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Recherche sur le(s) mot(s) clé(s) : fourrure

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La variété d'iguane terrestre visible en quantité importante sur South Plazza est celle de petite taille.Ils atteignent néanmoins prés d'un métre de longueur.Ils sont vraiment trés nombreux sur cette petite ile où il est également possible de voir des iguanes marins et des otaries à fourrure tout prés du point de débarquement. photo iguane terrestre

© Daniel Trinquecostes

 
 Galapagos 
 Equateur 
 Parc National des Galapagos

© Diane CASTANET & Olivier HERVIEU

 
 Galapagos 
 Equateur 
 Parc National des Galapagos

© Diane CASTANET & Olivier HERVIEU

 
 Galapagos 
 Equateur 
 Parc National des Galapagos

© Diane CASTANET & Olivier HERVIEU

<center>Entre dunes et mer froide, elle est l'hôtesse privilégiée<br> d'une importante colonie d'otaries à fourrure,<br> Arctocephalus pusillus ; quelques 100000 individus ! plage dunes namibie

© Maurice Chatelain

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Fin de journée, le soleil inonde la prairie.<br>
Ce jeune mâle revient pour s'assurer de ma présence, approchant de mon poste d'affût.
J'ai tout le loisir de l'observer ; magnifique fourrure en cette saison, tant convoitée pour son malheur... renard contre jour automne

© Maurice Chatelain

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Balade en Catamaran pour approcher les colonies d'Otaries à fourrure. Otaries à fourrure.Cote Namibienne; 
Otaries sur le sable

© Maurice Chatelain

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A mon âge... une fourrure ! Ecosse

© Maurice Chatelain

<b>Callorhinus ursinus.</b> Groupe de femelles. Aux îles Pribilof, la colonie d'otaries à fourrure est en baisse constante car la concurrence est rude. En effet, la mer de Béring, une des plus riches en poissons, est exploitée par les Russes, les Coréens et les Japonais. Les pêcheurs des Pribilof ont eux-mêmes d'énormes difficultés à rentabiliser leurs prises qui servent à leur consommation personnelle mais aussi à l'export. Otaries à fourrure du Nord femelles en Alaska îles Pribilof

© Yves Vallier

<b>Arctocephalus australis australis.</b> Otarie de l'hémisphère sud qui mesure un peu moins de 2 m. pour un poids de 140 kg. environ pour le mâle. Les colonies sont formées de harems réunissants de 5 à 9 femelles par mâle. Certaines colonies peuvent atteindre un millier d'individus, sur un îlot ou les gradins de falaises, toujours non loin de la mer. Otarie à fourrure des Falkland, hémisphère sud.

© Yves Vallier

<b>Callorhinus ursinus.</b> En mer de Béring, les poissons les plus pêchés sont le merlan et le hareng. Il se trouve que les otaries les convoitent également. Les pêcheurs considèrent donc ces mammifères marins comme des concurrents. Aussi, chaque année, afin d'en limiter la population, les Aléoutes prélèvent du cheptel une cinquantaine de célibataires. La viande sera ensuite distribuée aux "anciens" des îles. Otarie à fourrure du nord. Callorhinus ursinus. Iles Pribilof, Mer de Béring.

© Yves Vallier

<b>Callorhinus ursinus.</b> Le mâle pèse 300 kg au début de la saison de reproduction, avant la constitution des harems. Il perdra jusqu'à 25 % de son poids durant son séjour à terre. La femelle, quant à elle, ne pèse qu'une cinquantaine de kg. Otaries à fourrure du nord, Callorhinus ursinus, îles Pribilof.

© Yves Vallier

<b>Callorhinus ursinus.</b> Le mâle porte avec ostentation de longues moustaches.  L'otarie se différencie des phoques par ses oreilles externes. Elle est équipée, pour affronter les plus basses températures, d'un pelage composé d'environ 300.000 poils et duvets pour 6 cm2. Essentiellement pélagique, elle ne revient à terre que pour se reproduire. La population totale est de 2 millions d'individus, dont 1,4 aux îles Pribilof. Le reste est réparti en mer d'Okhotsk, aux îles Kouriles, le long des côtes ouest de la mer de Béring et du Pacifique nord. Otarie à fourrure, Callorhinus ursinus, espèce nordique des îles Pribilof, Kouriles et de l'océan  Pacifique nord.

© Yves Vallier

<b>Arctocephalus pusillus.</b> Namibie. Otarie à fourrure du Cap, Namibie et Afrique du sud.

