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Plantation de Palmiers à Huile. Bordure de la rivière Kinabatangan. --- C'est sûr, il y a mieux comme photo du mois, mais prenez 5 mn et lisez ce qui suit --- Depuis le mois de septembre, les forêts de Bornéo (partie Indonésienne du Kalimantan) et de Sumatra brûlent de nouveau sur des milliers de kilomètres carrés. Les feux sont alumés par des villageois, des cultivateurs ou des forestiers qui sont payés illégalement par de grandes compagnies Indonésiennes et internationales pour accélérer ainsi la déforestation et finir par planter de nouvelles parcelles de palmiers à huile. En 2006, le bénéfice NET de cette industrie plus que florissante a dépassé les 30 %. C'est un chiffre record... Tout industriel rêverait d'un taux de marge net de 30 %... rien ne peux les arrêter... Rien ...à moins que vous n'arrêtiez-vous même d'acheter et faire acheter des produits de consommation courante qui contiennent de l'huile de palme... Moi, c'est fait depuis longtemps... Ouvrez vos placards et regardez la composition de vos gateaux appéro, de vos biscuits, de vos boites de conserve, de votre pain de mie, de la blédine de votre jeune enfant, TOUT, TOUT ou presque contient de l'huile de palme... Autant dire, du sang d'orang-outan... Une véritable catastrophe écologique à très grande ampleur. Conclusion, Revenez au BEURRE... Car avec le beurre, tout est meilleur ! En arrière plan de cette image, on distingue encore la foret pluviale originelle qui n'est plus qu'une mince bande de quelques centaines de mètres parfois. Le palmier à huile a été introduit d'Afrique du sud (Elaeis guineensis). Etat du Sabah, Bornéo, Malaisie. --- Bientôt, une rubrique entière sera consacrée à l'huile de palme -- Revenez et/ou écrivez moi si le sujet vous intéresse. Asie Bornéo Elaeis guineensis Malaisie Palmier Sabah agroalimentaire commerce commerce international deÌ?forestation Elaeis guineensis environnement eÌ?quateur foret huile huile de palme industrie île plantation plantations

© Christophe Courteau

Récolte de Noix de Palme pour l'industrie de l'huile de Palme. Bornéo, Sabah. Malaisie. Les plantations de palmiers à huile représentent un gigantesque business en Malaisie et Indonésie. Des centaines de milliers de gens dépendent maintenant exclusivement de cette industrie dévastatrice. Ils sont pris au piège et deviennent 100 % dépendants n'ayant plus de terre cultivables ni exploitables en élevage... Et en plus, maintenant, on essaie de nous faire avaler que cette huile, cet eldorado industriel, va nous sauver de la pénurie de pétrole ... Et la biodiversité ? Et les ressources agricoles ? Et le développement durable ? Parce qu'une plantation de palmiers à huile ne dure que 30 ans. Après, les palmiers sont trop grands, trop hauts pour être récoltés sans danger, ils sont donc abattus, on repasse le bulldozer, on rebrûle et on replante... quoi ? des palmiers !?!.... Asie Bornéo Malaisie Palmier Sabah agroalimentaire commerce international équateur huile huile de palme industrie iÌ‚le plantation

© Christophe Courteau

La hutte Hamer est construite en forme d'obus, avec de grosses branches solidement imbriquées. Sur cette vue, on aperçoit en arrière-plan, le grenier à céréales. Au nombre de 40 000, les Hamer sont des semi-nomades, qui se déplacent souvent en empruntant des itinéraires ancestraux. Ils cultivent le sorgho, le millet, le coton, le tabac, mais leur activité principale concerne l'élevage. L'abondance de bétail confère richesse et rang social à son propriétaire, lui permettant de subvenir aux besoins d'une famille composée de plusieurs femmes et enfants... hamer,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

Cette opération permet de séparer le grain de la paille. Notons que le paysan cultive la terre, propriété de l'Etat. Pour fixer les populations à la campagne et éviter l'exode vers la ville, le gouvernement ne lève plus d'impôts sur les récoltes... On observe cependant une tendance chez les jeunes à choisir d'autres métiers que ceux relevant de l'activité agricole. battage,riz,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

