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<center> Passionné par la montagne, il est devenu photographe<br> indépendant. Ses images sont d'une grande sensibilité. christian Tatin pralognan la vanoise

© Maurice Chatelain

<center> Les quelques images qui suivent ont été réalisées par Nirmal. <br> Client de Terres-Oubliées, il était devenu un charmant ami.<br> Il avait souhaité voir le Gran Paradiso (en fond).<br> Malade, avec beaucoup de courage, il avait réalisé son rêve.<br> GOD BLESS YOU, Nirmal

© Maurice Chatelain

Près du quartier de Wall Street, South Street Seaport est devenu à la fois une référence historique et un site touristique. Pendant deux siècles, les quais représentaient le port de New York où accostaient les grands voiliers. Les bateaux à vapeur, les transatlantiques s'amarraient à l'ouest de Manhattan. port,new,york.

© Jean-Claude FOURNIER

La ville de Mopti est située au confluent du Niger et de son affluent le Bani. Petit port de pêche à l'origine, fondé par l'ethnie Bozo, Mopti est devenue cosmopolite à la suite de forts mouvements migratoires et rassemble aujourd'hui une population de 115 000 habitants. C'est un port très actif où transitent personnes et biens. C'est aussi le lieu où sont fabriquées les pirogues et les pinasses... Mopti,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

(Agalychnis callidryas) Cette grenouille est devenue l'emblème du Costa Rica. Elle vit en milieu arboricole. Le jour, elle dort recroquevillée sous les feuilles. La nuit, elle arpente l'écorce rugueuse des arbres. Elle se nourrit de grillons, de mouches, de teignes des ruches... Elle se reproduit à la saison des pluies. La femelle dépose 30 à 50 œufs. Il faut 75 à 80 jours pour que les têtards se métamorphosent en grenouilles... grenouille,arbre,yeux,rouges,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

L'origine de ce site demeure une énigme. S'agit-il d'une dernière cité construite par les Incas, pour sauver leur culture ou la ville était-elle déjà abandonnée avant l'arrivée des Espagnols ? Les ruines dateraient du règne de Pachacutec (1400 après JC), puis seraient devenues la retraite de son successeur Huayna Capac. A la mort de ce dernier, emporté par la variole, ce havre de paix aurait été abandonné en signe de deuil. Ce qui est certain, c'est qu'en 1911, l'historien américain Hiran Bingham a sorti le Machu Picchu de l'oubli. Il a été ébloui par sa découverte et a écrit dans son journal "Le Machu Picchu est le plus pur chef d'œuvre des Incas". machu,picchu,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

Au début du mois d'avril, une marée rose et blanche submerge les villes et les campagnes japonaises. S'ouvre l'Hanami, la période de contemplation des cerisiers en fleurs (sakura), à laquelle aucun japonais ne saurait se soustraire. Cette tradition, influencée par la dynastie chinoise Tang, correspond au Japon de la période Nara (710 - 784). D'origine aristocratique, elle est devenue à compter du XVIème siècle, une immense fête populaire. Parcs, squares et lieux historiques sont envahis par les promeneurs, des milliers de pique-niques sont organisés sous les arbres. Le Japon tout entier rend hommage à la nature. cerisiers,osaka,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Vue du haut de l'hôtel de ville de Tôkyô. Avec sa banlieue, Tôkyô compte 37 millions d'habitants. En 1603, c'était un village de pêcheurs, appelé Edo. En 1868, au début de l'ère Meiji, qui marque le passage du Japon féodal au Japon moderne, l'empereur déplace sa résidence officielle de Kyôto à Edo, qui prend le nom de Tôkyô et devient la capitale politique et économique du Japon. D'un profil à dominante horizontale, la maison individuelle constitue l'élément prégnant du paysage urbain, mais la mégalopole tente de se développer de façon plus verticale. C'est le cas du quartier de Shinjuku qui est devenu un petit Manhattan. tokyo,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Les fûts de sake, en cèdre du Japon et d'une contenance de 72 litres chacun, sont entreposés à l'entrée du temple shinto du parc Meijin, comme une offrande aux dieux... Autrefois réservé à la cour impériale et aux rites religieux, le sake, alcool de riz fermenté, titrant 15° est devenu la boisson nationale. Ce n'est pas un digestif, mais un alcool brassé. Comme le vin et la bière, il accompagne avec bonheur la cuisine japonaise. Bénéfique pour la santé, notamment pour la peau, il est aussi utilisé comme cosmétique. Indissociable de l'âme et de l'esthétisme japonais. sake,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Symbole de fertilité, la Cigogne est associée dans l'imagerie populaire aux naissances. Cet échassier migrateur avait l'habitude de quitter l'Europe pour l'Espagne et l'Afrique de fin août à fin février. Avec le réchauffement climatique l'oiseau est devenu sédentaire et on peut l'observer pratiquement toute l'année en Alsace et aussi en Charente-Maritime où il trouve une température et une nourriture à sa convenance.

