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Comme partout aus shetlands, vous y verrez des moutons dont la laine est di prisée. Shetlands Ile

© Daniel Trinquecostes

Il s'agit d'une très petite antilope dont la caractéristique est de dresser la houpe entre les deux oreilles quand elle se trouve en alerte.La coloration varie selon la région où elle habite(19 sous espéces ont été décrites) mammiferes afrique antilope céphalope

© Daniel Trinquecostes

La littérature précise que cet oiseau se rencontre du Sahel à l'Ethiopie et de la ,jusqu'au delta de l'Okavango et à la partie nord du parc Kruger.L'observation que j'en ai fait se situe donc à l'extéme limite sud de son aire de répartition puisque ce cliché fut réalisé dans le camp de Satara.Ce camp est vraiment magique! photo tourterellepleureuse

© Daniel Trinquecostes

Les jeunes félins se ressemblent tous!
Tout est prétexte au jeu.Ceux ci ne dérogent pas à la régle et s'en donnent à coeur-joie pour notre plus grand plaisir. lynx bayerisherwald

© Daniel Trinquecostes

l'eclatement des vagues sur les rochers d'anse lazio est un spectacle dont on ne se lasse pas

© Daniel Trinquecostes

La raison pour laquelle ces reptiles ont payé un lourd tribut au phénoméne "El Nino" de 1997/1998,est due à l'élévation de la température de l'eau.Cette élévation  provoque la disparition des algues dont ils se nourrissent en temps ordinaire,provoquant ainsi leur disparition. photo iguane marin

© Daniel Trinquecostes

Toujours sur Genovesa ,le matin tôt,les grandes frégates(ici une femelle sur le nid)se laissent observer sans aucune difficultés.Il convient de respecter les consignes données par le guide du parc des Galapagos pour ne pas déranger les oiseaux. photo grande frégate

© Daniel Trinquecostes

Bien à l' abri dans mon fossé , en ce mois de septembre 2011, j'attends patiemment que les cerfs dont j'ai connaissance veuillent bien mettre le nez dehors .....!
Hélas ce jour je devrais me contenter ( bien heureux quand même ) de chevrettes parfois accompagnées de leur faon . CHEVRETTE

© Daniel Trinquecostes

En ce début d'avril 2012, de retour au bord de mes chères rivières ariégeoises, quelle n'a pas été ma surprise de voir combien cette année encore les oiseaux ont été précoces pour la nidification.A peine arrivé j'ai apperçu des juvéniles parfaitement volant en pleine ville de Saint Girons.Sur un de mes sites préférés les vestiges de la première couvée ( coquilles d'oeuf ) étaient bien visible au pied du mur, à l'aplomb du nid.La saison 2012 s'annonçait donc difficile puisque me trouvant sur place  à la période entre les deux couvées ce qui est toujours moins favorable.Néanmoins avec un peu de patience et de chance , quelques clichés ont été réalisés.
Ce sont ceux que je vous propose ..... CINCLE PLONGEUR
Oiseaux
PHOTOGRAPHIE DE CINCLE PLONGEUR
PHOTOGRAPHIE de NATURE et de FAUNE SAUVAGE
Photographe naturaliste

Daniel TRINQUECOSTES
Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

Echassier assez grand appartenant au groupe des ciconiiformes et à l'ordre des ardeidés ( échassiers volant le cou replié ). Elle apprécie les marécages à l'eau peu profonde, généralemnt avec roselières et entourés de végétation.C'est une trés grande aigrette dont le bec est franchement jaub=ne en dehors de la période de nidification. GRANDE AIGRETTE

Que nature vive 

Daniel TRINQUECOSTES

© Daniel Trinquecostes

En haut de la chute,l'oiseau résiste au courant.Ses longs doigts lui donne une grande capacité ppour s'accrocher solidement sur le fond de l'eau. CINCLE PLONGEUR
Oiseaux
PHOTOGRAPHIE DE CINCLE PLONGEUR
PHOTOGRAPHIE de NATURE et de FAUNE SAUVAGE

Daniel TRINQUECOSTES
Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

Pour compléter ce fil, fin février j'ai tenté une sortie pour voir les hiboux des marais et essayer de les saisir au vol comme l'avait fait mon ami photographe Ô-live ( c'est son surnom )!
J'arrive donc sur les lieux une bonne heure avant celle présumée de leur envol et roule doucement sur la petite départementale.
Je sais que le coin est bien fréquenté par les lièvres et suis donc attentif .
Je fais bien car j'en apperçois un en train de brouter à une quinzaine de métres de la route.
Je m'arrête un peu tardivement mais il ne bouge pas.
Je décide donc de faire tranquillement une boucle pour pouvoir mieux me positionner, sans trop d'espoir car ils n'apprécient guère que l'on s'arrête pour leur tirer le portrait !
Me voilà donc de retour et calcule mieux cette fois la position adéquate pour essayer de faire quelques clichés.
Le 7 d et le 500 mm sont prêts et la glace baissée.....
Je stoppe tout doucement et ne coupe pas le moteur.....
Il ne s'occupe pas de moi....

Clic clac quelques photos .....

