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dernière ligne droite. L’arrivée est au bout, comme pour le marathon.
Grace au sport je suis encore là.
Combien de temps reste-t-il à ma pendule ?

                                   « LES YEUX DANS LES YEUX »

Les heures s’écoulent, le soleil décline lentement, le jour s’éteint. Nous devrons quitter ce poste …. 
Puis l’improbable arriva. Un scoop dirons-nous.
La chance du chasseur d’images.

Nous étions à l’affut engoncé - gêner dans une voie de passage faites d’épines. Une haie sépare deux prairies de fauche. 
Nous avions une vue intéressante face à nous. Les roseaux avaient été coupés. 
Elle offrait une vision lointaine.

Impossible de bouger, accrocher ici et là aux épines.
 Taillis ou nous avions juste la place de poser nos sièges. Une belle coulée qui marque la fréquence, malgré les épineux qui agrippent.

Images faites, il y a quelques jours avec mon ami, je dirai « frère d’armes » de l’	ASCPF.  
Le calme régnait, pas un son, pas d’aboiement caractéristique du chevreuil.
Si, un faisan se manifestait par moment.

Nous attendions en Paix, échangions discrètement quelques signes. 
Écoutions le silence nous parler, seul sur cette étendue de terre. 
Nous avons la chance de pouvoir circuler à notre guise avec l’autorisation des propriétaires.
Puis !
L’impossible arriva. Un léger bruissement, il  s’arrêta nous fixant sans bouger. Les yeux dans les yeux. 

Le son de nos déclenchements successif n’a eu aucun effet sur le solitaire.
Cet instant, ce face à face, dura une minute. Il était 18h30.
Le temps pour moi de déclencher à 5 reprises.
Sans me rendre compte qu’il avait légèrement bouger la tête, laissant apparaitre le haut de son boutoir. 
Puis la dernière vue me permit de constater la masse sombre de son profil. 
Le résultat est intéressant.
Mon ami a déclenché 2 fois. Il était équipé d’un zoom et n’a pas osé bouger pour changer sa focale.
Personnellement j’avais monté sur mon boitier, un 300 m/m + un multiplicateur 1,4 l’ensemble sur  un monopod. 

 Il poursuivi son chemin tout aussi silencieux.
 Cela nous a semblé irréel. 
  MC

© Maurice Chatelain

(Conolophus subcristatus) L'iguane terrestre ressemble étrangement à l'iguane marin. On peut imaginer que ces espèces avaient à l'origine un ancêtre commun, et qu'au fil du temps il y  a eu divergence. L'iguane terrestre est végétarien comme l'iguane marin, sans toutefois dédaigner les insectes et les mollusques... iguane,terrestre,galapagos,equateur.

© Jean-Claude FOURNIER

Les novices devaient être d'origine espagnole et apporter une dot de 1000 pesos d'or pour être acceptées au sein de l'ordre. Malgré le double vœux de  silence et de pauvreté, les couventines étaient douées pour la conversation et dépensières. Elles avaient leur domestique et mangeaient dans de la vaisselle de porcelaine, sur des nappes en damas, avec des couverts en argent... Sur cette vue, la rue Grenade. couvent,santa,catalina,arequipa,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

Sûre de sa force, cette lionne vient s'approprier la proie que les hyènes avaient elles-mêmes volé à trois guépards

© Aurélie BLUSSEAU

J'aurai souhaité décalé ce portrait vers la droite mais la carcasse de buffle aurait bouché l'espace ; je me souviens très bien de cette photo au soleil déclinant , ce jeune lion était le dernier sur place car j'appris par un rangers que la nuit qui précèdait , une dizaine de lions avaient plusieurs heures durant tenter de terrasser un buffle qui avait résister jusqu'à l'aube afrique du sud 
 carcasse buffle 
 lion 
 parc kruger

© Thierry DUVAL

Civils réfugiés dans une carrière souterraine, probablement dans l'Oise, le 30 août 1918. Les terribles offensives Ludendorff avaient été stoppées par les alliés un mois plus tôt, et la guerre entrait alors dans sa phase finale (France, Première Guerre mondiale). 14-18 
 archives 
 carrière 
 civils 
 première guerre mondiale 
 réfugiés 
 souterrain
tunnels

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Visible au premier plan, une ancienne pierre oghamique (datant du Ve-VIIe siècle) a été réutilisée pour soutenir la dalle de couverture. Comme toutes les pierres oghamiques, elle présente des encoches gravées sur ses arêtes. Les ensembles d’encoches composent un alphabet : l’alphabet oghamique. La plupart du temps, les inscriptions figurant sur les pierres ogamiques évoquent la mémoire d’une personne en rappelant son nom. Ces pierres avaient aussi une fonction de marquage territorial ; souterrain de Carhoovauler (comté de Cork, Irlande). Carhoovauler 
 Irlande 
 Pierre oghamique 
 enceinte circulaire 
 fortification 
 ringfort 
 souterrain 
 souterrain aménagé 
 souterrain construit 
 souterrain-refuge

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Les villageois qui nous accompagnaient avaient dégagé les abords du puits à la machette pour que nous puissions descendre dans les salles souterraines, mais nos guides étaient un peu inquiets à l’idée de nous laisser entrer dans ces cavités où se cachent souvent des serpents ; environs d’Abomey (Bénin), mars 2014. Afrique de l'Ouest 
 Bénin 
 coulisses 
 fortification 
 souterrain 
 souterrain-refuge

© Jerôme et Laurent TRIOLET

 

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