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Si vous avez le courage de comparer la première image et celle-ci....
<center>
Voici la fin d'une courte vie.<br>
C'était mon chat, adorable et heureux d'avoir trouvé<br> un lieu sûr
pour manger et dormir.<br>
Ils sont des centaines pour ne pas dire des milliers d'animaux<br>
à souffrir et à périr ainsi sur le bord des routes ou des chemins.<br>
Dans la plus totale indifférence, quand ce n'est pas dans la volonté <br>
délibérée de détruire, les automobilistes écrasent tant et plus ;<br>
qu'importe, ce n'est qu'un chat, bof !<br>
Je l'ai pris et enterré dans mon jardin avec l'horrible certitude<br>
que le jour qui vient se lèvera, une fois de plus, sur d'autres morts.<br>
FIN de l'histoire.

© Maurice Chatelain

<center>
C'est tout naturellement le territoire des prédateurs.<br>
Ici, nous constatons un environnement autrement différent<br>
des grandes plaines de Tanzanie ou du Kenya.<br>
Le lion à crinière noire du Kalahari offre cette particularité<br> 
très photogénique. Celle-ci commence à pousser vers 18/20 mois,<br>
pour atteindre sa taille définitive vers 4/5 ans. <br>La coloration 
varie géographiquement du fauve clair au noir.
 (panthera leo) jeunes Lions de 3/4 ans Namibie Kalahari.

© Maurice Chatelain

<b>Alsophis biseralis.</b> Espèce endémique. Celle-ci vient de capturer un jeune iguane marin et tente de l'avaler. L'espèce consomme des lézards des laves, des geckos, des souris et de jeunes oiseaux. Couleuvre des Galapagos, Alsophis biseralis, espèce de serpent endémique des Galapagos.

© Yves Vallier

Certains détails vestimentaires sont empreints de symbolique. Ainsi, la ceinture, ornée de perles de fer signifie que la femme a eu plus d'un enfant, le gros collier de coquillage souligne l'état de femme mariée. Idem pour la coiffe. En cas de veuvage, celle-ci est retournée... himbas,kaokoland,namibie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

(Haliaeetus vocifer) Disposant d'une excellente acuité visuelle, l'Aigle-pêcheur peut repérer une proie potentielle de loin et fondre ensuite à grande vitesse sur celle-ci... aigle,pecheur,baringo,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

(Rynchops niger) On le rencontre sur les grands cours d'eau et autres surfaces aquatiques. Il niche en petits groupes sur les côtes et plages sablonneuses. Lors de la parade amoureuse, le mâle offre du poisson à la femelle. Si celle-ci accepte, la copulation a lieu. La femelle pond entre 3 et 7 œufs. Les deux parents assurent l'incubation, pendant 3 semaines. Les petits prennent leur envol un mois après leur naissance... bec,ciseau,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

Le monastère est prolongé par une jolie pagode. A l'intérieur de celle-ci, les mûrs sont percés de centaines de petites niches, contenant chacune une statue miniature de Bouddha... palais,miroir,shweyanpyay,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

Les hommes de la tribu Bana prennent grand soin de leur apparence et soignent particulièrement leur coiffure. Pour ne pas déranger l'ordonnancement de celle-ci, ils se servent d'un petit tabouret en bois, comme appui-tête, pour se reposer. Rencontre sur le marché de Dimeka, dans le sud de l'Ethiopie.l bana,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

Une minorité de Dogon sont chrétiens (15 %), d'autres sont purement animistes (5%). Mais ce qui caractérise le peuple Dogon, c'est sa croyance dans le dieu Amma, qui créa la terre en lançant dans l'espace une boule de glaise, épousa la terre et de cette union naquit un fils Yurugu, le Renard pâle, qui symbolise la nuit, la sécheresse, le désordre et des jumeaux appelés Nommo qui donnèrent naissance aux astres et symbolisent l'eau, la vie, l'ordre... Cette théorie sur la formation de l'univers (cosmogonie) influence l'organisation et les codes de la société Dogon, rendant celle-ci aux yeux des visiteurs, particulièrement mystérieuse... dogon,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

(Uraeginthus ianthinogaster) Sorte de passereau aux couleurs chatoyantes, le Cordonbleu violacé se nourrit de graines, de fruits et d'insectes. Très sociable, il cohabite avec d'autres oiseaux exotiques et se distingue par son chant exceptionnel. Sur cette vue, nous sommes en présence d'un mâle. La femelle a un plumage plus terne. Celle-ci pond 4 à 6 oeufs que les parents couvent pendant 12 à 14 jours. Les bébés quittent le nid après trois semaines... cordonbleu,violace,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

