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Cet oiseau est en voie de disparition. Il n'en resterait que 70 individus dans le monde. Ils sont tous concentrés sur l'île de Praslin, et principalement à proximité de la vallée de mai. Celui ci a été photographié dans le village même, à coté du dispensaire, dans un jardin privé ou il se nourrissait d'un fruit exotique qu'il apprécie particulièrement.

© Daniel Trinquecostes

La sterne fée ou gigi reste pour nous le meilleur souvenir des Seychelles.Nous l'avons trés bien observée et photographiée sur Bird island qui est un paradis pour les ornithologues et les photographes.

© Daniel Trinquecostes

L' identification reste à faire! photo outarde

© Daniel Trinquecostes

Ce cliché a été pris du mème endroit que la précédente.Comme il était impossible de se rapprocher , j'ai utilisé le doubleur de focale avec un résultat qui reste tout à fait satisfaisant !( trépied installé dans le véhicule;pellicule sensia 2 ) photo aigle martial

© Daniel Trinquecostes

Ce héron strié a fini par prendre des poses absolument invraisemblables.Il faut dire que nous sommes restés plusieurs heures en sa compagnie!Dans les précisions qu'il est permis d'apporter pur aider la réalisation d'un voyage,l'escale de Puerto Villamil
 n'est pas vraiment indispensable. photo héron strié

© Daniel Trinquecostes

Celui ci ,également photogaphié à James Bay se séche en déployant ses ailes.Il peut restes immobile ainsi durant un long moment. photo héron de nuit

© Daniel Trinquecostes

Pour moi il restera " le renardeau à la fougère " car il passait son temps à briser les posses de fougères. RENARD RENARDEAU TERRIER
VULPES VULPES
Mammifère

Photographie de nature et de faune sauvage
Photographe naturaliste
Que nature vive
Daniel TRINQUECOSTES

© Daniel Trinquecostes

Le cincle peut parfois rester plusieurs minutes, bien en équilibre sur son rocher, tournant la tête à droite et à gauche dans l'attente d'on ne sait quel événement . CINCLE PLONGEUR
Oiseaux
PHOTOGRAPHIE DE CINCLE PLONGEUR
PHOTOGRAPHIE de NATURE et de FAUNE SAUVAGE

Daniel TRINQUECOSTES
Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

Un reste de feuillage d' or sous les résineux . PAYSAGE
Photo de paysage
Photographie de nature et faune sauvage
Daniel Trinquecostes
Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

<center>Posture d'observation ; elle peut rester ainsi un long moment. marmotte

© Maurice Chatelain

<center>Comment rester insensible devant ce tableau naturel? automne,alpes,mélèzes,bouleau

© Maurice Chatelain

<center>Mais la brume est restée accrochée au village.

 brume massif alpin grand paradis

© Maurice Chatelain

La pluie vient de tomber, lavant le ciel.<br>
Il reste encore des nuages...

© Maurice Chatelain

<center>Vestiges de leur culture. Restés en place, ils résistent à l'hiver. pieds de maïs, hiver neige, vienne.

© Maurice Chatelain

<center>Les restes de la poule : tête et cou.<br>
D'abord jouer à les lancer en l'air, les reprendre et recommencer ; puis, les croquer avec délice ! renardeau, proie cou de poule et tête.

© Maurice Chatelain

<center>...Est mère de sûreté ! 
L'observation des environs n'est pas à négliger.<br> Ici, dans ces amas rocheux, la marmotte trouve des terriers naturels mais elle n'est pas la seule ; Goupil aussi peut s'y cacher !<br>
L'une des postures de surveillance consiste à se mettre sur ses courtes pattes arrières, la mobilité de la tête faisant le reste. Marmotte, rochers, observation, alpes.

© Maurice Chatelain

<center>
C'était la marque de son matériel à laquelle il est resté fidèle. photographe et téléobjectif namibie

© Maurice Chatelain

<center>... Ces jeunes filles sont heureuses de me montrer leurs cahiers<br> avec de belles réalisations. C'est un bien agréable moment<br> de partage avec, dans leurs yeux, le pétillement de l'instant.

© Maurice Chatelain

<center>
Tu peux rester, tu sais !

© Maurice Chatelain

<center>Je reste le maître.
 Les Landes

© Maurice Chatelain

<center>
Sa forme est définitive; il reste à finaliser<br>
certaines dimensions, telle la largeur des portes... 
 cabine de la toue.