© Jean-Claude FOURNIER

vaches,Vosges,Vosgiennes

© Denis LOGEROT

Les lycaons sont des canidés sauvages devenus de plus en plus rares parce que systématiquement éliminés pendant de nombreuses années . Ils chassent en meute sur des distances très longues et démontrent de grandes qualités de prédateurs . afrique du sud lycaon parc kruger

© Thierry DUVAL

Ces jeunes resteront avec leur mère une quinzaine de mois. Devenus adultes, ils devront quitter le territoire de leur mère qui ne les tolèrera plus mais les femelles devenus adultes auront souvent un territoire contigu à celui de leur mère quand les mâles devront à le quitter totalement.

© Thierry DUVAL

© Pierre-Georges Despierre

Une boue argileuse aussi fine que collante envahissait certaines salles de ce souterrain-refuge des environs de Valençay. A tel point que nous avions beaucoup de mal à nous déplacer et, une fois assis, nous nous « décollions » très difficilement du sol. En nettoyant le matériel, nous avons même découvert que notre boussole était devenue inutilisable, dépolie par le frottement des fines particules d’argile ; Berry (France), mai 1990. Berry Loir-et-Cher Valençay exploration souterrain souterrain-refuge spéléologie

© Jerôme et Laurent TRIOLET

<br><br>Nom anglais : Common toad <br>Les Crapauds communs mâles devenus plus farouches se cachent sous l'eau ou sous la végétation aquatique à la moindre approche. <br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne) <br><br> Crapaud commun Bufo bufo Auvergne Allier mâles eau végétation aquatique mare

© Monique Morin

<br><br>Nom anglais du Hérisson d'Europe : European Hedgehog <br>Autres noms français : Hérisson commun ou « hérisson » tout court <br>Bébé hérisson paisiblement endormi avec ses frères <br><br>Après avoir mis à l'abri les bébés Hérissons d'Europe que je venais de trouver au bord de la route, j'ai contacté le Centre de soin pour la Faune Sauvage de ma région. Bien renseignée, j'ai acheté du lait maternisé chez mon vétérinaire. J'ai débarrassé les petits hérissons de leurs parasites, et j'ai commencé avec beaucoup de patience et de douceur à les nourrir au biberon. Puis, je leur ai installé un petit nid douillet pour qu'ils restent bien au chaud. <br>Deux jours plus tard, les petits hérissons étaient, comme prévu, transférés au Centre de soin. <br>Cinq semaines après, toujours en contact avec le centre, j'ai récupéré les hérissons devenus plus grands et plus forts ainsi que quatre autres orphelins du même âge maintenant capables de se débrouiller seul. Avec Hervé, mon mari, nous les avons transportés dans une zone suffisamment grande et sauvage du Massif Central, hors nous semble-t-il des plus grands dangers. Nous avons attendu la tombée de la nuit pour relâcher les hérissons et n'avons quitté les lieux que le lendemain après nous être assurés que chacun d'entre eux avait repris sa liberté. <br><br>Depuis 2008, le Hérisson d'Europe est inscrit sur la Liste Rouge mondiale de l'UICN. <br>Depuis 2009, il est également inscrit sur la Liste Rouge des mammifères continentaux de France métropolitaine. <br>Il est protégé : <br>- Au niveau international par la Convention de Berne : Annexe III <br>- Au niveau national par le Code de l'environnement : Arrêté du 23 avril 2007 - Mammifères protégés - Article 2 <br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne) <br><br> Hérisson d'Europe Erinaceus europaeus European Hedgehog mammifères France Auvergne Allier Bébé Liste rouge protégé