© Yves Vallier

Identique aux renards français hormis la fourrure qui est un peu plus fournie. 

 
 Mammifère, renard,neige, Suède.  
 Mammifère, renard,neige, Suède.

© Jacky Bernard

Le boeuf musqué est un survivant de la préhistoire puisqu'il était contemporain du mammouth . Sa fourrure le protège des hivers glacés. Il est cependant très vulnérable aux pluies verglaçantes.

© Pierre Vernay

© Pierre Vernay

C'est un animal fascinant capable d'effectuer un saut horizontal de 
15 m et vertical de 6 m. Sa localisation géographique correspond à celle de ses proies préférées : le bharal (mouton sauvage d'Asie) et le bouquetin. On le rencontre principalement dans les régions montagneuses de Chine, du Népal, de l'Inde, du Pakistan et de l'Afghanistan... Espèce en voie d'extinction, il est chassé pour sa fourrure et pour certaines parties de son corps intéressant la médecine chinoise. panthere,neige.

© Jean-Claude FOURNIER

Animal rare à la fourrure blanche et aux yeux bleus qui fait le succès des zoos et des cirques. Le tigre blanc ne procéde pas d'une sous espèce de tigre, c'est un tigre de Bengale à part entière qui peut se croiser avec les tigres roux du Bengale. Son ancêtre est un tigre blanc du Bengale appelé "Mohan". Pour obtenir des tigres blancs, on a croisé les péres avec leurs filles et les soeurs avec leurs oncles... Cette consanguinité élevée conduit à des anomalies physiques et mentales et on estime aujourd'hui qu'un tigre blanc sur 30 est en bonne santé !!! tigre,blanc.

© Jean-Claude FOURNIER

C'est ici à Cap Cross, sur la côte Atlantique, que l'on peut rencontrer d'importantes colonies d'otaries à fourrure, qui profitent des riches apports en poisson du courant froid de Benguela. otaries,cap,cross,namibie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

(Pteronura brasiliensis) La Loutre géante fait partie des grands prédateurs d'Amérique du Sud, au même titre que le Jaguar, l'Anaconda, le Caîman, le Puma et l'Aigle féroce. L'espèce est en danger, car massacrée par l'homme depuis des années, pour sa précieuse fourrure !!! l loutres,geantes,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

L'Otarie des Galápagos partage son territoire avec son proche parent, l'Otarie à fourrure. Originaire des régions antarctiques, l'Otarie à fourrure est dotée d'un double manteau de longs poils protecteurs, garni d'un sous-poil épais. Lorsqu'elle plonge en eau profonde, elle est isolée du froid, grâce à la couche d'air située entre les deux épaisseurs. otarie,fourrure,galapagos,equateur.

© Jean-Claude FOURNIER

(Eulemur macaco macaco) Observé dans l'île de Nosy Be, ce lémurien se rencontre essentiellement dans le Nord-Ouest de Madagascar. Il se nourrit de fruits, fleurs, feuilles, nectar... Sur ce cliché, une femelle remarquable par sa robe brune et rousse. Le mâle porte une fourrure noire. maki,macaco,madagascar.

© Jean-Claude FOURNIER

(Myocastor coypus) Le Ragondin est aussi appelé Castor des marais. Originaire d'Amérique du Sud, il a été introduit en Europe au XIXème siècle, pour l'exploitation de sa fourrure bon marché. Il est très présent dans le Marais Poitevin. ragondin,france.

© Jean-Claude FOURNIER

(Macaca fuscata) De la famille Cercopithecidae, il est le plus robuste et le plus lourd des macaques. Sa fourrure est épaisse et augmente en densité en hiver. Elle lui permet de supporter des températures pouvant atteindre - 20° C. C'est un singe aux membres puissants, aussi agile au sol, où il se déplace en position quadrupède, que dans les arbres. C'est aussi un excellent nageur. macaque,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

(Macaca fuscata) Le Macaque du Japon est un singe grégaire et social qui vit en bande de plusieurs dizaines d'individus, dominée par les femelles. Pour lutter contre le froid, il a choisi de vivre à proximité des sources thermales d'eau chaude, dont la température peut atteindre 40 à 60 ° C !!! Il peut passer en quelques secondes de l'eau brûlante à l'air glacial sans s'en ressentir, grâce à la double épaisseur de sa fourrure... macaques,japon

© Jean-Claude FOURNIER

L'Orang Outan est le singe le plus intelligent du monde. Capable d'apprendre la langue des signes, d'utiliser des outils... Il possède 97 % de gènes en commun avec l'homme. De fourrure rougeâtre, Il se distingue par des mains et des pieds préhensiles, des bras puissants plus longs que ses jambes.
Cet animal n'est visible que dans les îles de Bornéo (100 000 individus) et Sumatra (13 000 individus)...