N'étant pas satisfait de ma position je bouge le véhicule, coupe le moteur et suis extrèmement surpris de voir que mon capucin est toujours aussi tranquille !
La séance durera 30 mns sans qu'il ne change quoi que ce soit à son activité de nourrissage !

L' herbe devait êre bonne !

 LIEVRE
PHOTOGRAPHIE de LIEVRE
Mammifères
PHOTOGRAPHIE de NATURE et de FAUNE SAUVAGE

Daniel TRINQUECOSTES 
Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

Je n'ai rien vu en 2010 sur l'ensemble des terriers que je connais §
Ce fut triste.Ce fut très  certainement lié à des comportements fort regrettables.
2011 n'a guère été plus prolifique.
Des animaux extrémement méfiants et peu d'observations et donc peu de clichés.
Certainement pour les mêmes raisons que l'an passé. RENARD RENARDEAU TERRIER
Photographie nature faune sauvage

Mammifère
Que nature vive

Daniel TRINQUECOSTES

© Daniel Trinquecostes

<center>
Simplicité, composition des objets ; le soleil donne du relief au sujet.


 Case himba, lances pour la chasse. KAOKOLAND. NAMIBIE.

© Maurice Chatelain

 chardons, salina eoliennes

© Maurice Chatelain

<center> 
Je peins dans une lande qui surplombe de quelques mètres l'un<br>
des lacs de la réserve. L'argile et le sable donnent à l'eau des <br>
couleurs étonnantes, tantôt très vives, tantôt laiteuses.<br>
Quelque chose a bougé en contrebas, caché par les broussailles<br>
et les phragmites. Des remous liquides, puis le silence. <br>
Je pense canards ou gros ragondin. Le sanglier passe en nageant <br>
dans l'eau couleur vert pomme. <br>
Extrait de la revue LA SALAMANDRE<br>
Dessin de Denis Clavreul.<br>
Illustrateur, concepteur et artiste peintre.<br>
Novembre 2014 Denis Clavreul. Dessinateur, illustrateur. Concepteur et Artiste peintre.
Revue LA SALAMANDRE

© Maurice Chatelain

<center> Le fleuve se découvre, et sur les rives de l'Afrique du Sud, <br>des troupeaux paissent en toute tranquillité semble-t-il.<br>
La Kunéné, frontière nord de la Namibie est bordée par l'Angola dont<br>
les massifs montagneux offrent une imposante barrière minérale.

© Maurice Chatelain

<center>
Les orges sont des épillets uniflores, munis de longues glumes stériles. Qui ne se souvient du sucre d'orge, cette pâte colorée par sa cuisson avec une décoction d'orge dont on fait de petits bâtons ? orge, culture céréales champ d'orges

© Maurice Chatelain

<center> Nous devons permettre à la biodiversité de se rétablir dans les Océans.<br>
Le plastique
Divers déchets tels que les emballages, bouteilles en plastiques ou autre sont souvent pris pour nourriture par les gros poissons, <br>tortues de mer ou même par les mammifères comme les phoques ou les dauphins, cela prennent les sacs en plastiques pour des méduses<br> dont ils se nourrissent, ils les avalent et s’étranglent. <br>Cent mille mammifères marins, un million d’oiseaux de mers meurent ainsi chaque  année.<br> Il y a aujourd’hui 100 fois plus de déchets sur les plages que voila seulement 10 ans et une bouteille ou un sac en plastique jeté à la mer vont mettre des siècles pour se dégrader alors penser bien à jeter ou ne pas laisser d’ordures sur les plages et faites l’effort de ramasser celles qui s’y trouve et qui vont venir polluer cette mer que nous aimons et dont nous avons tant besoin <br>. 17 milliards de sacs en plastiques sont fabriqués chaque année en France mais sont de plus en plus prohibés <br>il y a tellement d'autres solutions avec les sacs auto dégradables, les sacs solides les sacs réutilisables et payant les sacs thermoplastique, sacs en papier recyclé en tissu et tant d'autres. (Source: http://www.bien-etre-et-ecologie.com)
 Solution des mers...Déchets plastiques...

© Maurice Chatelain

<center>
Collé contre un châtaignier dont les branches basses me<br>
dissimulent en partie, je n'effraye pas ce chevreuil qui vient<br>
lentement vers moi tout en cueillant, ça et là, sa nourriture ;<br>
ne m'ayant pas aperçu, il poursuit sa route paisiblement. chevreuil brocard lumière du matin

© Maurice Chatelain

<center>
Brulé par le soleil dont les langues parallèles forment<br>
le début d'un échiquier. Le ramassage est imminent ! champ de ballots de fouins.

© Maurice Chatelain

<center>
Après 45 minutes de marche dans les pierriers, à la frontale, la nuit cède la place... Nous en faisons de même pour un guide et son client dont l'allure est plus rapide que la nôtre !<br> progression sur un pierrier.Ascension du Grand Paradis avec un guide de heute montagne.

© Maurice Chatelain

<center> C'est l'instant pour saisir ce raie de lumière qui donne toute sa force à cette image

© Maurice Chatelain

<center>
Le sud Kalahari est une des dernières terres inviolées.<br>
Territoire inaccessible, du sable rouge à l'infini et le manque<br>
d'eau en surface une majeure partie de l'année. Huit essences <br>
d'arbres poussent dans ces régions du Kalahari dont cinq espèces<br>
d'acacias ; parmi elles, seules deux ont des feuilles persistantes. <br> 
Les autres perdent leur feuillage pendant les mois les plus secs, <br>
à la fin de l'hiver...