© Maurice Chatelain

<center>
Tout est paisible ! Ces bouquetins savourent le printemps nouveau et <br>l'herbe grasse ; 45 animaux au total, dont de très vieux mâles, forment ce groupe imposant. Je reste de longues heures avec eux, observateur silencieux de leurs comportements. harde bouquetins mâles printemps mai 2007

© Maurice Chatelain

<center>Elle reste parfois sur le muret jusqu'au coucher du soleil. CHAT BLANC couché lumière du soir

© Maurice Chatelain

<center>Comme me l'a dit un jour Stefano, Garde du Parc :<br>
<I>La mort d'un animal, c'est la vie d'un autre !</i><br>
Rien n'est plus vrai durant l'hiver... Renard et os de bouquetins

© Maurice Chatelain

<CENTER>
Juste à la sortie de mon hameau, une petite route...<br>
Mais là aussi ils roulent trop vite. Est-il ce hérisson qui venait<br> manger les croquettes de mes chats cet hiver ? <br>
Bien sûr, il n'est pas resté sur le bitume. Hérisson mort sur le bitume

© Maurice Chatelain

<center>
Une dernière image, pour montrer la beauté d'un rapace. <br>
Je n'ai pas souhaité faire d'autres photos<br>
afin de ne pas ajouter à son stress. <br>
Remis dans sa volière, le milan s'est plaqué au sol, étalant ses ailes, <br>
faisant le mort. Il restera ainsi un bon quart d'heure avant <br>
de reprendre place sur un perchoir, sa vie de liberté à jamais brisée. Portrait de milan noir, bec ouvert.

© Maurice Chatelain

<center>
<I>La fumée de trois fusils s'éleva dans la nuit.<br>
 Boggis, Bunce et Bear s'approchèrent du terrier.<br>
Et là sur le sol, dans le rond de la lumière de la torche<br>
gisaient les pauvres restes déchiquetés<br> et ensanglantés... 
d'une queue de Renard...</i><br>
Tiré de l'ouvrage de Roald Dalh 'Fantastique Maître Renard'<br>
En fait, je n'avais pas remarqué que la queue
manquait <br>
à ce pauvre Goupil. C'est bel et bien un acte odieux<br>
dont seul un être humain est capable. Arrière train d'un Renard mort. Lui manque la queue. Acte de sauvagerie.

© Maurice Chatelain

A l'ombre sous des couvertures tendues entre des troncs d' arbres, cette femme Himba allaite son enfant.
Elles est entouré d'autres femmes de sa famille.
Pendant sa première année, l'enfant ne quitte jamais sa mère, il dort sur ses genoux et reste à son contact.

 Allaitemant d'un bébé; KAOKOLAND. NAMIBIE.

© Maurice Chatelain

<center>
L'avalanche a été terrible et a tout emporté. <br>
Du pont (dans le bas de la photo), il ne reste que la pierre<br>
d'où repart le sentier vers la gauche. Après l'avalanche Grand Paradsi

© Maurice Chatelain

<center>
Je décide de suivre mon goupil. <br>
Je monte le 300 de 2,8 sur le boîtier,<br>
le tout sur un monopode muni d'une bonne rotule.<br>
Je reste à une dizaine de mètres en arrière. reanard, regard en arrière. Alpes Grand Paradis

© Maurice Chatelain

<center>
Il ressort avec ce qui me semble être un mulot dans la gueule,<br>
serrant suffisamment les mâchoires pour éviter toute fuite.<br>
Cette fois, j'opte pour la prise de vues multiples, le doigt sur<br>
 le déclencheur, le boîtier fera le reste, je lui fais confiance ! Renard avec un mulot dans la gueule.

© Maurice Chatelain

<center>
Et tenter d'y lire si je peux encore rester,<br>
si je suis toujours toléré. Renard debout de face regard alpes Grand Paradis

© Maurice Chatelain

<center>
Si les pentes herbeuses restent son domaine, <br>
le chamois n'hésite pas à traverser les rivières<br>
offrant au photographe un environnement différent. Chamois traversant une rivière. Vallée d'Aoste.
Grand Paradis

© Maurice Chatelain

<center>Une voiture qui passe...<br>
Trop tard, pas assez rapide...<br>
Et l'oiseau reste sur le bas côté de la route. Pinson mort

© Maurice Chatelain

<center>C'est le silence total.
Seul le crissement des crampons qui s'encrent dans la neige gelée et qui rythme notre progression.
Mon regard se porte au loin et je mesure le chemin qui me reste encore à parcourir avant de retrouver le soleil. Cordée dans une ambiance glacée.Ascension du Grand Paradis.