<br><br>Nom anglais : Common toad
<br>L'amplexus est la technique d’accouplement des anoures (amphibiens sans queue) où le mâle monté sur le dos de la femelle agrippe celle-ci sous les aisselles.
<br>Il n’y a bien évidemment pas pénétration. Au moment de la ponte, le mâle crapaud libère sa semence qui coule sur les œufs pour les féconder. L'action mécanique des pattes du mâle sur la femelle participe en outre à l'expulsion des œufs.
<br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)
<br><br> Anoures
amphibiens
Crapaud commun
Bufo bufo
Common toad
Auvergne
Allier
amplexus
accouplement

© Monique Morin

<br><br>Nom anglais du Hérisson d'Europe : European Hedgehog
<br>Autres noms français : Hérisson commun, Hérisson d'Europe occidentale, Hérisson d'Europe de l'Ouest ou plus simplement Hérisson ordinaire ou « hérisson » tout court
<br>L'un de ces deux jeunes hérissons avait une patte blessée. Celle-ci a guéri après deux jours de soins.
<br><br>L'espérance de vie du hérisson :
<br>Les quatre premières semaines de la vie d'un hérisson sont souvent les dernières. Vingt pour cent des jeunes environ disparaissent avant d'avoir quitté le nid. Après un an, il ne subsiste que 30 % de la portée. S'ils passent ce cap, les jeunes ont de bonnes chances de survie jusqu'à 4 ou 5 ans. Cette survie dépend de la quantité de nourriture qu'ils vont pouvoir trouver. Environ quatre individus sur mille atteignent l'âge de 10 ans, mais il est rarissime qu'un hérisson vive plus longtemps.
<br><br>Les principales causes de la mortalité du Hérisson d'Europe sont :
<br>Les intoxications chimiques et le trafic routier. Mais il existe de nombreux autres facteurs de disparition de ce petit mammifère. Plusieurs études ont permis de mieux les connaître. 
<br><br>* Les intoxications chimiques (26 % des cas). Par l'ingestion de nourriture contaminée par des herbicides ou des pesticides (utilisés au jardin, dans les parcs ou dans les cultures). L'essentiel des menus du hérisson consiste en mollusques (limaces, vers de terre, escargots) et arthropodes en tous genres (coléoptères, hannetons, charançons, bousiers, perce-oreilles et autres carabes. Il mange également des araignées, des vers de terre et des sauterelles, des chenilles et des mille-pattes). Drôle de remerciement pour ce véritable ami du jardinier ;
<br><br>* Les morts sur la route (24 % des cas). Souvent dus à la vitesse excessive des véhicules. Le hérisson a une vie essentiellement nocturne. De nuit, au delà de 80 km/h et à fortiori de 90, il est difficile à percevoir dans le faisceau des phares et donc de l'éviter ;
<br><br>* Le parasitisme (18 % des cas). Mouches (larve), puces, tiques et autres acariens. Un hérisson dehors en pleine journée est exposé aux attaques des mouches. Elles pondent sur l'animal. En se développant, les asticots se nourrissent de sa chair et le malheureux meure en d'atroces souffrances ;
<br><br>* La mort par épuisement (13 % des cas). La mort par épuisement concerne souvent des jeunes hérissons, dont la mère a disparu (morte ou "enlevée"). Incapables de se nourrir, ils meurent de faim. Des adultes pris au piège dans des fosses, des caniveaux y périssent aussi d'inanition. Il en est de même pour les hérissons pris dans des filets de protection pour les cultures. Dans les régions viticoles, par exemple, les hérissons périssent par dizaines chaque automne ;
<br><br>* La prédation (9 % des cas). Les prédateurs naturels du hérisson sont le blaireau, le hibou grand-duc, le renard, le sanglier, la buse et la fouine. Signalons comme autres prédateurs le chien et très rarement le chat ;
<br><br>* Autres causes (10 % des cas). Les maladies infectieuses, les accidents divers (noyade dans les trous et les piscines), les blessures, la disparition du bocage, la disparition des petits bois, le cloisonnement de nos jardins, les actes de cruauté ainsi que la vieillesse, etc. Cette dernière possibilité est désormais bien rare.
<br><br>Depuis 2008, le Hérisson d'Europe est inscrit sur la Liste Rouge mondiale de l'UICN.
<br>Depuis 2009, il est également inscrit sur la Liste Rouge des mammifères continentaux de France métropolitaine. 
<br>Il est protégé :
<br>- Au niveau international par la Convention de Berne : Annexe III
<br>- Au niveau national par le Code de l'environnement : Arrêté du 23 avril 2007 - Mammifères protégés - Article 2
<br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)
<br><br> Hérisson d'Europe
Erinaceus europaeus
European Hedgehog 
mammifères
France
Auvergne
Allier
Jeune
Liste rouge
protégé

