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<b>Gygis alba.</b> Hawaii. Appelée également Sterne blanche ou Sterne fée. L'espèce ne construit pas de nid. La femelle dépose son unique oeuf sur une branche. Le poussin naît au même endroit, sans aucune protection. Son immobilité et son plumage de couleur ambiante le tiennent à l'écart des attaques des prédateurs. Homochromie, Sterne fée, Gygis alba, Sterne blanche, Oiseau de l'océan Pacifique

© Yves Vallier

<b>Falco peregrinus.</b> Restes d'un lardoir. Ornithophage, le faucon pèlerin est donc un spécialiste de la capture des oiseaux. Les proies sont capturées en plein vol à la suite d'une attaque à grande vitesse. Le taux de réussite des attaques varie selon l'expérience de l'oiseau, la période de l'année et l'environnement. La taille des proies s'échelonne de celle de la mésange, à celle du pigeon ramier. Rarement plus grosse. Le mâle 1/3 plus petit que la femelle chasse les petites proies, la femelle les plus corpulentes. (sources : René-Jean Monneret) Faucon pèlerin. Falco peregrinus. Rapace spécialisé dans la chasse de haut vol.

© Yves Vallier

<b>Falco peregrinus.</b> Jura. Rapace de corpulence moyenne : masse 550-650 g pour le mâle, 800-1100g pour la femelle. Longueur 35-40 cm pour le mâle, 40-50 cm pour la femelle. Envergure 70-85 cm pour le mâle, 95-110 cm pour la femelle. En Europe, ses effectifs sont estimés entre 7 et 8000 couples. Il se nourrit essentiellement d'oiseaux. Les proies sont capturées en plein vol à la suite d'une attaque à grande vitesse en piqué, ailes fermées. La réussite est d'une prise pour 4 à 6 attaques au dessus de l'eau et 15 à 20 attaques au dessus de forêts. Espèce répandue sur tous les continents à l'exception de l'Antarctique et de quelques îles des océans Indien et Pacifique. L'espèce est protégée en France et dans tous les pays industrialisés. (sources : René-Jean Monneret) Faucon pèlerin, Falco peregrinus, Jura et vallée du Rhône, sources René-Jean Monneret.

© Yves Vallier

Une fois la proie confiée à l'un des petits, l'adulte repart en vol à la recherche d'autre nourriture. En chasse le rapace approche ses victimes par surprise lors d'un vol bas, lent et silencieux, qui peut parfois lui être fatal. Ainsi beaucoup de chouettes effraies meurent à la suite de collisions avec des voitures. Elles peuvent être aussi mises en danger par le climat. La sécheresse ou l'inondation déciment les populations de rongeurs, les hivers neigeux à contrario protègent les rongeurs des attaques des rapaces... chouette effraie 10 juillet 201

© Jean-Claude FOURNIER

S'ils se nourrissent de cadavres abandonnés par les grands félins, les chacals sont aussi des prédateurs redoutables pour les bébés gazelles de Thomson, dik-diks, oiseaux, jeunes phacochères, ovins, bovins, caprins... Ils mangent aussi les reptiles et les insectes. Le chacal est un omnivore opportuniste. La chasse se fait plutôt à deux. Dans le cas présent, trois chacals se sont attaqués à une gazelle de Thomson et son petit. La tactique consiste pour deux d'entre eux à harceler la mère jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus défendre son petit, le troisième se saisissant alors du bébé et le tuant par étouffement. Les trois chacals vont se nourrir des viscères, puis déchirer la proie afin de se la partager... (Cette photo a été sélectionnée au Festival internationa de la photo animalière et de nature de Montier-en-Der en 2010) chacals,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

Lors du jeu, les lionceaux sont amenés à répéter postures et attaques qui leur serviront plus tard à terrasser leurs proies

© Aurélie BLUSSEAU

Plutôt charognard ou s'attaquant à de petites proies,le chacal n'est en principe pas un prédateur direct d'une gazelle de thomson ; cette gazelle a subi les attaques de ce chacal qui malgré des coups de cornes , a profité d'un moment d'inattention de cette gazelle pour la saisir à la gorge et la tuer.