© Maurice Chatelain

<center>Ce matin, tandis que je déjeunais, un oiseau a violemment heurté<br> le carreau de la fenêtre, juste en face de moi ; c'est un rouge-queue,<br> mort sur le coup. L'idée, bien sûr, s'impose à moi : offrir ce repas providentiel. Arrivé à mon affût, je le place donc sur un rocher,<br> à l'écart du terrier pour ne pas déranger sa quiétude. Elle le découvre, le prend délicatement et va le porter à ses jeunes. renarde et un oiseau dans la gueule

© Maurice Chatelain

<center>Plus d’une vingtaine d’associations de protection de la nature, dont l’ASPAS, <br>manifesteront samedi 16 janvier 2016, à Lyon. Après un rassemblement statique <br>sur la place Bellecour, les manifestants se rendront en cortège jusqu’à la préfecture<br> de la région Rhône-Alpes, où le dossier Loup est géré <br>administrativement pour l’ensemble du territoire national. Manifestation pour dire non à la chasse aux loups LYON FRANCE.

© Maurice Chatelain

<center>
Tout est paisible ! Ces bouquetins savourent le printemps nouveau et <br>l'herbe grasse ; 45 animaux au total, dont de très vieux mâles, forment ce groupe imposant. Je reste de longues heures avec eux, observateur silencieux de leurs comportements. harde bouquetins mâles printemps mai 2007

© Maurice Chatelain

<center>
Guide de haute montagne, il vous conduira avec sûreté<br>
sur les sommets dont il présente quelques-unes<br>
des images réalisées au cours de ses voyages. guides Hautes montagnes pralognan la vanoise bernard vion

© Maurice Chatelain

<center>
Sur ce versant, les femelles sont nombreuses mais le respect<br> 
est de rigueur : le temps est à la prise de poids pour affronter<br>
les fortes chutes de neige à venir. <br>
L'approche doit donc être discrète.<br>
Les jeunes, qui ont 6 mois, se nourrissent abondamment <br>
avant le rude hiver qui les attend.

© Maurice Chatelain

<center>Voir son museau ainsi déformé me glace.<br> Il s'agit d'une renarde ; sa frêle silhouette, <br>
son poil laineux me donnent à penser qu'elle est jeune.

 Renarde morte sur la route.

© Maurice Chatelain

<center>
J'ai cadré différemment pour montrer cette belle silhouette<br>
sans blessure apparente. Je n'imagine pas une seconde<br>
laisser les véhicules transformer en bouillie le corps intact<br>
de cet animal ; je l'ai donc, comme toujours, déplacé. Renarde morte sur la route

© Maurice Chatelain

<center>
Cette chevrette semblait apprécier ces chardons des champs.<br>
 Il faut en profiter pour mieux composer son sujet. chevrette automne et chardons.

© Maurice Chatelain

Jour et nuit, toutes les 3 heures il faut donner le biberon à ce faon.
Un lait spéciale que Lydia prépare de nuit comme de jour. Nourrissage d'un faon au biberon.

© Maurice Chatelain

Cette mésange bleue est arrivée toute nue et redore peu à peu ses belles couleurs. Elle mangent toutes les 1h30 des vers de farine mais attention que l'intérieur.
 Donc Lydia doit les décortiquer pour elle car elle ne sait pas encore faire. Cage à oiseaux avec poussin de mésange bleue

© Maurice Chatelain

<center>Son église dont les cloches résonnent loin dans la vallée. Eglise de Rhêmes notre dame.
Le massif du GRANTA PAREI dans le Grand Paradis

© Maurice Chatelain

<center>
... mes jambes me porteront, c'est avec grand plaisir que je partagerai avec vous mes rencontres dans ce magnifique Gran Paradiso.<br> Il y a tellement de sujets à photographier ! pieds randonneur alpes

© Maurice Chatelain

<center>Kokerbooms (arbres à carquois) dont les Bushmen (Bochimans) transforment les branches évidées en étuis pour leurs flèches. Forêt de Kokerboom, ou arbres carqois. NAMIBIE

© Maurice Chatelain

<center>
Je ne me lasserai jamais de l'émotion qui chaque fois<BR> 
m'envahit lorsque ce splendide animal s'allonge<BR>
non loin de moi, en toute confiance.

© Maurice Chatelain

<center> 
Savez-vous qu'il est INTERDIT de nourrir les animaux.<br> 
Dans les campings nombreux sont ceux qui profitent des restes<br>
laissés volontairement ou tombés au sol.<br>
Je vais faire un aveu : j'ai beaucoup de mal à ne pas donner<br>
quelques miettes à ces adorables écureuils... Ecureuil terrestre assis au sol et dégustant un morceau de pain. KGALAGADI Transfrontier Park.