© Monique Morin

<br><br>
Nom anglais : European tree frog
<br>La Rainette verte se différencie de la Rainette méridionale par son chant plus rapide et une bande latérale de couleur grise, beige ou brune qui part de l'œil, borde ses flancs et décrit une virgule au niveau des hanches. Celle-ci est ornée d'un petit liseré blanc juste au dessus. Chez sa proche parente, la bande se limite au contour de l'œil. 
<br>La Rainette est petite et ne dépasse pas 5 cm de long. Sa tête est large, avec un museau arrondi. La pupille de ses yeux est noire, horizontale et l'iris est doré. Sa peau fine, lisse et luisante est d'un beau vert vif, mais peut aussi aller du jaune au brun selon la 
saison, l'hygrométrie, son milieu ambiant et le support où elle se trouve. En l'absence de pigment cutané jaune, elle peut devenir entièrement bleue. Son ventre est gris-blanc et légèrement granuleux. Le sac vocal du mâle est particulièrement développé formant au repos un double menton ridé. Lorsqu'il est gonflé, il atteint un volume supérieur à celui de sa tête. Les doigts des pattes de la Rainette possèdent à chaque extrémité des pelotes adhésives de couleur claire lui permettant une bonne accroche sur toutes les surfaces, même lisses. <br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)
<br><br>
 Rainette
verte
Hyla arborea 
European tree frog
Allier
Auvergne
reine
petite

© Monique Morin

<br><br>Autres noms français : Safran des prés; Safran batard (son apparence est proche de celle du safran); Ail des prés; Tue-chien ou encore Tue-loup;

<br><br>Cette merveilleuse et très délicate fleur rose, qui hélas est toxique (elle contient de la colchicine, alcaloïde tricyclique), se raréfie toujours plus. Il existait encore il y a 2 ans à quelques kilomètres de chez moi une magnifique station de plusieurs centaines de pieds. Celle-ci a été détruite par un herbicide, volontairement sacrifiée sur l'autel du sacro-saint élevage. Pourtant, il faut savoir que pour provoquer des troubles, les animaux doivent ingérer au moins une quantité de 5 kg de feuilles fraîches, ce qui est énorme. De plus, la toxicité de cette plante disparait après la fauche et ne présenterait donc pas de danger dans les fourrages récoltés.
<br><br>La Colchique d'automne se trouve sur la Liste rouge mondiale de l'UICN (2014) LC, et sur la Liste rouge européenne de l'UICN (2014) LC.
<br><br> Cette fleur est protégée de portée :
<br><br>Régionale :
<br>- Liste des espèces végétales protégées en région Nord-Pas-de-Calais : Article 1
Liste des espèces végétales protégées en région Aquitaine : Article 1
<br><br>Départementale :
<br>- Liste des espèces végétales protégées en région Limousin : Article 4
<br><br>
 Colchique d'automne
Colchicum autumnale
Safran des prés,
Fleur
rose
toxique
protégée
Liste rouge
UICN

© Monique Morin

<br><br>Nom latin : European pond turtle
<br>La Cistude d'Europe est une petite tortue dont la taille se situe en moyenne entre 14 et 20 cm, la femelle étant beaucoup plus grande que le mâle. D'ailleurs, celle-ci peut peser jusqu'à 1,3 kg alors que le mâle ne pèse pas plus de 600 g.
<br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)<br><br> Cistude d'Europe
Emys orbicularis
European pond turtle
tortue
petite
femelle
mâle
France
Allier
Auvergne

© Monique Morin

<br><br>Autres noms français : Safran des prés; Safran batard (son apparence est proche de celle du safran); Ail des prés; Tue-chien ou encore Tue-loup;

<br><br>Au cœur de la Colchique d'automne. Cette merveilleuse et très délicate fleur rose, qui hélas est toxique (elle contient de la colchicine, alcaloïde tricyclique), se raréfie toujours plus. Il existait encore il y a 2 ans à quelques kilomètres de chez moi une magnifique station de plusieurs centaines de pieds. Celle-ci a été détruite par un herbicide, volontairement sacrifiée sur l'autel du sacro-saint élevage. Pourtant, il faut savoir que pour provoquer des troubles, les animaux doivent ingérer au moins une quantité de 5 kg de feuilles fraîches, ce qui est énorme. De plus, la toxicité de cette plante disparait après la fauche et ne présenterait donc pas de danger dans les fourrages récoltés.
<br><br>La Colchique d'automne se trouve sur la Liste rouge mondiale de l'UICN (2014) LC, et sur la Liste rouge européenne de l'UICN (2014) LC.
<br><br> Cette fleur est protégée de portée :
<br><br>Régionale :
<br>- Liste des espèces végétales protégées en région Nord-Pas-de-Calais : Article 1
<br>- Liste des espèces végétales protégées en région Aquitaine : Article 1
<br><br>Départementale :
<br>- Liste des espèces végétales protégées en région Limousin : Article 4
<br><br> Colchique d'automne
Colchicum autumnale
Safran des prés,
Fleur
rose
toxique
Coeur
protégée
Liste rouge
UICN

© Monique Morin

 

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