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

<CENTER>Le village de Valnontey est resté authentique. village de Valnontey, Vallée de COGNE (AOSTE) GRAND PARADIS

© Maurice Chatelain

<center> 
Savez-vous qu'il est INTERDIT de nourrir les animaux.<br> 
Dans les campings nombreux sont ceux qui profitent des restes<br>
laissés volontairement ou tombés au sol.<br>
Je vais faire un aveu : j'ai beaucoup de mal à ne pas donner<br>
quelques miettes à ces adorables écureuils... Ecureuil terrestre assis au sol et dégustant un morceau de pain. KGALAGADI Transfrontier Park.

© Maurice Chatelain

<center> S'allonger tout contre ; le 105 macro fera le reste. Gentiane printanière

© Maurice Chatelain

<center> Rester en famille.

© Maurice Chatelain

<center> 
Le temps d'un cliché, ce compagnon est resté suffisamment<br>
longtemps pour me permettre de le retrouver dans mon viseur...<br>
avec ma longue focale (300 + doubleur).

© Maurice Chatelain

<center>
Très loin mon regard se porte et je distingue ce chamois <br>
totalement immobile. Il le restera, ce qui me permettra<br>
de monter le doubleur sur mon 300mm. Je l'ai ainsi observé<br>
longuement et ai réalisé quelques images... que je nomme<br>
des photos souvenirs. L'ambiance était intéressante. Chamois de face sur le sommet du versant.

© Maurice Chatelain

<center>Disparue de ma vue depuis un bon moment, je vois apparaître sa tête au-dessus du massif de rhododendrons près duquel j'ai élu domicile.
La renarde reste ainsi un long moment ; visiblement, elle a très chaud. Par crainte de la faire fuir, je n'ose bouger. renarde, massif de rhododendrons, alpes, vallée d'Aoste.

© Maurice Chatelain

<center>Elle reste de très longs moments assise à observer, à déceler le moindre bruit ; je suis sa perception au mouvement de ses oreilles. renarde assises de dos

© Maurice Chatelain

<center>Plumes de la queue et des ailes coupées. cette buse restera à jamais prisonnière au centre de soins.
 Opéré de son aile cassée trop contusionné et compte tenu de son âge  elle ne pourra retrouver l'agilité du vol
Toutefois elle aura bientôt un plus grand espace. Buse blessée. centre de soins .

© Maurice Chatelain

<center>
Avant de quitter son terrier, notre ami Goupil observe les alentours. 
Il reste ainsi un bon moment, me donnant <br>
la possibilité de poser mon trépied. Renard couché devant son terrier en partie recouvert de neige.
Vallée d'Aoste.

© Maurice Chatelain

<center>Elles aussi n'a pas été intimidé par ma présence.
Ces jeunes hulottes vont encore rester un moment avec Lydia. <br>Pourtant elles mangent seules, mais elles ne savent pas encore chasser.<br>
L'apprentissage va être long avant de les relâcher dans la nature.
La quatrième est au sol, je n'ai pas voulu la déranger.<br>
Aussi pas d'images. Jeune hulotte en soins.

© Maurice Chatelain

<center>Il ne reste que quelques dizaines de mètres pour accéder au sommet qui se trouve derrière la statue de la vierge.
<br<Le passage est délicat et le nombre de personnes obligent de faire très attention.

© Maurice Chatelain

<b>Cervus duvauceli.</b> Appelé également cerf de Duvaucel. Hauteur au garrot environ 1,20 m pour un poids de 180 kg. Amateur de plaines herbeuses ou de marécages du Madhya Pradesh. Le sens olfactif semble mieux développé que l'ouie ou la vue pour ce cervidé. Animal en danger car il n'en reste plus que 4.000 sur l'ensemble du continent indien. cerf barasinga mammifère cervidé de l'Inde réserve de Khana

© Yves Vallier

<b>Propithecus verreauxi.</b>Un unique jeune né après 160 jours environ de gestation. Durant les premiers jours, il reste suspendu au poitrail de sa mère. Un mois plus tard, il passe sur son dos et commence son apprentissage de funambule dans les branches. La maturité sexuelle est atteinte entre 3 et 5 ans. Propithèque de Verreaux adulte et jeune, lémurien endémique de Madagascar