© Maurice Chatelain

<center>Ce n'est pas faute d'en être avisé.<br>
Ne jamais oublier que notre nourriture n'a rien à voir <br>
avec celle qu'ils trouvent dans la nature.<br>
Elle ne peut donc qu'être néfaste aux animaux, voire mortelle. Panneau interdiction donner à manger aux animaux dans les camps. Namibie

© Maurice Chatelain

<center> Coincé entre les pierres au bord du sentier. boite de coca cola jeté au sol par un randonneur.

© Maurice Chatelain

<center>
Ton départ a été aussi discret que toi et ton travail photographique.<br>
Tu as donné à ton fils la passion de la chasse photographique <br>
et celle, entre autres, des Cervidés.<br>
Je crois savoir que tes petits-enfants vont suivre la même route... MICHEL RICHARD PHOTOGRAPHE ANIMALIER

© Maurice Chatelain

<center> 
Dans la quiétude de ce sentier, le randonneur ne peut qu'apprécier<br>
l'instant pour s'imprégner des parfums et du chant des oiseaux <br>
qui habitent les lieux. Randonneur, sentier ALPIN

© Maurice Chatelain

<center>C'est toujours en fin de journée qu'il faut se rendre dans cette forêt. Parcourir les petites sentes, jouer avec les rayons du soleil. Les reflets dorés sur les troncs dont l'écorce poli renvoi la chaude couleur du soleil. Discret et mimétique entre les masses sombres des gros blocs rocheux, le Damant se laissera photographier si vous l'approchez avec lenteur. Forêt d"Aloès Dichotoma namibie

© Maurice Chatelain

<center>Nul besoin de hauts murs d'enceinte ; il n'est pas dans l'état<br>d'esprit des élèves de sècher les cours. Il est amusant de <br>constater que la porte, elle, est fermée à clef. C'est donc<br> 
derrière ce tas de pierres que nous nous disons au revoir. école indienne, mur de pierres et élèves. INDE

© Maurice Chatelain

<center>Que je lui donne de la nourriture. chat  blanc couché muret

© Maurice Chatelain

<center>
Trois couleurs !<br>
Je suis rassuré en observant cette belle portée.<br>
Je vais donc pouvoir participer à l'alimentation<br>
des jeunes avec un complément de croquettes.

© Maurice Chatelain

<center>
Le plus connu des groseilliers à fleurs, c'est le rose :<br>
R. sanguineum dont les grappes de clochettes, de<br>
février à avril, embaument délicieusement le cassis. cassis-fleur, arbuste, groseilliers à fleurs. printemps

© Maurice Chatelain

<center>
Il faut une première image, voici tout un pack de bière<br>
 vidé sur place et bien sûr abandonné. pack de bière abandonné sur le sol. Gazon prairie france.

© Maurice Chatelain

<center>Plus de deux ans s’est écoulé depuis ma dernière visite .
Depuis tout ce temps Lydia à continué à chercher des aides.<br>
De promesses non tenues aux solutions provisoires.<br>
De demandes de subventions en demandes, elles a enfin reçu son cadeau de Noël en cette année 2009.<br>
La fondation Brigitte Bardot lui a livré en KITun ensemble de cages.<br>
L’hiver est là, il faut des bras pour l’aider à implanter et à monter ces belles cages chez elle, sur son propre terrain.<br>
Nous sommes le 2 juin 2010, je rends enfin une visite à Lydia.
Elle m’accueille avec le sourire comme toujours.
Nous commençons à faire le tour des installations.<br>
Depuis 6 mois Lydia a sauvé 67 animaux ( Mammifères et Oiseaux) 56 ont été relâché.<br>
Les soins durent environ (en fonction du traumatisme et de l’importance des dégâts) 3 semaines.<br>
Actuellement elle héberge et soigne un couple d’oies.
La femelle en plus couve.<br>
4 jeunes Hulotte.
1 jeune Hibou Moyen duc
1 bébé écureuil
1 faon
1 poussin de mésange à tête bleue.<br>
C’est du pur bonheur que de voir la façon dont Lydia s’occupe de ses jeunes pensionnaires.<br>
Douceur dans sa voix, douceur dans ses gestes.
Beaucoup de tendresse et de sérieux dans ses soins.
 Lydia Bourdeau téléphone

© Maurice Chatelain

<center>
Belle journée pour la photographie.
 Randonneur sur sentier. Grand Paradis. Val de Rhêmes.

© Maurice Chatelain

<center>En fin de journée, la chaude lumière éclaire cette scène<br> qui, par le seul regard du félin au végétal, justifie pleinement,<br> (si besoin en était...), le titre donné à cette rubrique. guépard arbre afrique

© Maurice Chatelain

<center>
Avant de quitter son terrier, notre ami Goupil observe les alentours. 
Il reste ainsi un bon moment, me donnant <br>
la possibilité de poser mon trépied. Renard couché devant son terrier en partie recouvert de neige.
Vallée d'Aoste.

