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Recherche sur le(s) mot(s) clé(s) : femme

Résultat de la recherche : 3 page(s) 220 photo(s)

 

 

 

 villageois,femme,regard,comportement

© Maurice Chatelain

Ces coiffes ( erembe ) signifient que ces femmes sont mariés. Femmes HIMBAS . Coiffes . KAOKOLAND. NAMIBIEh.

© Maurice Chatelain

 Femme assise et enfant KAOKOLAND. NAMIBIE

© Maurice Chatelain

 himba,collier,namibie,afrique

© Maurice Chatelain

 attitude,comportement,femme buvant,eau,

© Maurice Chatelain

 rajasthan,paysan,femme,enfants,regard,sourire,couleur

© Maurice Chatelain

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L'Inde : pays ô combien attirant ! A peine rentré de ce pays extraordinaire, je cherche déjà une date pour y retourner.<br>
"L'Inde n'est pas un pays que l'on peut simplement visiter.<br> 
C'est une contrée qui exige un engagement total <br>
et que l'on n'oublie jamais." (LONELY PLANET).<br>
Quelques images toutes simples, glanées au cours de<br>
mes nombreux séjours ; des rencontres au hasard des villages<br>
traversés ; toutes au Rajasthan, depuis Delhi jusqu'au désert <br>
de Thar. Viendront plus tard, des images faites dans le Madhya<br> Pradesh et l'Uttar Pradesh. Et toujours le sourire, la beauté<br>
des regards et les merveilleuses couleurs des saris des femmes.
 
 fleurs,couleur,plante

© Maurice Chatelain

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Ou... Quand la couleur devient tableau ! himba femme enfants assis devant la hutte; kAOKOLAND  NAMIBIE

© Maurice Chatelain

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 Nous apercevons ce modeste campement.<br>
Les hommes sont absent.
Nous proposons un peu de nourriture ainsi que de la farine que les enfants découvrent avec curiosité. Himba,  femmes enfants. Campement sur bord d'une piste. KAOKOLAND. NAMIBIE

© Maurice Chatelain

 femme,décoration,maison,couleur,sari,

© Maurice Chatelain

A l'ombre sous des couvertures tendues entre des troncs d' arbres, cette femme Himba allaite son enfant.
Elles est entouré d'autres femmes de sa famille.
Pendant sa première année, l'enfant ne quitte jamais sa mère, il dort sur ses genoux et reste à son contact.

 Allaitemant d'un bébé; KAOKOLAND. NAMIBIE.

© Maurice Chatelain

Des familles HIMBA se retrouvent lors d'un décès. Une femme est morte en mettant au monde son enfant.
C'est l'occasion de retrouvailles. Femmes HIMB discussion. KAOKOLAND. NAMIBIE.

© Maurice Chatelain

Elle s'avança vers nous majestueuse.
Son regard nous troubla.
De tous mes voyages en Namibie, c'est la première fois que je voyais une mère avec des jumeaux. Femme himba et ses jumeaux. KAOKOLAND. NAMIBIE

© Maurice Chatelain

Discussion entre membres de plusieurs familles, avant de se quitter. Femmes Himbas.Vallée d'Hartmann Kaokoland. NAMIBIE

© Maurice Chatelain

Dans le creux de la main, la poudre d'hématite sur laquelle est versée cette graisse.
Le mélange se fera ainsi et son application, sur toutes les parties du corps, y compris les cheveux. poudre hématite, graisse femme Himba. KAOKOLAND. NAMIBIE.

© Maurice Chatelain

Le mélange se fait ainsi Mélange creux de la main, femme Himba. KAOKOLAND. NAMIBIE

© Maurice Chatelain

Autre attribut de la femme marié, le bracelet de cuivre ( ozongoho zovitenda) Bracelet de cuivre. Femme marié.HIMBA. KAOKOLAND NAMIBIE

© Maurice Chatelain

Toute la féminité dans ce décore naturel.
Chaque jour, appliquer cette crème à laquelle elle y ajoutera des plantes aromatiques.
Lui conférant une peau douce et souple, visible quand l'on observe les femmes de tous ages. Femme himba. crème  jambes KAOKOLAND. NAMIBIE

© Maurice Chatelain

Lourde parure faite d'objets métalliques de récupération, coiffent cette jeune femme. Parure et coiffure Himba. KAOKOLAND. NAMIBIE.