Au nombre de 700 000, les Dogon vivent sur la falaise de Bandiagara, une longue chaîne de grès, située à l'est du fleuve Niger, étendue sur 200 km. Originaires du Mandé, ils seraient arrivés dans cette région au XVème siècle. Les Dogon sont majoritairement des cultivateurs. Certains sont forgerons ou tisserands. Les Dogon sont réputés pour leur cosmogonie et leurs sculptures... dogon,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Les Dogon sont des cultivateurs de petit mil, de sorgho, de riz, d'oignons. Cette dernière culture représente un tiers des surfaces cultivables et est très importante dans leur économie. En effet les oignons sont exportés dans les villes et servent de monnaie d'échange avec les autres ethnies (par exemple pour l'achat de poissons aux Bozos). Les récoltes sont entreposées sur les toits des maisons et sèchent avant de rejoindre les greniers où elles seront stockées... dogon,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Les Dogon sont cultivateurs et les céréales constituent l'essentiel de leur nourriture : petit mil, sorgho, riz, maïs... Sur cette vue, la femme prépare une bouillie de mil. Ils élèvent aussi des volailles, chèvres et moutons pour leur consommation de viande... dogon,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Ici l'on cultive les oignons. Au premier plan, un magnifique figuier. dogon,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Pour entrer dans le monde des hommes et intégrer la société Dogon, les enfants âgés de 7 à 12 ans, doivent se soumettre à la cérémonie de la circoncision, qui se déroule dans une grotte à l'écart du village. Ce lieu est interdit aux femmes et aux enfants non circoncis. La personne chargée de la circoncision est un cultivateur ou un forgeron, qui détient cette charge de son père. Après l'opération, les jeunes sont astreints à une retraite d'un mois, à l'abri des regards. Les peintures de la grotte sont faites de trois couleurs : le blanc symbolise le bonheur, le rouge, le sang et le noir les aliments qui sont à l'intérieur du corps... dogon,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Couple de cultivateurs Konso, rencontré à Ghersegio. Observons que la femme Konso porte plusieurs jupes de coton superposées... konso,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

Il existe plus de 1000 espèces de fourmis au Costa Rica. Elles habitent généralement les zones ombragées et un peu humides. Certaines construisent leur nid sur des végétaux ou à l'intérieur de troncs de plantes vivantes. Les plus connues sont les fourmis "coupeuses de feuilles". On les rencontre en forêt transportant sur leur dos leur butin d'où leur surnom de "fourmis parasols". La matière végétale récoltée constitue le support organique nécessaire à la croissance d'un champignon dont elles se nourrissent. Les fourmis "atta" utilisent certains variétés d'arbres, de plantes et de fleurs pour cultiver ce champignon. La fourmi "bala" elle se rencontre au pied des arbres. Sa piqure est très douloureuse, semblable à celle provoquée par une balle de fusil... fourmis,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

(Uraeginthus bengalus) Cet oiseau est une espèce de passereau qui vit en Afrique sub-saharienne, dans les prairies sèches, les zones cultivées, les savanes... Le mâle arbore des taches rouges sur les joues, contrairement à la femelle, dont le bleu est par ailleurs un peu plus terne. Ces oiseaux se nourrissent de graines... cordon,bleu,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

(Lanius cabanis) Elle vit dans les savanes herbeuses, la brousse côtière et les zones cultivées, se nourrissant de sauterelles et de scarabées... pie,grieche,longue,queue,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

Elle vit dans la savane à herbe haute et dans les terres cultivées et se nourrit essentiellement d'insectes...

© Jean-Claude FOURNIER

Le Pied bleu (Lepista nuda) fait partie des champignons cultivés en cave. Pied bleu champignon champignonnière

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Originaire d'Extrême-orient, le Shii-také ou champignon parfumé (Lentinula edodes) est également cultivé dans les champignonnières. Shii-také champignon champignon parfumé champignonnière

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Originaire d'Extrême-orient, le Shii-také ou champignon parfumé (Lentinula edodes) est cultivé sur des blocs de substrat disposés à la verticale sur le sol des galeries. Shii-také champignon champignon parfumé champignonnière

© Jerôme et Laurent TRIOLET

 

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