© Maurice Chatelain

Comme beaucoup de femmes Africaines, l'enfant est maintenu sur le dos à l'aide de ce "porte bébé", harnais  en peau de chèvre,  dont les sangles sont nouées sur la poitrine.
Cette femme porte la coiffe qu'elle a mise pour son mariage et qui lui vient de sa mère. Portage d'un enfant sur le dos. Harnais en peau de chèvre. KAOKOLAND.NAMIBIE

© Maurice Chatelain

Loïc VAISSIERE faune basommatophores endemiques poses feuilles palmiers forets vallees mai seul solitaires portraits oceans indien iles archipels praslin seychelles afrique

© A&L Vaissiere & JJ Poirault

<b>Bubo bubo.</b>  Cévennes. Le plus gros des rapaces nocturnes. Taille 65 cm pour une envergure de 1,80 m et un poids de 2,5 kg environ. Le régime alimentaire est adapté au site dans lequel il niche : rats, hérissons, poissons dont on retrouve les restes dans les pelotes mesurant une dizaine de cm. Il capture également des canards, gallinacés. Redoutable prédateur de rapaces nocturnes ou diurnes qu'il arrache des branches dans ses serres extrêments puissantes lors de vols de nuit . Hibou grand duc poussin. Le plus gros rapace nocturne.

© Yves Vallier

<b>Felis lynx.</b> Bayericherwald. Espèce largement répartie en Europe dans le passé. Il ne reste plus aujourd'hui que quelques éléments isolés, en Espagne, dans les Balkans, en Suisse et Yougoslavie. En France, il réside en petits nombres, dont la plupart ont été réintroduits dans les Vosges, le Jura, la haute savoie et les Pyrénées. Lynx en automne. Felis lynx au Bayericherwald. Félidés.

© Yves Vallier

<b>Sterna paradisaea.</b> Iles Féroé. L'ensemble du bec est rouge carmin foncé. Une queue longue et échancrée, des ailes effilées lui donnent une allure légère. Elle est soumise à un régime piscivore exclusivement. Espèce nordique, elle effectue à partir d'août un voyage de plus de 15000 km pour gagner l'Antarctique et ses eaux riches en poissons. Sterne arctique, Sterna paradisaea aux îles Féroé. Oiseau de mer.

© Yves Vallier

<b>Callorhinus ursinus.</b> Le mâle porte avec ostentation de longues moustaches.  L'otarie se différencie des phoques par ses oreilles externes. Elle est équipée, pour affronter les plus basses températures, d'un pelage composé d'environ 300.000 poils et duvets pour 6 cm2. Essentiellement pélagique, elle ne revient à terre que pour se reproduire. La population totale est de 2 millions d'individus, dont 1,4 aux îles Pribilof. Le reste est réparti en mer d'Okhotsk, aux îles Kouriles, le long des côtes ouest de la mer de Béring et du Pacifique nord. Otarie à fourrure, Callorhinus ursinus, espèce nordique des îles Pribilof, Kouriles et de l'océan  Pacifique nord.

© Yves Vallier

<b>Sula bassana.</b> Bass Rock. Le plus grand des oiseaux de mer avec ses 1,80 m d'envergure. Superbe voilier dont le corps taillé en fuseau est d'un aérodynamisme parfait. Il plonge d'une vingtaine de m de hauteur et pénètre dans l'onde comme une lance. L'oeuf unique est incubé durant 40 jours. Trois mois après sa naissance, le jeune quitte le nid et migre vers les côtes marocaines. Il habite principalement dans l'Atlantique nord où il constitue des colonies de plus de 10.000 couples. Environ 16.000 couples nichent sur Rouzic, dans la réserve des Sept Îles. Fous de Bassan colonie de Bass Rock en Ecosse.

© Yves Vallier

<b>Merops apiaster.</b> Charente. Les couleurs du plumage de la femelle sont plus ternes, ce qui est courant chez les oiseaux. Le séjour au fond du nid durant les 3 semaines de couvaison endommage considérablement les plumes. Guêpier d'Europe femelle avec un bourdon dans le bec. Merops apiaster

© Yves Vallier

<b>Aptenodytes patagonica.</b> Gros manchot dont la taille avoisine les 90 cm. avec un poids d'une dizaine de kg. Il niche dans la zone subantarctique où il constitue des colonies regroupant parfois plusieurs milliers d'individus. Manchot royal, Aptenodytes patagonica, habitant les régions circumpolaires et les Iles Falkland.

© Yves Vallier

<b>Aptenodytes patagonica.</b> Chaque plume est implantée de façon à recouvrir l'autre comme les tuiles d'une toiture, garantissant ainsi une parfaite étanchéité. L'air est retenu à la base des barbules, assurant une isolation thermique efficace. Une glande uropygienne située à la base de la queue leur fournit l'huile dont ils se serviront pour lisser leur plumage, le rendant imperméable et prêt à affronter les profondeurs glacées. Manchot royal, Aptenodytes patagonica, Sphéniscidé de la zône circumpolaire.

