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<b>Callorhinus ursinus.</b> En mer de Béring, les poissons les plus pêchés sont le merlan et le hareng. Il se trouve que les otaries les convoitent également. Les pêcheurs considèrent donc ces mammifères marins comme des concurrents. Aussi, chaque année, afin d'en limiter la population, les Aléoutes prélèvent du cheptel une cinquantaine de célibataires. La viande sera ensuite distribuée aux "anciens" des îles. Otarie à fourrure du nord. Callorhinus ursinus. Iles Pribilof, Mer de Béring.

© Yves Vallier

Sur cette vue, on aperçoit un attribut très important chez l'otarie : les vibrisses. Ces poils possèdent des terminaisons nerveuses qui lui permettent de capter l'onde émise par un poisson. Elles jouent un rôle essentiel dans la communication entre les individus. L'érection des moustaches traduit un état d'excitation. Le toucher mutuel des vibrisses facilite la reconnaissance entre une mère et son petit, ou marque l'état d'agressivité entre mâles concurrents. otaries,galapagos,equateur.

© Jean-Claude FOURNIER

<br>La ressemblance de la Volucelle vide avec les frelons d'Europe et les guêpes est appelée mimétisme batésien. Quoi de plus efficace que de ressembler à son ennemi pour mener une vie plus paisible ? Ainsi la syrphe peut facilement s'approcher du nids de ses concurrents pour y pondre ses œufs. La larve parasitera ensuite le nid. <br><br> Volucelle vide Volucella inanis Syrphe mimétisme batésien frelons guêpes parasite

© Monique Morin

 

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