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Recherche sur le(s) mot(s) clé(s) : Marie

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Ces coiffes ( erembe ) signifient que ces femmes sont mariés. Femmes HIMBAS . Coiffes . KAOKOLAND. NAMIBIEh.

© Maurice Chatelain

Ce jeune garçon a atteint l'age de la puberté.
Quant il se mariera, il dédoublera sa natte jeune garçon himba. Coiffure .KAOKOLAND. NAMIBIE.

© Maurice Chatelain

<center>Harmonie des couleurs où les tonalités se marient agréablement. prairie chilhac  gorge de l 'allier

© Maurice Chatelain

Autre attribut de la femme marié, le bracelet de cuivre ( ozongoho zovitenda) Bracelet de cuivre. Femme marié.HIMBA. KAOKOLAND NAMIBIE

© Maurice Chatelain

Pour la protection de l’image (UTILISATION INTERDITE SANS AUTORISATION), la photographie n’est pas légendée. Le reportage complet est disponible, sous conditions, auprès du photographe/auteur (LA RESOLUTION BASSE DE L’IMAGE EST VOLONTAIRE)

© Pascale Dubois

Certains détails vestimentaires sont empreints de symbolique. Ainsi, la ceinture, ornée de perles de fer signifie que la femme a eu plus d'un enfant, le gros collier de coquillage souligne l'état de femme mariée. Idem pour la coiffe. En cas de veuvage, celle-ci est retournée... himbas,kaokoland,namibie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Les Borana sont des pasteurs semi-nomades, qui tirent leur subsistance de leurs troupeaux de zébus. Ils sont habiles à construire des puits profonds et aussi à récupérer le sel des cratères des volcans, pour le bétail. L'organisation sociale repose sur le "gada", un système de classes d'âges, déterminant la période à laquelle un homme peut se marier et devenir pére. Le non respect de cette règle est sanctionné, par une assemblée exécutive dirigée par un chef spirituel... borana,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

L'île de Taquile est célèbre pour son art textile, inscrit au patrimoine culturel immatériel de l'humanité par l'UNESCO en 2008. Les femmes filent la laine, les hommes tissent. Autre particularité, tous les habitants portent les costumes traditionnels. Autre tradition insolite, le "Servinacuy" : depuis l'époque inca, il est de coutume qu'un jeune couple avant de se marier, fasse l'essai de la vie conjugale. Si au terme de deux années de concubinage, le couple fonctionne bien, alors le mariage est célébré. Titicaca,taquile,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

La majorité légale au Japon est fixée à l'âge de 20 ans, mais il est possible de se marier à 16 ans pour les femmes et à 18 ans pour les hommes, avec l'autorisation des parents. Le mariage civil relève d'un simple enregistrement auprès de l'état civil avec ou sans la présence des postulants. La plupart des japonais se considèrent shintoïstes et bouddhistes. Le mariage traditionel japonais se déroule dans un sanctuaire shintô. La mariée porte un kimono blanc symbole de virginité, le marié est vêtu d'un kimono noir. mariage,shinto,tokyo,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Pasteurs nomades, les Masaïs se nourrissent du lait, de la viande et du sang de leurs animaux. Leur vie sociale est découpée en cycles et rites : le passage de l'adolescence à l'âge adulte est marqué par la circoncision (le jeune devient "morane", quitte village et famille, pour apprendre le métier de pasteur et de guerrier). "L'eunoto" 7 ans plus tard met un terme au moranisme, permettant au jeune de se marier et de conduire son propre troupeau. Sept ans plus tard, il peut accéder au rang d'ancien, participer au Conseil. Seuls les devins appelés "laidons" peuvent prétendre représenter le Dieu Enkai et diriger le clan... ethnie,masai,kenya,tanzanie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Cette femme Tsemaï est mariée. Elle porte une robe de cuir aux multiples décorations et signe de reconnaissance de son état de femme mariée, un bâton cousu au pan du vêtement... tsemai,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

Dès qu'elles sont en âge de procréer, les jeunes filles se marient. Il n'est pas rare qu'à l'âge de 20 ans, elles soient déjà mère de 6 ou 7 enfants ! La polygamie existe dans la société Himba, mais elle n'est pas la règle. himbas,namibie.