© Maurice Chatelain

Les femmes sont chargé de la corvée de bois.
Le chemin est long encore jusqu'à son village. Coprvéé de bois. femme HIMBA. KAOKOLAND. NAMIBIE.

© Maurice Chatelain

Cette femme s'enduit le corps d'otjize.
Mélangé à de la graisse animale, la poudre de l'hématite ( ce minerai de fer rougeâtre ) acqiert la consistance d'une crème.
Soins indispensables pour se protéger tout le corps des rayons du soleil, mais aussi du froid.
 Femme himba. Soinde la peau. crème otjize. KAOKOLAND.NAMIBIE.

© Maurice Chatelain

Comme beaucoup de femmes Africaines, l'enfant est maintenu sur le dos à l'aide de ce "porte bébé", harnais  en peau de chèvre,  dont les sangles sont nouées sur la poitrine.
Cette femme porte la coiffe qu'elle a mise pour son mariage et qui lui vient de sa mère. Portage d'un enfant sur le dos. Harnais en peau de chèvre. KAOKOLAND.NAMIBIE

© Maurice Chatelain

Cette femme nous présenta les parures quelle porta le jour de son mariage.
L'accueil est toujours chaleureux avec ce peuple. Femme et enfant, hutte HIMBA. KAOKOLAND. NAMIBIE

© Maurice Chatelain

Elle s'est rendu compte que j'allais la prendre en photo.
C'est pourquoi elle se retourna. Femme HIMBA entrée du kraal.

© Maurice Chatelain

Tous les objets de la vie quotidienne, ustensiles de cuisine et bijoux sont réunis dans un panier protégé d'un tissus. 
Il sera porté sur la tête comme dans tous les pays africains. Femme Himba.Portage d'obet sur la tête. KAOKOLAND. NAMIBIE.

© Maurice Chatelain

Nous croisâmes la route de cette homme monté sur sa mule.
Sa femme marchait à pieds à ses côtés. Homme Himba mulet .KAOKOLAND. NAMIBIE

© Maurice Chatelain

Un visage fin, et des parures très lourdes.
Cette coiffure très en arrière afin de pouvoir transporter les affaires, lors de déplacements. Regard de femme Himba. Parure, collier, chapeau.KAOKOLAND. NAMIBIE

© Maurice Chatelain

Avec grâce et délicatesse les femmes himbas  se laissent photographier.
 Leur visage est emplit de douceur.
Au plus profond de leurs regards, l'on peut voir beaucoup de sérénité.

 Femme Himba, regard souriant. Kaokoland, Namibie

© Maurice Chatelain

On peut y trouver le produit de beauté si apprécié par la femme Hamer : une poudre ocre issue de l'hématite pilée. marche,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

Il se tient tous les cinq jours. C'est un extraordinaire lieu de rencontres multi-ethniques. Les femmes portent leur habit traditionnel. On peut y apercevoir principalement les minorités Hani et Yi... marche,yuanyang,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

Les femmes ont un espace qui leur est dédié dans le vieux Mopti, au rez-de chaussée d'un grand immeuble, où elles vendent, poissons, épices, fruits et légumes... Mopti,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Comme le corps, les cheveux, rallongés de végétaux, sont recouverts de pâte ocre, soulignant un peu plus l'élégance de la femme Himba. himba,kaokoland,namibie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Le grenier femelle est plus petit que le grenier mâle. Il est divisé en quatre parties, pour recevoir le stockage du mil, du sorgho, de l'arachide et du fonio. Dans la partie supérieure du grenier, les femmes rangent leurs ustensiles de cuisine, les calebasses et les habits. Le trou central peut servir de cachette pour entreposer les bijoux ou objets précieux... dogon,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