© Yves Vallier

<b>Asio flammeus galapagoensis.</b> Ou hibou des marais. Iles Galapagos. Dans l'archipel dont Charles Darwin en a gravé la renommée, ce rapace nocturne n'a pas de prédateur et pourtant, il a conservé l'habitude de se confondre durant la journée avec les lychens et les mousses de la forêt tropicale. Homochromie. Hibou brachyote ou hibou des marais, Asio flammeus galapagoensis, des Iles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Eulemur fulvus collaris.</b>Lémurien diurne qui mesure 95 cm environ dont 55 pour la queue. Poids 2,5 kg. Habite les forêts pluvieuses du sud-est de Madagascar. Eulemur fulvus collaris lémurien diurne ,endémique à Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Lepilemur microdon.</b>Lémurien endémique nocturne qui mesure une soixantaine de cm dont la moitié pour la queue. Habite les forêts pluvieuses, primaires ou secondaires de la partie sud de l'île, côte est. Solitaire, soumis à un régime exclusivement végétarien, il subit les nuisances dues à l'exploitation de la forêt et à la chasse par l'homme. Lepilemur microdon, lémurien nocturne, endémique de Madagascar

© Yves Vallier

<b>Ultime échouage.</b> Depuis 1948, les îles font partie de la "communauté autonome dans le Royaume du Danemark". Tout citoyen danois bénéfie donc des lois de protection sociale. Ce massacre n'a alors plus aucune nécessité, en dehors de pérenniser une pratique considérée aujourd'hui comme une "tradition sportive". Chasse des globicéphales aux îles Féroé.

© Yves Vallier

<b>Propithecus verreauxi.</b>Sifaka de Verreau. Lémurien diurne dont le corps mesure 45 cm, plus une queue de 55 cm. Très agile, il se déplace par bonds de plusieurs mètres de branche en branche ou à terre. Réparti dans le sud et sud-est de l'île, il constitue des groupes de 6 à 8 individus pour une seule famille, ou d'une quinzaine de membres comprenant dans ce cas plusieurs mâles et femelles. Bien qu'il soit menacé par la déforestation et la chasse dans certaines régions, il bénéficie dans d'autres d'une aura qui le rend tabou et le protège. Sifaka de Verreaux, lémurien endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Eudyptes chrysocome.</b> Les gorfous se groupent pour pêcher. Pour ce faire, ils se rendent parfois jusqu'à une cinquantaine de km. de la colonie pour trouver les crustacés dont ils se nourrissent. Gorfou sauteur groupe. Eudyptes chrysocome. Manchot des Iles Falkland et des ^^iles subantarctuqes.

© Yves Vallier

<b>Amphilla madagascariensis.</b> Araignée endémique dont la taille avoisine les 15 cm d'une extrémité à l'autre des pattes. Amphilla madagascariensis.  Araignée endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Lepilemur microdon.</b>Lémur endémique de petite taille. Le corps mesure une trentaine de cm plus la queue longue de 25 cm environ, pour un poids inférieur à 1 kg. Nocturne, inféodé à un régime végétarien constitué de feuilles, fleurs et fruits, il est cantonné aux forêts primaires pluvieuses situées le long de la côte est de la partie sud de l'île.
L'exploitation à outrance de la forêt et le piégeage sont les principales causes de la diminution de ses effectifs. Lepilemur microdon, caméléon nocturne endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Sanzinia madagascariensis.</b>Boa femelle endémique de Madagascar. Pupille verticale et écailles ornant la mandibule supérieure rendent l'espèce facilement reconnaissable . De moeurs plutôt nocturnes, elle se situe dans la partie est de l'île, dans les forêts pluvieuses de préférence. Ovovivipare, elle donne naissance après 6 à 7 mois de gestation à une portée pouvant aller jusqu'à 16 jeunes d'une quarantaine de cm. Sa taille adulte peut dépasser les 2,5 m de longueur. Espèce protégée par la Convention de Washington. Sanzinia madagascariensis, boa femelle endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

Gecko à queue plate, avec des pupilles de couleur jaune. Plus grand gecko connu du monde, il mesure une trentaine de cm dont 10 environ pour la queue. Il habite les forêts pluvieuses de l'est de l'île. Uroplatus fimbriatus, gecko endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Funambulus palmarum.</b> Animal de forêt dont les cris répétés rappellent ceux d'un oiseau. Il se nourrit de fruits, noix, jeunes pousses, bourgeons et d'écorces de jeunes arbres, mais il est aussi un redoutable voleur d'oeufs. Au terme d'une gestation de 6 semaines, la femelle construit dans un arbre un nid de feuilles, de branches et de tiges pour y abriter sa future progéniture composée de 2 ou 3 jeunes. Ecureuil à rayures, petit mammifère de l'Inde

© Yves Vallier

Espèce endémique, dont la distribution semble être réduite à la partie centre-sud de l'île. Le mâle mesure plus de 20 cm. La coloration de ce dernier est nettement moins vive que celle de la femelle. Furcifer minor mâle. Caméléon endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Platalea leucorodia.</b> Grand échassier élégant réparti sur tout le continent indien. La spatule parcourt les marais à la recherche de sa nourriture. Le bec, organe tactile, est plongé dans l'eau et d'un mouvement de godille, elle racle la couche de vase pour débusquer les larves, mollusques, insectes et grenouilles dont elle se nourrit. Spatule blanche, grand échassier des marais indiens.

© Yves Vallier

<b>Axis axis.</b> Il se rencontre dans toutes les réserves de l'Inde, dans les zones boisées ou les prairies découvertes. D'une allure élégante, avec son mètre de hauteur au garrot et ses 80 kg, il se déplace en troupes de 10 à 30 individus. La mère ne donne naissance qu'à un seul jeune par an. Cet herbivore est inscrit sur les tableaux de chasse du tigre et du léopard. Cerf axis,  cervidé herbivore de l'Inde.

