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Recherche sur le(s) mot(s) clé(s) : Callorhinus

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<b>Callorhinus ursinus.</b> Le mâle pèse 300 kg au début de la saison de reproduction, avant la constitution des harems. Il perdra jusqu'à 25 % de son poids durant son séjour à terre. La femelle, quant à elle, ne pèse qu'une cinquantaine de kg. Otaries à fourrure du nord, Callorhinus ursinus, îles Pribilof.

© Yves Vallier

<b>Callorhinus ursinus.</b> Le mâle porte avec ostentation de longues moustaches.  L'otarie se différencie des phoques par ses oreilles externes. Elle est équipée, pour affronter les plus basses températures, d'un pelage composé d'environ 300.000 poils et duvets pour 6 cm2. Essentiellement pélagique, elle ne revient à terre que pour se reproduire. La population totale est de 2 millions d'individus, dont 1,4 aux îles Pribilof. Le reste est réparti en mer d'Okhotsk, aux îles Kouriles, le long des côtes ouest de la mer de Béring et du Pacifique nord. Otarie à fourrure, Callorhinus ursinus, espèce nordique des îles Pribilof, Kouriles et de l'océan  Pacifique nord.

© Yves Vallier

<b>Callorhinus ursinus.</b> En mer de Béring, les poissons les plus pêchés sont le merlan et le hareng. Il se trouve que les otaries les convoitent également. Les pêcheurs considèrent donc ces mammifères marins comme des concurrents. Aussi, chaque année, afin d'en limiter la population, les Aléoutes prélèvent du cheptel une cinquantaine de célibataires. La viande sera ensuite distribuée aux "anciens" des îles. Otarie à fourrure du nord. Callorhinus ursinus. Iles Pribilof, Mer de Béring.

© Yves Vallier

 

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