© Monique Morin

<br> <br>Les Sangliers prolifèrent t-ils par miracle ? <br>Parallèlement à la chasse, des pratiques apparues depuis quelques années ont donné jour à des procédés dangereux d’hybridations suivis de lâchers. <br>Des élevages de Sangliers croisés avec des truies (femelles du cochon), se sont développés. Les jeunes cochongliers, ainsi élevés et lâchés volontairement, se mélangent aux populations sauvages puis se multiplient de manière quasi exponentielle. Ils servent désormais de cibles faciles à une nouvelle génération de "valeureux" chasseurs, faisant ainsi du tort aux chasseurs plus respectueux. <br>De plus, les excès du nourrissage dans la nature (agrainage) augmentent le taux de fécondité des Laies et provoquent souvent une seconde portée dans l'année, voire parfois même une troisième. <br>Cette industrie de la chasse a fait exploser les populations et, par conséquent, entraine régulièrement des battues de régulation. <br>En France, pays des extrémistes de la gâchette, chaque année des centaines de milliers de Sangliers, victimes de ces dérives malheureusement devenues courantes, le payent de leur vie. Pour de nombreuses sociétés de chasse, le tableau d'une seule journée de battue correspond à celui de toute une saison il y a moins de trente ans. <br>Pourtant, selon James Oliver Curwood, romancier américain, <b>"Il y a un plaisir plus grand que celui de tuer : celui de laisser la vie."</b> <br><br>Le Sanglier est un animal SAUVAGE et non un animal d'élevage!! Il n’a pas besoin de nourrissage artificiel qui le rend prolifique. <br><br>Depuis 2008, le Sanglier est inscrit sur la Liste rouge mondiale de l'UICN. <br>Depuis 2009, il est également inscrit sur la Liste rouge des mammifères continentaux de France métropolitaine. <br><br>Marcassin <br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne) Sanglier Sus scrofa Wild Boar mammifères Marcassin cochongliers Laies sauvages cibles nourrissage chasseurs Liste rouge France Allier Auvergne

© Monique Morin

<br><br>Autre nom français du Ragondin : Castor des marais <br><br>Le Ragondin étant devenu indésirable, afin de réguler sa population, le tir mais surtout le piégeage par des particuliers ou certains organismes habilités sont pratiqués. Le poison qui devait officiellement être interdit en 2009 est toujours utilisé. Pourtant, il ne sélectionne pas l'espèce animale qu'il tue et cause des préjudices insupportables à la faune sauvage : rapaces (en Auvergne, de nombreux Milans royaux et Buses sont déjà victimes d'empoisonnements), renards, chevreuils, lièvres, loutres, visons d’Europe et campagnols amphibies, aux chats domestiques et bien d'autres. Tous ces animaux font dramatiquement les frais de ces comportements irresponsables depuis des années. L'humain aussi en fait les frais, mais de manière indirecte... et tout cela pour quoi ? <br>Les cages-pièges, souvent utilisées, ne sont pas plus sélectives et restent tout aussi dangereuses pour les autres espèces comme la Loutre d'Europe et tant d'autres dès lors qu'elles ne sont pas relevées tous les jours, ce qui est hélas fréquemment le cas. Restent le tir au fusil et à l'arc qui sont tout aussi cruel. <br>Alors que des solutions existent pour éviter ce gâchis, la lutte contre le Ragondin coûte chaque année une fortune que chaque contribuable finance au travers de ses impôts. Nous avons tout intérêt à apprendre à vivre avec lui, le Ragondin. Et si on essayait ? <br><br>Depuis 2009, le Ragondin est inscrit sur la Liste rouge des mammifères continentaux de France métropolitaine parmi les espèces préoccupantes mineures. <br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne) Myocastor coypus Coypu Castor des marais mammifère poison piégeage Liste rouge France Allier Auvergne