© Yves Vallier

<b>Panthera tigris tigris.</b> La femelle, au terme de 15 à 16 semaines de gestion, donne naissance à 2 ou 3 jeunes. A l'âge de 6 mois, le jeune accompagnera sa mère lors de ses chasses. Le mâle atteindra la maturité sexuelle à l'âge de 4 ans, la femelle une année avant. Un tigre peut vivre une vingtaine d'années en liberté. Il y avait environ 40.000 tigres en Inde au 19° siècle. On en compte 2.500 à peine aujourd'hui. Tigre de l'Inde mammifère carnivore de l'Inde.

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<b>Panthera tigris tigris.</b> Ou tigre du Bengale. Redoutable chasseur mesurant jusqu'à 3 m de longueur pour un poids de 200 kg environ, il est situé tout en haut de la chaîne alimentaire. Six sous-espèces ont été identifiées, dont l'indienne considérée comme celle originelle. Tigre du Bengale le plus gros des félins habitant de l'Inde

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<b>Cervus unicolor.</b> Le plus gros cervidé de l'Inde. Sa taille au garrot approche 1,50 m et le poids varie de 220 à 320 kg. Amateur de forêts où il se nourrit d'herbes, feuilles et fruits. On le trouve souvent dans les marais et les lacs où il arrache du fond sableux les plantes dont il raffole. Il nage bien, ce qui constitue un bon moyen de fuite lors d'une attaque de tigre dont il est la proie favorite, car son poids en viande assure plusieurs jours de nourriture à une tigresse et ses petits. Cerf Sambar gros cervidé de l'Inde.

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<b>Spilornis cheela.</b> Appelé aussi aigle des serpents, ce rapace habite les plaines, les forêts jusqu'à 2.000 m d'altitude. Sa répartition couvre l'ensemble du continent indien. C'est un chasseur à l'affût dont le régime alimentaire varié se compose de grenoulles, lézards, rats et serpents. Serpentaire bacha ou aigle des serpents, rapace de l'Inde.

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<b>Brachycereus nesioticus.</b> Cactus endémique dont les branches mesurent 50 cm environ. Pousse uniquement dans les champs de lave, entre les fissures de la couche. Cactus des laves, Brachycereus nesioticus, genre cacté endémique des îles Galapagos.

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<b>Fregata minor ridwayi.</b< Durant la saison des amours, le mâle développe une poche  de chair rouge sous sa gorge afin d'attirer la femelle. Avec une envergure dépassant les 2,45 m, la frégate est particulièrement adaptée à la vie aérienne. Son plumage n'étant pas imperméable, l'oiseau ne se pose donc pas sur l'eau, mais dispose d'une grande habileté pour capturer ses proies en effleurant du bec la surface de l'onde lors de piqués accrobatiques. Grande frégate, fregata minor, oiseau de mers tropicales et des îles Galapagos.

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<b>Larus furcatus.</b> Espèce endémique. Palmipède dont le nom lui vient d'aronde, ancien nom de l'hirondelle. Elle a également la queue fourchue, comme le petit passereau. Mouette à queue d'aronde,  palmipède, famille des laridés, endémique des îles Galapagos.

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<b>Tyto alba.</b>Famille des strigiformes qui inclue les strigidés, (chouettes et hibous) et les tytonidés (les effraies). Les rapaces nocturnes ont un champ visuel de 160° dont 50 à 60° de vision binoculaire, ce qui leur assure une excellente perception du relief. L'angle de vision réduit est compensé par une grande mobilité de la tête, permettant une rotation de 270°. Jeune effraie. Tyto alba. Rapace nocturne.

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<b>Sesuvium portulacastrum.</b> Tapis de plantes endémiques  sur l'île dont le nom a été donné pour sa forme rappelant celle d'un chapeau chinois. Sesuvium portulacastrum, plantes endémiques des îles Galapagos.

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<b>Diomedea irrorata.</b> Espèce endémique, représentée par 12.000 couples regroupés sur une seule île de l'archipel : Española. Une incubation longue de 60 jours donne naissance à un  seul jeune qui restera au nid durant 170 jours avant de gagner les airs où il excelle. Albatros des Galapagos, espèce d'oiseau de mer, palmipède endémique sur Española aux îles Galapagos.

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<b>Asio otus.</b> La famille des "ducs" (grand, moyen et petit) se distingue par des aigrettes de plumes situées au niveau du front. Les rapaces nocturnes ont une rétine tapissée uniquement de bâtonnets, probablement 100 fois plus que l'homme. Ils ne perçoivent donc pas les couleurs. Hibou moyen duc. Asio otus. Rapace nocturne.

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<b>Conolophus pallidus.</b> Les iguanes terrestres se nourrissent exclusivement des fruits et des raquettes des cactus Opuntia dont ils grattent les piquants avec leurs pattes. Les jeunes capturent également des insectes. Iguane terrestre, Conolophus pallidus , espèce endémique sur l'île de Santa Fé aux îles Galapagos.

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<b>Buteo galapagoensis.</b> Espèce endémique dont la taille avoisine les 50 cm. La femelle s'accouple avec plusieurs mâles (polyandre)ce qui a pour effet bénéfique d'assurer pour sa progéniture d'une part un apport suffisant en proies et d'autre part une bonne protection contre d'autres prédateurs. Huit cents individus sont répartis sur la plupart des îles. Buse des Galapagos, rapace diurne, espèce endémique des îles Galapagos.

