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Recherche sur le(s) mot(s) clé(s) : Joseph

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Le personnel pénitentiaire et les membres de la famille sont enterrés dans un cimetière sur l’île Saint Joseph. 
Quant aux bagnards décédés, ils sont jetés à la mer d’une embarcation et servent de festins pour les requins.
 Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Les bagnards constituent pour l’Administration coloniale une main d’œuvre docile et bon marché pour les défrichements et abattages d’arbres, les constructions et les routes. Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Du large, les îles du Salut apparaissent comme des « paniers de verdure » où l’existence doit y être agréable et tranquille. La réalité est toute autre. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Iles du Salut. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Iles du Salut. Une belle nature exubérante a pris place  dans ces lieux où la souffrance vécue dépasse l'imagination. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Selon les écrits de certains forçats, le personnel pénitentiaire aurait largement profité du système : trafics, royalties sur des ventes d’objets fabriqués par les incarcérés et corruptions en tous genres. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Les bagnards sont « condamnés socialement » cela veut dire que même ceux qui sont volontaires ne peuvent être incorporés pour rejoindre les fronts de la guerre entre  1914 et 1918. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

C’est en 1923 que, suite à sa visite dans les bagnes, Albert Londres publiera dans la presse ses reportages qui donneront le premier coup au système pénitentiaire. Puis d’autres journalistes prendront la suite. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Le 17 juin 1938, le Président Albert Lebrun met fin à la transportation par un décret.
Mais à cette date il reste encore 4430 forçats. Les derniers rapatriements auront lieu en 1954.
 Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

De 1873 à 1938, 49300 détenus seront envoyés aux bagnes de Guyane. Après leur libération, 300 hommes seulement resteront sur le continent pour refaire leur vie, avec plus ou moins de réussite… Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Dans les cellules à ciel ouvert, la peine ne dure pas moins de 2 ans. Elle peut alors être de 5, 10, 18 ou 20 ans. Le plafond est une grille par laquelle les gardiens contrôlent la présence des détenus. Une passerelle, sorte de chemin de ronde situé au dessus, permet une surveillance des gardiens 24h sur 24.

© Yves Vallier

L’anémie, le Scorbut et souvent la folie, l’aboutissement de tant d’années de privations et d’isolement, viennent à bout des plus réfractaires. Ceux qui en sortiront resteront marqués pour le peu d'années qu'il leur restera à vivre. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Quatre murs, un étau d'environ 3 mètres de long sur un peu plus d'1 en largeur. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

L’enfer est tellement brûlant que les évasions ou seulement les tentatives sont nombreuses. Au total : 9000 évasions sont enregistrées, avec 16% de réussite. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

La nature est née et s'est installée entre ces murs où des hommes mouraient, soit par ignorance de leur souffrance, soit pour la dissimuler à jamais. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

 

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