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Recherche sur le(s) mot(s) clé(s) : Salut

Résultat de la recherche : 1 page(s) 40 photo(s)

 

 

 

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Ton départ a été aussi discret que toi et ton travail photographique.<br>
Tu as donné à ton fils la passion de la chasse photographique <br>
et celle, entre autres, des Cervidés.<br>
Je crois savoir que tes petits-enfants vont suivre la même route... MICHEL RICHARD PHOTOGRAPHE ANIMALIER

© Maurice Chatelain

L'hôpital. Les Iles du Salut se situent à une quinzaine de km de Kourou, environ 30 de Cayenne. Les forts courants marins, la fréquentation régulière des eaux environnantes par les requins, font que les tentatives d’évasion sont souvent vouées à l’échec. Ile Royale. Bagne de Cayenne. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Singe écureuil. Saimiri sciureus. Saïmiri commun. Singe écureuil. Saimiri sciureus. Iles du Salut. Ile Royale. Guyane française.

© Yves Vallier

Les 3 îles du Salut totalisent une superficie de 62 ha. Depuis la fermeture des bagnes, la nature a lentement repris sa place. Ile Royale. Guyane française. Iles du Salut.

© Yves Vallier

Cebus apella. Apelle. Cebus apella. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Le personnel pénitentiaire et les membres de la famille sont enterrés dans un cimetière sur l’île Saint Joseph. 
Quant aux bagnards décédés, ils sont jetés à la mer d’une embarcation et servent de festins pour les requins.
 Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Barre murale à laquelle les bagnards étaient enchaînés durant la nuit. Ile Royale. Ile du Salut.

© Yves Vallier

Cebus apella. Apelle. Cebus apella. Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

 Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Cebus apella. Apelle. Cebus apella. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Dans les cellules collectives, les forçats enchaînés aux rails dorment cote à cote, sur des planches de bois. Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

 Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

 Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

 Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

 Crapaud. Iles du Salut. Guyane française

© Yves Vallier

Les bagnards constituent pour l’Administration coloniale une main d’œuvre docile et bon marché pour les défrichements et abattages d’arbres, les constructions et les routes. Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Du large, les îles du Salut apparaissent comme des « paniers de verdure » où l’existence doit y être agréable et tranquille. La réalité est toute autre. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Iles du Salut. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Iles du Salut. Une belle nature exubérante a pris place  dans ces lieux où la souffrance vécue dépasse l'imagination. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Selon les écrits de certains forçats, le personnel pénitentiaire aurait largement profité du système : trafics, royalties sur des ventes d’objets fabriqués par les incarcérés et corruptions en tous genres. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Les bagnards sont « condamnés socialement » cela veut dire que même ceux qui sont volontaires ne peuvent être incorporés pour rejoindre les fronts de la guerre entre  1914 et 1918. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

C’est en 1923 que, suite à sa visite dans les bagnes, Albert Londres publiera dans la presse ses reportages qui donneront le premier coup au système pénitentiaire. Puis d’autres journalistes prendront la suite. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Le 17 juin 1938, le Président Albert Lebrun met fin à la transportation par un décret.
Mais à cette date il reste encore 4430 forçats. Les derniers rapatriements auront lieu en 1954.
 Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

De 1873 à 1938, 49300 détenus seront envoyés aux bagnes de Guyane. Après leur libération, 300 hommes seulement resteront sur le continent pour refaire leur vie, avec plus ou moins de réussite… Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Entre 1852 et 1862 : 12570 condamnés  transitent sur l’île Royale.
Parmi eux se distinguent trois catégories. Les déportés : espions, anarchistes, activistes politiques, traitres (Dreyfus était considéré comme tel). Les transportés : peines assorties du doublage du temps et soumis aux travaux forcés. Les relégués : ceux qui ont été condamnés plusieurs fois.
 Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Si la durée de la peine infligée était inférieure à 8 ans : à la fin du temps passé dans le bagne, le reclus devait rester en Guyane le même nombre d’années. Dépourvu d’argent, réduit à l’état de mendiant, il ne pouvait pas réunir la somme nécessaire pour un transport, qui restait à sa charge, vers la France ou  d’autres pays voisins en Amérique du sud. Bien souvent il récidivait afin de retourner au bagne pour vivre.
Au delà de huit années, la résidence obligatoire en Guyane à la fin du temps devenait alors perpétuelle.
 Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Cebus apella. Apelle. Cebus apella. Guyane française. Iles du Salut.