© Yves Vallier

<b>Diomedea irrorata.</b> Espèce endémique, représentée par 12.000 couples regroupés sur une seule île de l'archipel : Española. Une incubation longue de 60 jours donne naissance à un  seul jeune qui restera au nid durant 170 jours avant de gagner les airs où il excelle. Albatros des Galapagos, espèce d'oiseau de mer, palmipède endémique sur Española aux îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Chelonia mydas agassisi.</b> Les jeunes tortues marines sortent également la nuit de leur abri, au terme de 60 jours d'incubation. Lorsque les petites tortues sortent de jour, elles sont la proie des crabes, frégates et autres prédateurs terrestres. Lorsqu'elles parviennent enfin à gagner la pleine mer, elles restent une proie facile pour les poissons et même les requins. Tortue verte, tortue marine du Pacifique et des iles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Chelonia mydas agassisi.</b> Fatiguée d'un long voyage en mer, la tortue verte atterrit sur les plages et reste immobile de longues heures afin de reprendre ses forces. Tortue verte du Pacifique, Chelonia mydas agassisi, tortue marine

© Yves Vallier

<b>Ursus arctos.</b> Alaska. Après une gestation de 8 mois environ, la femelle met au monde 2 ou 3 jeunes, chacun pesant 400 gr. Ils restent à l'abri, dans leur cache, durant 4 mois, puis suivent leur mère à la découverte du monde et restent avec elle jusqu'à l'âge de 4 ans. Ours brun, Ursus arctos femelle avec jeunes. Alaska.

© Yves Vallier

<b>Callorhinus ursinus.</b> Le mâle porte avec ostentation de longues moustaches.  L'otarie se différencie des phoques par ses oreilles externes. Elle est équipée, pour affronter les plus basses températures, d'un pelage composé d'environ 300.000 poils et duvets pour 6 cm2. Essentiellement pélagique, elle ne revient à terre que pour se reproduire. La population totale est de 2 millions d'individus, dont 1,4 aux îles Pribilof. Le reste est réparti en mer d'Okhotsk, aux îles Kouriles, le long des côtes ouest de la mer de Béring et du Pacifique nord. Otarie à fourrure, Callorhinus ursinus, espèce nordique des îles Pribilof, Kouriles et de l'océan  Pacifique nord.

© Yves Vallier

<b>Canis lupus.</b> Bayericherwald. Bavière. Au terme d'une gestation de 9 semaines, la femelle met au monde de 3 à 6 louveteaux qu'elle allaitera durant 8 semaines. Les jeunes restent dans le groupe une année environ et atteignent la maturité sexuelle à 2 ans. Loup automne, canidé du Mercantour de l'Espagne et d'Italie.

© Yves Vallier

<b>Bubo bubo.</b>  Cévennes. Le plus gros des rapaces nocturnes. Taille 65 cm pour une envergure de 1,80 m et un poids de 2,5 kg environ. Le régime alimentaire est adapté au site dans lequel il niche : rats, hérissons, poissons dont on retrouve les restes dans les pelotes mesurant une dizaine de cm. Il capture également des canards, gallinacés. Redoutable prédateur de rapaces nocturnes ou diurnes qu'il arrache des branches dans ses serres extrêments puissantes lors de vols de nuit . Hibou grand duc poussin. Le plus gros rapace nocturne.

© Yves Vallier

<b>Felis lynx.</b> Bayericherwald. Espèce largement répartie en Europe dans le passé. Il ne reste plus aujourd'hui que quelques éléments isolés, en Espagne, dans les Balkans, en Suisse et Yougoslavie. En France, il réside en petits nombres, dont la plupart ont été réintroduits dans les Vosges, le Jura, la haute savoie et les Pyrénées. Lynx en automne. Felis lynx au Bayericherwald. Félidés.

© Yves Vallier

<b>Canis lupus.</b> Bayericherwald. Le loup peut trotter durant des heures et effectuer des pointes de vitesse de l'ordre de 45 km/h. Dans la neige, la pression d'une patte est de 150 g/cm2 alors qu'elle est de 180 pour un caribou et de 3 à 400 pour un cerf. En Angleterre, le loup a été exterminé en 1500. Heureusement, il en reste plus de 3000 en Yougoslavie, autant en Pologne, de 3 à 4000 en Italie et 2000 en Espagne. Loup en hiver. Canis lupus. Bayericherwald.

