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Dans l'encoche de la coupe, le bûcheron enfonce<br>
des coins en acier mais aussi en bois. Mise en place de coins, abattage d'un chêne.

© Maurice Chatelain

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La partie supérieure du couple sert à fixer l'amarre ;<br>
le renflement évite le glissement de cette dernière.<br>
A terre, enfoncé dans le sol, il devient bitte d'amarrage. Bollard ou bitte d'amarrage.

© Maurice Chatelain

<b>Gyps africanus.</b> Une envergure de 2,20 m pour un poids variant de 4 à 7 kg. Spécialistes du nettoyage de la savane, les vautours ne jouissent pas toujours d'une trés bonne réputation : ils ne sont pas "beaux", la tête rentrée dans les épaules leur donne une allure de "comploteur sournois", ils mangent des cadavres et, pour ce faire, ils enfoncent la tête dans leurs entrailles pour manger les viscères et la retirent souillée de sang. Mais combien d'épidémies évitées grace à eux. Lorsqu'ils prennent leur envol et s'élèvent dans les ascendances thermiques, leur vol atteint la perfection, la grâce. Ils sont alors magnifiques. Vautour africain. Gyps africanus. Rapace diurne de la savane africaine.

© Yves Vallier

Autre tradition étonnante du mode de vie lacustre des Inthas : les jardins flottants. Là où les eaux stagnent le long des berges, les paysans découpent à la scie des bandes de terre constituées de limon et de racines entremêlés. Ces bandes sont tirées par des barques jusqu'à l'endroit désiré et pour éviter qu'elles ne dérivent, ancrées à l'aide de perches en bambou, enfoncées dans le fond du lac. Les légumes, les fleurs et le premier riz issus de ces jardins sont  réputés pour leur qualité dans tout le pays... Les Inthas réalisent 3 à 4 récoltes par an. lac,inle,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

Cela faisait une trentaine d’années que les eaux usées du fournil de la boulangerie voisine se déversaient dans le souterrain et, lors de notre première tentative d’exploration, nous avions dû renoncer face à une odeur pestilentielle et à un épais dépôt pâteux nous faisant craindre l’enlisement. Deux ans plus tard, après un raccordement au tout-à-l'égout et une ventilation prolongée, nous avons pu explorer ce souterrain annulaire non sans nous enfoncer dans cette masse  organique noire qui encombrait les galeries et abritait une quantité incroyable de lombrics roses ;  Blésois (France), mars 1997. coulisses 
 exploration 
 souterrain 
 souterrain annulaire 
 spéléologie

© Jerôme et Laurent TRIOLET

 

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