© Thierry DUVAL

<br><br>Nom anglais du Hérisson d'Europe : European Hedgehog
<br>Autres noms français : Hérisson commun, Hérisson d'Europe occidentale, Hérisson d'Europe de l'Ouest ou plus simplement Hérisson ordinaire ou « hérisson » tout court
<br>L'un de ces deux jeunes hérissons avait une patte blessée. Celle-ci a guéri après deux jours de soins.
<br><br>L'espérance de vie du hérisson :
<br>Les quatre premières semaines de la vie d'un hérisson sont souvent les dernières. Vingt pour cent des jeunes environ disparaissent avant d'avoir quitté le nid. Après un an, il ne subsiste que 30 % de la portée. S'ils passent ce cap, les jeunes ont de bonnes chances de survie jusqu'à 4 ou 5 ans. Cette survie dépend de la quantité de nourriture qu'ils vont pouvoir trouver. Environ quatre individus sur mille atteignent l'âge de 10 ans, mais il est rarissime qu'un hérisson vive plus longtemps.
<br><br>Les principales causes de la mortalité du Hérisson d'Europe sont :
<br>Les intoxications chimiques et le trafic routier. Mais il existe de nombreux autres facteurs de disparition de ce petit mammifère. Plusieurs études ont permis de mieux les connaître. 
<br><br>* Les intoxications chimiques (26 % des cas). Par l'ingestion de nourriture contaminée par des herbicides ou des pesticides (utilisés au jardin, dans les parcs ou dans les cultures). L'essentiel des menus du hérisson consiste en mollusques (limaces, vers de terre, escargots) et arthropodes en tous genres (coléoptères, hannetons, charançons, bousiers, perce-oreilles et autres carabes. Il mange également des araignées, des vers de terre et des sauterelles, des chenilles et des mille-pattes). Drôle de remerciement pour ce véritable ami du jardinier ;
<br><br>* Les morts sur la route (24 % des cas). Souvent dus à la vitesse excessive des véhicules. Le hérisson a une vie essentiellement nocturne. De nuit, au delà de 80 km/h et à fortiori de 90, il est difficile à percevoir dans le faisceau des phares et donc de l'éviter ;
<br><br>* Le parasitisme (18 % des cas). Mouches (larve), puces, tiques et autres acariens. Un hérisson dehors en pleine journée est exposé aux attaques des mouches. Elles pondent sur l'animal. En se développant, les asticots se nourrissent de sa chair et le malheureux meure en d'atroces souffrances ;
<br><br>* La mort par épuisement (13 % des cas). La mort par épuisement concerne souvent des jeunes hérissons, dont la mère a disparu (morte ou "enlevée"). Incapables de se nourrir, ils meurent de faim. Des adultes pris au piège dans des fosses, des caniveaux y périssent aussi d'inanition. Il en est de même pour les hérissons pris dans des filets de protection pour les cultures. Dans les régions viticoles, par exemple, les hérissons périssent par dizaines chaque automne ;
<br><br>* La prédation (9 % des cas). Les prédateurs naturels du hérisson sont le blaireau, le hibou grand-duc, le renard, le sanglier, la buse et la fouine. Signalons comme autres prédateurs le chien et très rarement le chat ;
<br><br>* Autres causes (10 % des cas). Les maladies infectieuses, les accidents divers (noyade dans les trous et les piscines), les blessures, la disparition du bocage, la disparition des petits bois, le cloisonnement de nos jardins, les actes de cruauté ainsi que la vieillesse, etc. Cette dernière possibilité est désormais bien rare.
<br><br>Depuis 2008, le Hérisson d'Europe est inscrit sur la Liste Rouge mondiale de l'UICN.
<br>Depuis 2009, il est également inscrit sur la Liste Rouge des mammifères continentaux de France métropolitaine. 
<br>Il est protégé :
<br>- Au niveau international par la Convention de Berne : Annexe III
<br>- Au niveau national par le Code de l'environnement : Arrêté du 23 avril 2007 - Mammifères protégés - Article 2
<br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)
<br><br> Hérisson d'Europe
Erinaceus europaeus
European Hedgehog 
mammifères
France
Auvergne
Allier
Jeune
Liste rouge
protégé

© Monique Morin

 

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