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<b>Falco tinnunculus.</b> Il tient son nom de son cri strident. Présent dans toute l'Europe. Son vol sur place ou en "Saint esprit" le suspend souvent au dessus des bordures de routes ou des terre-pleins d'autoroutes. Il niche dans les arbres, sous les toitures de granges, dans des cavités de vieux murs, sur des terrasses d'immeubles dans des agglomérations dont Paris. Il se nourrit de petits rongeurs principalement. Faucon crécerelle. Falco tinnunculus. Rapace diurne européen.

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<b>Gyps africanus.</b> Une envergure de 2,20 m pour un poids variant de 4 à 7 kg. Spécialistes du nettoyage de la savane, les vautours ne jouissent pas toujours d'une trés bonne réputation : ils ne sont pas "beaux", la tête rentrée dans les épaules leur donne une allure de "comploteur sournois", ils mangent des cadavres et, pour ce faire, ils enfoncent la tête dans leurs entrailles pour manger les viscères et la retirent souillée de sang. Mais combien d'épidémies évitées grace à eux. Lorsqu'ils prennent leur envol et s'élèvent dans les ascendances thermiques, leur vol atteint la perfection, la grâce. Ils sont alors magnifiques. Vautour africain. Gyps africanus. Rapace diurne de la savane africaine.

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<b>Falco peregrinus.</b> Restes d'un lardoir. Ornithophage, le faucon pèlerin est donc un spécialiste de la capture des oiseaux. Les proies sont capturées en plein vol à la suite d'une attaque à grande vitesse. Le taux de réussite des attaques varie selon l'expérience de l'oiseau, la période de l'année et l'environnement. La taille des proies s'échelonne de celle de la mésange, à celle du pigeon ramier. Rarement plus grosse. Le mâle 1/3 plus petit que la femelle chasse les petites proies, la femelle les plus corpulentes. (sources : René-Jean Monneret) Faucon pèlerin. Falco peregrinus. Rapace spécialisé dans la chasse de haut vol.

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<b>Falco peregrinus.</b> Poussin mort-né. La France consommant 120.000 tonnes de pesticides par an tient la première place rapport tonnage-superficie avec 5,5 kg par hectare. Il en découle une concentration de ces pesticides dans le foie de chaque oiseau (granivore ou insectivore)qui donne une super concentration en fin de chaîne. Pour le pèlerin, les conséquences sont dramatiques : pontes stériles, coquilles cassantes, embryon mort à la naissance. (sources : René-Jean Monneret) Faucon pèlerin. Falco peregrinus. Rapace spécialisé dans la chasse de haut vol.

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<b>Sula nebouxii excisa.</b> Les fous sont d'excellents plongeurs équipés de coussins d'air sous les plumes du front afin d'amortir les chocs lors du contact avec la surface. Le plongeon se fait d'une quinzaine de mètres de hauteur. Avec un corps taillé en fuseau, les ailes tendues vers l'arrière, il fend le liquide comme la pointe d'une lance pour capturer les poissons dont il se nourrit. Fou à pieds bleus, Sula nebouxii excisa, oiseau de mer palmipède des mers tropicales.

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<b>Phalcoboenus australis.</b> Rapace rare, dont la répartition se cantonne uniquement sur quelques îlots au large du sud du Chili, du Cap Horn et aux îles Falkland. Curieux envers l'homme, il demeure un redoutable prédateur d'ouettes de Magellan, de goélands, de jeunes albatros et manchots qu'il arrache du nid lors de glissades aériennes furtives. Caracara austral. Phalcoboenus australis. rapace diurne rare habitant l'Amérique du sud et les Iles Falkland.

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Mumtaz Mahal donna naissance à 14 enfants en 19 ans de mariage, mais le dernier lui fut fatal. Elle mourut en 1631, âgée de 38 ans. Taj Mahal, Inde.

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L'architecte vient de Perse. La caligraphie des textes arabes de Perse également. Ils reprennent 14 versets du Coran dont la taille des caractères varie en proportion avec la hauteur et l'éloignement de façon à ce que les caractères de chaque ligne apparaissent de la même taille lors de la lecture. Taj Mahal, Uttar Pradesh, Inde.

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<b>Sula nebouxii excisa.</b> La femelle se distingue du mâle  par sa taille plus imposante et la pupille de l'oeil dont la pigmentation foncée donne l'impression qu'elle est plus grosse que celle du mâle. Fou à pieds bleus, Sula nebouxii excisa, oiseau de mer, palmipède des mers tropicales.

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<b>Canis lupus.</b> Bayericherwald. Bavière. Exterminé en France avant 1939, il s'y est réinstallé en 1992, venant probablement d'Italie. Aujourd'hui, une cinquantaine seulement, dont beaucoup ont été réintroduits vivent en France. Le 21 octobre 2004, l'abattage dans la Drôme d'une jeune louve marque le début de la nouvelle guerre de concurrence que lui livre l'homme, son unique prédateur. Loup en pelage d'été. Bayericherwald.

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