© Jean-Claude FOURNIER

Les habitudes vestimentaires marquent le statut social des habitants. Le bonnet blanc et rouge est porté par les hommes mariés, le rouge uni permet d'identifier le célibataire. Le "leader" du village porte un bonnet en feutre noir.
Les femmes mariées sont toutes vêtues de noir. Les femmes célibataires portent des décorations sur le bas de leurs jupons. Titicaca,taquile,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

© Sandrine MARBACH

brodeuse de Kila Siku Afrique, Congo, Goma, Centre Don Bosco, Kalisiku, inuka, en avant les enfants, EALE, visages de goma,  
 brodeuses de Eale

© Benoit FERON

une brodeuse de Kila Siku Afrique, Congo, Goma, Centre Don Bosco, Kalisiku, inuka, en avant les enfants, EALE, visages de goma,  
 brodeuses de Eale

© Benoit FERON

 Afrique, Congo, Goma, Centre Don Bosco, Kalisiku, inuka, en avant les enfants, EALE, visages de goma,  
 brodeuses de Eale

© Benoit FERON

© DANIEL CASANOVA

© Pierre-Georges Despierre

Les chambres de cet ensemble troglodytique accueillent ceux qui se rendent en pèlerinage dans l’église souterraine toute proche Bete Maryam (l’église de Marie) (environs de Sela Dingay, Ethiopie). Abyssinie 
 Bete Maryam 
 Ethiopie 
 Lalibela 
 UNESCO 
 christianisme 
 chrétiens 
 grotte 
 sanctuaire 
 troglodyte 
 tuf volcanique 
 église monolithe 
 église souterraine

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Taillée dans le tuf volcanique aux dépens d’un mamelon rocheux vers 1280, l’église monolithe Genete Maryam (l’église du Paradis de Marie) marque l’arrivée sur Lalibela (environs de Lalibela, Ethiopie). Abyssinie 
 Ethiopie 
 Genete Maryam 
 Lalibela 
 UNESCO 
 christianisme 
 chrétiens 
 grotte 
 sanctuaire 
 troglodyte 
 tuf volcanique 
 église monolithe 
 église souterraine

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Les restes du mamelon rocheux aux dépens duquel a été creusée l’église monolithe Genete Maryam (l’église du Paradis de Marie) lui servent d’enceinte (environs de Lalibela, Ethiopie). Abyssinie 
 Ethiopie 
 Genete Maryam 
 Lalibela 
 UNESCO 
 christianisme 
 chrétiens 
 grotte 
 sanctuaire 
 troglodyte 
 tuf volcanique 
 église monolithe 
 église souterraine

© Jerôme et Laurent TRIOLET

À l’image des temples antiques, l’église monolithe Genete Maryam (l’église du Paradis de Marie) est entourée d’une superbe colonnade taillée dans la roche (environs de Lalibela, Ethiopie). Abyssinie 
 Ethiopie 
 Genete Maryam 
 Lalibela 
 UNESCO 
 christianisme 
 chrétiens 
 grotte 
 sanctuaire 
 troglodyte 
 tuf volcanique 
 église monolithe 
 église souterraine

© Jerôme et Laurent TRIOLET

De superbes fresques ornent les voûtes de l’église monolithe Genete Maryam (l’église du Paradis de Marie) creusée vers 1280 (environs de Lalibela, Ethiopie). Abyssinie 
 Ethiopie 
 Genete Maryam 
 Lalibela 
 UNESCO 
 christianisme 
 chrétiens 
 grotte 
 sanctuaire 
 troglodyte 
 tuf volcanique 
 église monolithe 
 église souterraine

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Des croix et des arcades sculptées ornent le toit de l’église monolithe Genete Maryam (l’église du Paradis de Marie). Dans la cour, une piscine liturgique dont l’eau est censée guérir les problèmes de fertilité (environs de Lalibela, Ethiopie). Abyssinie 
 Ethiopie 
 Genete Maryam 
 Lalibela 
 UNESCO 
 christianisme 
 chrétiens 
 grotte 
 sanctuaire 
 troglodyte 
 tuf volcanique 
 église monolithe 
 église souterraine

© Jerôme et Laurent TRIOLET

 

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