La maison Himba appelée "ozondjuwos" est de forme conique. Elle est façonnée avec de la terre mélangée à de la bouse de vache, sur une armature en bois de mopane. C'est la femme qui construit la hutte. himba,kaokoland,namibie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

A quelques kilomètres d'Opuwo, capitale du Kaokoland, dont le nom signifie "la fin", rencontre avec les Himbas, dans un village qui regroupe une cinquantaine de personnes. Les Himbas, au nombre de 10 000 individus se répartissent entre la Namibie (2/3) et l'Angola (1/3). Ils sont rattachés à l'ethnie Herero et appartiennent au groupe linguistique Bantou. Ils vivent sur un territoire immense, sauvage, impénétrable, arrosé par la rivière Kunene... Sur cette vue on peut observer que les femmes vivent poitrine nue et portent des jupes traditionnelles, formées de plusieurs couches de peaux de chèvres... himbas,kaokoland,namibie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Célèbre dans toute l'Afrique musulmane, la grande mosquée de Djenné que l'on peut admirer aujourd'hui, date de 1906. Cet édifice compte 100 piliers et 100 puits de lumière. Il a été réalisé avec des briques de banco, mélange d'argile, de paille et de beurre de karité. La mosquée comprend une salle pour les hommes, une cour pour prier la nuit en période de fortes chaleurs et un espace pour les veuves et les femmes, ayant effectué le pèlerinage à la Mecque. Elle est entretenue à l'intérieur par les femmes et à l'extérieur par les hommes... djenne,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Pour entrer dans le monde des hommes et intégrer la société Dogon, les enfants âgés de 7 à 12 ans, doivent se soumettre à la cérémonie de la circoncision, qui se déroule dans une grotte à l'écart du village. Ce lieu est interdit aux femmes et aux enfants non circoncis. La personne chargée de la circoncision est un cultivateur ou un forgeron, qui détient cette charge de son père. Après l'opération, les jeunes sont astreints à une retraite d'un mois, à l'abri des regards. Les peintures de la grotte sont faites de trois couleurs : le blanc symbolise le bonheur, le rouge, le sang et le noir les aliments qui sont à l'intérieur du corps... dogon,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

La femme Himba est très active. Outre l'éducation des enfants, elle participe à de nombreux travaux : la construction des cases, la traite des chèvres, la corvée d'eau au puits ou à la rivière, la préparation des repas, la confection des vêtements et des bijoux... Les hommes s'occupent principalement du bétail. himbas,kaokoland,namibie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Certains détails vestimentaires sont empreints de symbolique. Ainsi, la ceinture, ornée de perles de fer signifie que la femme a eu plus d'un enfant, le gros collier de coquillage souligne l'état de femme mariée. Idem pour la coiffe. En cas de veuvage, celle-ci est retournée... himbas,kaokoland,namibie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

 niger,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Elle fait référence à un rite traditionnel, d'un grand raffinement, influencé par le bouddhisme zen. Le maître du thé, homme ou femme, vêtu d'un kimono, purifie à l'aide de linges de soie le service qui contiendra le thé, chauffe l'eau à 90° puis la verse sur la poudre de thé (matcha) et fait naître avec un fouet de bambou, une mousse délicate à la surface du breuvage. Les ustensiles, les gestes liés à la préparation et à la dégustation, relèvent de codes anciens et rigoureux. ceremonie,the,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Ces hommes portent le pagne et le gilé, le fameux poignard à lame recourbée. Ils vivent dans des huttes recouvertes de peaux de vache et de chèvre. Si les femmes s'occupent des cases, des enfants et de la traite des animaux, les hommes gardent les dromadaires et les bœufs. Les Afar sont musulmans. afar,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

A la campagne, la femme éthiopienne doit faire face à de multiples tâches : élever les enfants, faire la cuisine, traire les animaux, assurer la corvée de bois et d'eau, vendre sa production agricole au marché... A la sortie d'Addis Abeba, rencontre avec des paysannes de l'ethnie Oromo, portant des fagots de bois d'eucalyptus et de la bouse séchée. Ces matériaux servent de combustibles ou sont destinés à la construction des cases. Danger ! Les forêts d'eucalyptus sont maintenant presque toutes dévastées... oromo,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