© Yves Vallier

L’absence totale d’hygiène, les piqûres d’insectes et les blessures non soignées, les maladies comme : fièvre jaune, Typhus, grippe infectieuse, malaria, dysenterie, l’ensemble accompagné d’une nourriture infecte et insuffisante, constituent un large éventail de causes qui contribuent à  l’élimination « naturelle » d’une grande partie des bagnards. Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Couloir desservant les cellules. Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Malgré l’ajout de 1500 déportés chaque année, l’effectif reste constant.
Les nouveaux arrivés remplacent ceux qui meurent…de sorte qu’il reste en permanence, de 5 à 6000 détenus.
 Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

L’anémie, le Scorbut et souvent la folie, l’aboutissement de tant d’années de privations et d’isolement, viennent à bout des plus réfractaires. Ceux qui en sortiront resteront marqués pour le peu d'années qu'il leur restera à vivre. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Quatre murs, un étau d'environ 3 mètres de long sur un peu plus d'1 en largeur. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

L’enfer est tellement brûlant que les évasions ou seulement les tentatives sont nombreuses. Au total : 9000 évasions sont enregistrées, avec 16% de réussite. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

La nature est née et s'est installée entre ces murs où des hommes mouraient, soit par ignorance de leur souffrance, soit pour la dissimuler à jamais. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

(Bucorvuscafer) Le Calao terrestre vit dans les forêts claires et la savane herbeuse. Il peut parcourir 10 km par jour en marchant. Il ne vole que dans les zones peu propices à la marche... calao,terrestre,masai,mara,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

Un grand lionceau salue avec félicité une des lionnes de la troupe

© Aurélie BLUSSEAU

© Pierre-Georges Despierre

Dans cette zone de la carrière, les Allemands ont sculpté une croix de fer au monogramme de l'empereur Guillaume II et gravé la formule "Ave Caesar morituri te salutant" ; carrière souterraine de Froidmont située sous le Chemin des Dames (France, Première Guerre mondiale). 14-18 
 Art des carrières 
 Chemin des Dames 
 carrière souterraine 
 creutes 
 graffiti allemands 
 première guerre mondiale 
 souterrain

© Jerôme et Laurent TRIOLET

<br>Vous trouverez ci-dessous le texte de soutien de Pierre <b>à l'intention des opposants au barrage de Sivens, et particulièrement ceux en grève de la faim.</b>
<br><br><b><font color="#F5D257"> "Chers amis,
<br><br>J'aurai souhaité venir vous remercier au nom de tous ceux qui partagent nos valeurs de protestation que vous manifestez contre le saccage d'un biotope exceptionnel par les aberrations du monde actuel. Celui-ci, par un aveuglement, souvent incompréhensible, donne plus d'importance au lucre et au profit sans âme ni véritable raison, qu'à la vie. Ce mitage permanent et en tous lieux aura à terme des conséquences d'une extrême gravité et mettra en grand péril les générations à venir. La question que devrait se poser l'humanité devrait être éclairée par le fait que nous avons un besoin absolu de la nature mais que la nature n'a pas besoin de nous. On pourrait ajouter, à bon entendeur... salut!</b>
<br><br>Cette vérité irrévocable devrait inspirer nos comportements et nos actes mais, hélas, nous sommes bien obligés de constater que le genre humain confond ses aptitudes avec son intelligence. Il poursuit, comme en état d'ébriété, l'insatiabilité, dont le monde a fait le moteur et la raison d'être de la vie sur terre. Votre témoignage qui va jusqu'au détriment de votre propre santé ne peut que nous rallier avec toute l'énergie de notre indignation pacifique mais déterminée.
<br><br>Avec l'espoir que votre message soit entendu au plus profond de la conscience et du coeur,
<br><br>Avec ma solidarité inconditionnelle,
<br><br>Pierre Rabhi "</font color="#F5D257">
<br><br><i>Ce texte a été lu le samedi 25 octobre lors du grand rassemblement contre le barrage de Sivens qui réunissait plus de 5000 manifestants venus de toute la France en soutien aux zadistes dire haut et fort NON au projet.</i>
<br><br>

© Monique Morin

Mante religieuse

© Sebastien FRANCEY

 

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