© Jean-Claude FOURNIER

Ce babouin, qui vit à 2500 mètres d'altitude et plus, peut être observé dans le parc national du Simien ou à Debré Libanos, à quelques 100 km d'Addis Abeba. Animal endémique, il est appelé "babouin au cœur saignant", en raison d'une tache rouge qui illumine son poitrail, au milieu d'une épaisse fourrure... gelada,debre,libanos,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

 
 Antarctica 
 Antarctique

© Benoit FERON

A la sortie de l'hiver, l'ours brun présente toujours une abondante fourrure

© Aurélie BLUSSEAU

Avant d'entamer son repas, l'aigle doit se débarasser de la fourrure du lièvre, ce qui n'est pas une mince affaire....

© Aurélie BLUSSEAU

Otaries à fourrure - Côte des Squelettes - Namibie 
 Otaries à fourrure - Côte des Squelettes - Namibie

© Alain Pons

Otarie à fourrure - Côte des Squelettes - Namibie 
 Otarie à fourrure - Côte des Squelettes - Namibie

© Alain Pons

Otaries à fourrure d'Amérique du Sud (Arctocephalus australis) Basse-Californie - Mexique 
 Otaries à fourrure d'Amérique du Sud (Arctocephalus australis) Basse-Californie - Mexique

© Alain Pons

Otaries à fourrure - Côte des Squelettes - Namibie 
 Otaries à fourrure - Côte des Squelettes - Namibie

© Alain Pons

Otarie à fourrure - Côte des Squelettes - Namibie 
 Otarie à fourrure - Côte des Squelettes - Namibie

© Alain Pons

Otarie à fourrure - Côte des Squelettes - Namibie 
 Otarie à fourrure - Côte des Squelettes - Namibie

© Alain Pons

© Pierre-Georges Despierre

© Pierre-Georges Despierre

Tourne-pierres à collier picorant un placenta d'otarie à fourrure Tourne-pierre à collier ; oiseau ; limicole ; placenta ; otarie ; Namibie ;

© Brigitte MARCON Jean-Jacques ALCALAY

<br><br>Autre nom français du Ragondin : Castor des marais 

<br><br>Ce mammifère qui trouve ses origines en Amérique du Sud fut introduit en Europe au XIXème siècle pour la pelleterie (exploitation de sa fourrure) qui à l'époque était d'une grande valeur marchande. Précisons à ce sujet que si il n'y avait pas eu le Ragondin, le Castor serait aujourd'hui disparu. Tous les ragondins présents sur notre continent à l'heure actuelle proviennent d'évasions ou de lâchers volontaires, notamment dans les années 30,  quand la fourrure passée de mode provoqua la faillite des éleveurs.
<br>Bien que le Ragondin ait su parfaitement s'acclimater, le froid reste un facteur limitant. Les hivers rigoureux comme ceux de ces dernières années lui sont souvent fatals. D'origine tropicale, son organisme n'est pas adapté au gel comme peut l'être celui du castor et nombre d'entre eux ont la queue qui gèle et dégénère en gangrène mortelle.
<br>En France comme dans d'autres pays d'Europe où aucune mesure n’a été prise à temps pour endiguer son installation, le Ragondin est considéré comme nuisible. Cependant, il est prouvé que lorsque sa densité n'est pas trop importante, cette espèce joue un rôle positif dans l’entretien de la végétation des marais (roseaux, lentilles d’eau), et alors les quelques dégâts qu'il occasionne peuvent être  supportables en adoptant des mesures préventives.
<br><br>Depuis 2009, le Ragondin est inscrit sur la Liste rouge des mammifères continentaux de France métropolitaine parmi les espèces préoccupantes mineures.
<br><br>Juvénile
<br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)
 Ragondin
Myocastor coypus
Coypu
Castor des marais
mammifère
Amérique du Sud
Europe
pelleterie
fourrure
lâchers
nuisible
Liste rouge
Juvénile
France
Allier 
Auvergne

© Monique Morin

Rat musqué (Ondatra zibethicus). Il a été introduit en Europe au XIXe s. depuis l'Amérique du Nord, pour l'exploitation commerciale de sa fourrure. Rat musqué

© Eddie ROY

 

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