Visite d'une "manyatta" (regroupement rural) au Kenya. Accueil par les femmes Masaïs du village. Elles jouent un rôle important dans la société. Outre l'éducation des enfants, elles ont en charge la construction et l'entretien des cases, la cuisine, la fabrication des objets de consommation courants - étoffes, sandales de cuir, récipients... Lorsque la tribu déménage à la recherche de pâturages plus verdoyants pour le bétail, elles préparent et transportent les rares bagages de la famille... village,masai,kenya,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Le temple Dzongdrakha, appelé petit nid de tigre est un complexe monastique accroché à la montagne. Les hommes qui habitent ce village sont des moines n'ayant pas fait vœux de célibat. Les femmes travaillent aux champs et font vivre la famille. Ayant reçu la visite du Gouru Rinpoche, ce site compte désormais parmi les sites religieux majeurs du pays. dzongdrakha.bhoutan.

© Jean-Claude FOURNIER

Le tanaka est le produit de beauté des femmes du Myanmar. La pâte est obtenue à partir de la pulpe d'un arbre, le "limonia acidisima". Il s'achète en bûches, dont il faut frotter la section sur un mortier de pierre humecté : on obtient alors une crème de couleur jaune pâle, à parfum subtil à étaler du bout des doigts sur le visage et les bras. Le tanaka protège la peau du soleil, joue le rôle d'antiseptique et d'antirides... portrait,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

Ihèrir est un bourg paisible à 200 km de Djanet. Ce village est surtout habité par les femmes, les enfants et les vieillards, les hommes travaillant dans les villes de Djanet et de Illizi. Vue sur l'oasis d'Ihèrir. "Aman iman" ou "l'eau c'est la vie" dit un proverbe touareg. iherir,tassili,n ajjer,algerie.

© Jean-Claude FOURNIER

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© Jean-Claude FOURNIER

Cette femme de l'ethnie Pa-O, remarquable à son vêtement de couleur noir et à son turban orange, compte l'argent gagné dans la matinée... nyaung,shwe,marche,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

La hutte Hamer est construite en forme d'obus, avec de grosses branches solidement imbriquées. Sur cette vue, on aperçoit en arrière-plan, le grenier à céréales. Au nombre de 40 000, les Hamer sont des semi-nomades, qui se déplacent souvent en empruntant des itinéraires ancestraux. Ils cultivent le sorgho, le millet, le coton, le tabac, mais leur activité principale concerne l'élevage. L'abondance de bétail confère richesse et rang social à son propriétaire, lui permettant de subvenir aux besoins d'une famille composée de plusieurs femmes et enfants... hamer,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

La majorité légale au Japon est fixée à l'âge de 20 ans, mais il est possible de se marier à 16 ans pour les femmes et à 18 ans pour les hommes, avec l'autorisation des parents. Le mariage civil relève d'un simple enregistrement auprès de l'état civil avec ou sans la présence des postulants. La plupart des japonais se considèrent shintoïstes et bouddhistes. Le mariage traditionel japonais se déroule dans un sanctuaire shintô. La mariée porte un kimono blanc symbole de virginité, le marié est vêtu d'un kimono noir. mariage,shinto,tokyo,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

La région de Sanjiang est appelée "la mer des chansons", car le chant et la danse sont à la base de la culture des Dong. On peut observer la beauté et l'élégance des costumes de fête du peuple Dong. Dans la vie courante, l'habit porté par les femmes fait une large part au bleu indigo et au noir... dong,ethnie,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

 riziere,dong,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

Les Dogon sont cultivateurs et les céréales constituent l'essentiel de leur nourriture : petit mil, sorgho, riz, maïs... Sur cette vue, la femme prépare une bouillie de mil. Ils élèvent aussi des volailles, chèvres et moutons pour leur consommation de viande... dogon,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