© Monique Morin

<br><br>Nom anglais du Geai des chênes : Eurasian jay <br><br>Des amoureux de la gâchette (entendez qui aime la nature... morte, c'est à dire gérée et aseptisée) estiment que ce très bel oiseau comme tous les corvidés est un nuisible. <br><br>Le Geai des chênes est une espèce forestière et sa nourriture est variée : les glands on sa préférence, faines, une large variété de graines, larves et insectes. Comme d'autres espèces forestières, au printemps, il lui arrive de prédater le nid de petits oiseaux pour manger les œufs, voire très rarement les oisillons. <br><br>Menaces : <br>Des études tendent à montrer que plus son territoire est fragmenté (causes anthropiques), plus la prédation est importante. <br>*La notion de fragmentation des écosystèmes englobe tout phénomène artificiel de morcellement de l'espace, qui peut ou pourrait empêcher une ou plusieurs espèces de se déplacer comme elles le devraient et le pourraient en l'absence de facteur de fragmentation. <br>Le morcellement anthropique des forêts augmente depuis plusieurs siècles. Il s'est fortement accru depuis quelques décennies, notamment dans les régions à forte démographie, en grande partie en raison de la croissance du maillage routier. Il est devenu l'un des premiers facteurs de dégradation de la biodiversité, et en particulier de la biodiversité forestière. C'est l'une des premières menaces pour les grands écosystèmes forestiers. *Source Wikipédia <br><br>Le geai des chênes est protégé de portée Communautaire : <br>- Directive 79/409/CEE (Directive européenne dite Directive Oiseaux) : Annexe II/2 <br><br>Il se trouve sur : <br>- La Liste rouge des oiseaux nicheurs de France métropolitaine (2016) : LC <br>- La Liste rouge mondiale de l'UICN (évaluation 2016) : LC <br>- La Liste rouge européenne de l'UICN (évaluation 2015) : LC <br>- La Liste rouge des oiseaux non nicheurs de France métropolitaine (hivernants) (2011) <br><br> Geai des chênes Garrulus glandarius Eurasian jay oiseau corvidés Menaces espèces forestières protégé Liste rouge UICN France

© Monique Morin

<br><br>Nom anglais du Geai des chênes : Eurasian jay <br><br>Des amoureux de la gâchette (entendez qui aime la nature... morte, c'est à dire gérée et aseptisée) estiment que ce très bel oiseau comme tous les corvidés est un nuisible. <br><br>Le Geai des chênes est une espèce forestière et sa nourriture est variée : les glands on sa préférence, faines, une large variété de graines, larves et insectes. Comme d'autres espèces forestières, au printemps, il lui arrive de prédater le nid de petits oiseaux pour manger les œufs, voire très rarement les oisillons. <br><br>Menaces : <br>Des études tendent à montrer que plus son territoire est fragmenté (causes anthropiques), plus la prédation est importante. <br>*La notion de fragmentation des écosystèmes englobe tout phénomène artificiel de morcellement de l'espace, qui peut ou pourrait empêcher une ou plusieurs espèces de se déplacer comme elles le devraient et le pourraient en l'absence de facteur de fragmentation. <br>Le morcellement anthropique des forêts augmente depuis plusieurs siècles. Il s'est fortement accru depuis quelques décennies, notamment dans les régions à forte démographie, en grande partie en raison de la croissance du maillage routier. Il est devenu l'un des premiers facteurs de dégradation de la biodiversité, et en particulier de la biodiversité forestière. C'est l'une des premières menaces pour les grands écosystèmes forestiers. *Source Wikipédia <br><br>Le geai des chênes est protégé de portée Communautaire : <br>- Directive 79/409/CEE (Directive européenne dite Directive Oiseaux) : Annexe II/2 <br><br>Il se trouve sur : <br>- La Liste rouge des oiseaux nicheurs de France métropolitaine (2016) : LC <br>- La Liste rouge mondiale de l'UICN (évaluation 2016) : LC <br>- La Liste rouge européenne de l'UICN (évaluation 2015) : LC <br>- La Liste rouge des oiseaux non nicheurs de France métropolitaine (hivernants) (2011) <br><br> Geai des chênes Garrulus glandarius Eurasian jay oiseau corvidés Menaces espèces forestières protégé Liste rouge UICN France

© Monique Morin

 

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