage à Toba, dans l'île de Mikomoto. nymphe,mer,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

La grue symbolise la chance, la fidélité, le bonheur. Les japonais ont fait de cet oiseau le sujet de poèmes, de contes et de mythes. La grue est représentée dans les estampes et les sculptures, figure sur les kimonos et était aussi présente sur les anciens billets de 1000 yen. grue,japon,hokkaido.

© Jean-Claude FOURNIER

C'est le vêtement traditionnel japonais. Kimono signifie "chose portée". A l'origine sous-vêtement, le kimono est utilisé dans les grandes occasions, mariages et fêtes. Il n'est pas rare cependant de croiser dans le quartier Gion à Kyôto ou dans le métro à Tôkyô, des hommes et des femmes, souvent jeunes, parés de ce vêtement traditionnel. Si le kimono des hommes est sombre, plutôt d'une seule couleur, noir, bleu, indigo ou vert foncé, celui des femmes est de couleur vive, savamment brodé ou imprimé de motifs associant fleurs et grues... kyoto,kimono,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Erigée en 942, plusieurs fois détruites par un incendie et la dernière guerre mondiale, elle a été reconstruite pour la dernière fois en 1973. Elle est considérée par les Japonais comme un trésor national. pagode,temple,senso-ji,tokyo,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Sortie de l'Okiya (école de formation des Geisha). La Geisha que l'on aperçoit en arrière plan part au travail. Elle accompagne une clientèle aisée (politiciens, hommes d'affaires...) dans une maison de thé ou un restaurant, où elle incarne avec distinction et grâce le rôle d'ambassadrice des arts traditionnels japonais. geisha,kyoto.

© Jean-Claude FOURNIER

 

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