La coutume des pieds bandés en Chine remonte au Xème siècle. L'empereur avait demandé à une jeune concubine de se bander les pieds pour exécuter la danse du lotus et stimuler son désir. Bien qu'aujourd'hui interdite, cette tradition s'est perpétuée dans le temps et nombre de jeunes filles de toutes classes sociales, dans l'espoir d'acquérir richesse et distinction, ont imité depuis la maitresse de l'empereur. Le bandage commence dès le plus jeune âge, au mépris de grande souffrance et mutilation, visait à atteindre une taille idéale de 7,5 cm... Observé à Tuanshan dans la province du Yunnan. pieds,bandes,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

Le peuple Naxi est issu de l'ancienne tribu Qiang, pasteurs nomades des confins du Tibet. Ils sont environ 300 000 et vivent principalement dans les provinces du Yunnan, du Sichuan et de la région autonome du Tibet. Leur langue appartient à la famille tibéto-birmane. Au VIIème siècle, les Naxi possédaient 2 types d'écriture : l'une pictographique, le Dongba, l'autre syllabique, le Koba. A Lijiang, seules les vieilles femmes continuent à porter les tuniques noires et bleues traditionnelles... naxi,ethnie,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

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© Jean-Claude FOURNIER

 hani,ethnie,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

 pindaya,danu,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

L'île de Taquile est célèbre pour son art textile, inscrit au patrimoine culturel immatériel de l'humanité par l'UNESCO en 2008. Les femmes filent la laine, les hommes tissent. Autre particularité, tous les habitants portent les costumes traditionnels. Autre tradition insolite, le "Servinacuy" : depuis l'époque inca, il est de coutume qu'un jeune couple avant de se marier, fasse l'essai de la vie conjugale. Si au terme de deux années de concubinage, le couple fonctionne bien, alors le mariage est célébré. Titicaca,taquile,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

La coquetterie chez les femmes Hamer se perçoit aussi dans la chevelure, habilement tressée et enduite de beurre et d'argile... hamer,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

 femme,ombrelle,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

Ce qui frappe lorsqu'on arrive à Mopti, c'est d'abord le sens de l'accueil de ses habitants et la beauté des femmes... Mopti,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Cette femme Tsemaï est mariée. Elle porte une robe de cuir aux multiples décorations et signe de reconnaissance de son état de femme mariée, un bâton cousu au pan du vêtement... tsemai,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

Elle est très belle, parée de nombreux colliers et bracelets. arbore,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

L'une des activités quotidiennes des femmes consiste à broyer le mil, à l'aide d'un instrument en bois, de forme cylindrique, arrondi sur une face, appelé "pilon". Mopti,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

 borana,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

Couple de cultivateurs Konso, rencontré à Ghersegio. Observons que la femme Konso porte plusieurs jupes de coton superposées... konso,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

L'ethnie Dorze occupe un territoire de 30 km2 à l'ouest du lac Abaya et sur les versants du mont Gughe. Elle est réputée pour son savoir faire dans le tissage des chammas en coton (sorte de toge portée en drapé autour de la taille). Le présent cliché nous montre une vieille femme filant la laine. Rencontre au village de Chencha. dorze,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

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© Jean-Claude FOURNIER

Les Peul sont des éleveurs. Autrefois nomades, ils se sédentarisent. Les jeunes filles et les femmes sont réputées pour leur beauté et leur coquetterie... peul,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

La femme Peul est tatouée de noir sur la lèvre inférieure, dès la puberté et autour de la bouche, dès le mariage. Cette pratique repose sur une tradition orale selon laquelle un Roi Peul, despote et cruel, offrait chaque année à son cheval, les os réduits en poudre de la plus belle jeune fille du royaume. Pour échapper à ce funeste sort, les femmes se seraient enlaidies par le tatouage. Loin de porter atteinte à l'esthétisme de la personne, le tatouage ne fait que souligner davantage sa beauté... peul,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

C'est le vêtement traditionnel japonais. Kimono signifie "chose portée". A l'origine sous-vêtement, le kimono est utilisé dans les grandes occasions, mariages et fêtes. Il n'est pas rare cependant de croiser dans le quartier Gion à Kyôto ou dans le métro à Tôkyô, des hommes et des femmes, souvent jeunes, parés de ce vêtement traditionnel. Si le kimono des hommes est sombre, plutôt d'une seule couleur, noir, bleu, indigo ou vert foncé, celui des femmes est de couleur vive, savamment brodé ou imprimé de motifs associant fleurs et grues... kyoto,kimono,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Les Masaïs vivent au Sud du Kenya et au Nord de la Tanzanie. Ils sont arrivés dans les plaines de la vallée du Rift, au XVIIème siècle, venant du lac Turkana et des hauts plateaux d'Ethiopie... ethnie,masai,kenya,tanzanie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

La femme Masaï est grande et belle. Son crâne est rasé et ses oreilles étirées par de longues boucles de cuir. Très coquette, elle arbore collier de perles et bracelet et porte des vêtements aux couleurs chatoyantes... ethnie,masai,kenya,tanzanie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

L'absence du plateau laisse apparaître le trou résultant de l'avulsion des deux incisives (pratiquée à l'âge de la puberté, afin de ménager un passage au futur plateau), dans lequel tombe la langue. Avec le temps, la lèvre pendante devient épaisse et rugueuse... Observation faite au marché de Jinka, dans le sud de l'Ethiopie (Vallée de l'Omo). femme,mursi,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

Certaines femmes Padaung rattachées à l'ethnie Kayin continuent à porter des anneaux autour de leur cou et de leurs jambes. Cette tradition, très mutilante et dégradante pour la femme, serait en recul au Myanmar, mais semble prospérer en Thaïlande... femme,girafe,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

Cette femme confectionne des pulls en laine d'alpaga. tricoteuse,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

Ethiopie du Sud - octobre 2006 - femme,mursi,plateau,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

La principale activité des Uros vise à confectionner des objets en roseau qu'ils proposent aux touristes. Les femmes brodent et tricotent. Les Uros vivent aussi de pêche, de chasse aux oiseaux et de la récolte de plantes lacustres... Titicaca,uros,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

 vieille,femme,bhoutan.

© Jean-Claude FOURNIER

Ce groupe ethnique, au nombre de 2,6 millions individus, réside dans les terres montagneuses du sud-ouest et sud de la Chine. La religion est basée sur l'animisme, mais beaucoup de Yao ont été convertis au bouddhisme et au christianisme. L'image ci-dessus, réalisée dans le village de Huangluo Yao, lors d'un spectacle, met en évidence la longue chevelure des femmes Yao. Ces dernières ne coupent leus cheveux que 2 fois dans leur vie, à 18 et à 38 ans. Lorsqu'elles se coiffent, certaines femmes ajoutent à leur chevelure des mèches reçues en héritage de leur mère ou grand-mère. Pour la minorité chinoise Yao, les cheveux sont le symbole de la beauté... yao,ethnie,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

Malgré le développement du tourisme, la proximité des villes ouvertes sur le monde moderne, les Himbas sont restés attachés à leur mode de vie ancestral. Les missionnaires n'ont pas réussi à les convertir à la religion chrétienne. Ils ne sont jamais arrivés à convaincre les femmes Himbas de couvrir leur poitrine. Les Himbas sont restés animistes, pratiquant le culte des ancêtres, faisant référence à Makuru, créateur de toutes choses. Le feu sacré -okuruwo - qui ne doit jamais s'éteindre, et dont le chef de village est le gardien, sert de lien entre les vivants et les morts... himba,namibie.

© Jean-Claude FOURNIER

Outre la garde-robe en cuir et quelques calebasses accrochées au mûr, un tapis pour le coucher, on trouve aussi dans cet intérieur, objet insolite, un parapluie ! On note également la présence de crème de beauté dans des petits pots. Enfin, on peut observer que la jeune femme prépare, à partir de plantes aromatiques qui seront brûlées, un déodorant pour le corps... himba,namibie.

© Jean-Claude FOURNIER

La femme Himba est très coquette. Elle enduit sa peau d'un mélange d'ocre, de graisse animale, de plantes aromatiques et d'écorce. Cette pâte a deux vertus : elle offre une protection efficace contre le soleil et rend la peau douce et souple. C'est à partir de l'hématite, un minerai de fer rouge, que l'on trouve dans le Kaokoland et en Angola et que les femmes réduisent en poudre à l'aide d'un gros galet, que s'élabore ce produit de beauté... himba,namibie.

© Jean-Claude FOURNIER

Les femmes portent le "kira", une robe traditionnelle formée de trois lés cousus en une grande pièce de tissu rectangulaire qui s'attache aux épaules à l'aide de fermoirs en argent et se serre à la taille par une ceinture. kira,bhoutan.

© Jean-Claude FOURNIER

Les femmes Himba sont grandes et belles. Les reflets écarlates sur leur peau les font ressembler à des statues d'acajou...

© Jean-Claude FOURNIER

Vieille femme de la minorité ethnique Hani. hani,marche,yuanyang,yunnan,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

Sur cette vue, cette femme de l'ethnie Pa-O allume un cigare appelé "cheroot". Fabriqués dans de petites entreprises artisanales, ces cigares sont roulés à la main par des jeunes filles, payées à la pièce. Le tabac est placé dans une feuille de thana (cordia dichotoma), coupée en triangle et munie d'un filtre en papier maïs. Le tabac est parfois mélangé avec du sucre, des épices et de l'arôme de banane... lac,inle,cheroot,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

 hani,ethnie,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

 miao,ethnie,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

Les habitudes vestimentaires marquent le statut social des habitants. Le bonnet blanc et rouge est porté par les hommes mariés, le rouge uni permet d'identifier le célibataire. Le "leader" du village porte un bonnet en feutre noir.
Les femmes mariées sont toutes vêtues de noir. Les femmes célibataires portent des décorations sur le bas de leurs jupons. Titicaca,taquile,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

L'ethnie Mursi et tout particulièrement la femme Mursi suscitent l'étonnement et l'admiration du voyageur. Certaines femmes Mursi arborent un plateau labial. Ce dernier est une marque de richesse et d'appartenance à un clan "noble", ancien ou important socialement. Le port du plateau est autant un symbole honorifique qu'un ornement esthétique. Il en est de même pour les scarifications rituelles, faites à l'aide de petits cailloux ou d'éclats de bois, incrustés sous la peau, par la fente d'une fine incision. Autres signes distinctifs : le crâne rasé et les oreilles pendantes pour servir au port de disques de terre séchée ou en bois. La femme Mursi peut-être demandée en mariage dès l'âge de 15 ans. Le prétendant doit offrir en dot à la famille de l'élue, plusieurs zébus. L'importance de la dot varie selon la taille du plateau porté par la promise !!! mursi,plateau,labial,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

La femme porte un collier en métal terminé par une protubérance phallique, appelé "bignaré". Ce collier distingue l'épouse principale des épouses de rang inférieur... hamer,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

Cette jeune femme porte deux gros colliers en métal. Ce collier est appelé "insenté" et signifie que la personne occupe le rang de deuxième, troisième ou quatrième épouse Hamer... hamer,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

Il existe chez les Hamer de nombreuses coutumes initiatiques qui permettent aux hommes comme aux femmes de passer les étapes des différentes classes d'âge (gada). Au cours de certaines cérémonies, les jeunes hommes ont la poitrine déchirée par des scarifications. La coutume visant à passer de l'adolescence à l'âge adulte est appelée "oukouli" ou "saut des vaches". hamer,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

 Titicaca,taquile,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

Dans la tribu Hamer, la tradition enseigne aux hommes et aux femmes de prendre soin de leur apparence en toutes circonstances. Le visage de cette jeune fille est maquillé à partir d'un mélange de craie et d'eau. hamer,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

L'ethnie Bana, proche des Hamer, dans sa façon de vivre et de se vêtir, comporte environ 40000 membres. Implantés autour de Key Afer jusqu'aux berges de la rivière Weyto, les Bana sont agriculteurs et aussi chasseurs. Rencontre sur le marché de Dimeka avec cette grand'mère Bana. bana,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

Jolie rencontre sur la route de Jinka à Arba Minch, en territoire Bana. bana,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

 

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