© Yves Vallier

<b>Falco peregrinus.</b> Restes d'un lardoir. Ornithophage, le faucon pèlerin est donc un spécialiste de la capture des oiseaux. Les proies sont capturées en plein vol à la suite d'une attaque à grande vitesse. Le taux de réussite des attaques varie selon l'expérience de l'oiseau, la période de l'année et l'environnement. La taille des proies s'échelonne de celle de la mésange, à celle du pigeon ramier. Rarement plus grosse. Le mâle 1/3 plus petit que la femelle chasse les petites proies, la femelle les plus corpulentes. (sources : René-Jean Monneret) Faucon pèlerin. Falco peregrinus. Rapace spécialisé dans la chasse de haut vol.

© Yves Vallier

Le 17 juin 1938, le Président Albert Lebrun met fin à la transportation par un décret.
Mais à cette date il reste encore 4430 forçats. Les derniers rapatriements auront lieu en 1954.
 Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

De 1873 à 1938, 49300 détenus seront envoyés aux bagnes de Guyane. Après leur libération, 300 hommes seulement resteront sur le continent pour refaire leur vie, avec plus ou moins de réussite… Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Si la durée de la peine infligée était inférieure à 8 ans : à la fin du temps passé dans le bagne, le reclus devait rester en Guyane le même nombre d’années. Dépourvu d’argent, réduit à l’état de mendiant, il ne pouvait pas réunir la somme nécessaire pour un transport, qui restait à sa charge, vers la France ou  d’autres pays voisins en Amérique du sud. Bien souvent il récidivait afin de retourner au bagne pour vivre.
Au delà de huit années, la résidence obligatoire en Guyane à la fin du temps devenait alors perpétuelle.
 Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Malgré l’ajout de 1500 déportés chaque année, l’effectif reste constant.
Les nouveaux arrivés remplacent ceux qui meurent…de sorte qu’il reste en permanence, de 5 à 6000 détenus.
 Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

L’anémie, le Scorbut et souvent la folie, l’aboutissement de tant d’années de privations et d’isolement, viennent à bout des plus réfractaires. Ceux qui en sortiront resteront marqués pour le peu d'années qu'il leur restera à vivre. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

 Bretagne, oiseau, migrateur, bécasse des bois, sommeil

© Jacky Bernard


 Les ours (d'abord les mâles), commencent à quitter leurs tanières. Si les traces sont assez fréquentes, les observations restent assez rares et sont souvent le fruit du hasard. Afin de conserver des populations vraiment sauvages, les charniers sont interdits en Suède. 
 

 Mammifère, ours, traces,neige, Suède.

© Jacky Bernard

Le ski de raid et la pulka tractée restent un excellent moyen de progression qui autorise une autonomie moyenne de trois semaines. C'est un exercice très physique mais qui permet de passer quasiment n'importe où.

© Pierre Vernay

Un rhinoceros surgit hors du bush où il était resté bien camouflé.

© Pierre Vernay

Il ne reste plus qu'un petit à cette lionne (Panthera leo).

© Pierre Vernay

La formule chromosomique du boeuf musqué le place à mi distance entre le bélier et le taureau ce qui lui a valu l'appelation d'ovibos. Son système de défense est resté inchangé au cours des siècles. Les Boeufs musqués se mettent en cercle ou détalent quand ils sentent qu'ils peuvent distancer l'adversaire.

© Pierre Vernay

Le fonfjord reste redoutable à cause des vents forts qui s'y engouffrent. Des grandes bandes de brouillard y circulent aussi rapidement

© Pierre Vernay

Ce camp situé sur la côte eest du Spitzberg restera l'un des plus durs des expéditions Polar Lys. Par - 31 °celcius et franchement sous équipés, nous ne fermerons pas l'oeil de la nuit.

© Pierre Vernay

Il ne resterait plus que 200 individus en liberté au Sri Lanka

© Pierre Vernay

Peu de villages ont leur école. Le poids de la tradition "morane" reste important, malgré l'opposition de l'Etat. Cependant tous les Masaïs ne se destinent pas à devenirs pasteurs. Certains partent à la ville pour travailler dans le commerce ou le tourisme... masai,ethnie,ecole,kenya,tanzanie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Les Gnous vivent en troupeau. Par milliers, ils ont envahi la plaine du Masaï Mara. Ils recherchent l'herbe restée verte après la saison des pluies. Selon les scientifiques, les plaines grasses du Masaï Mara offrent un fourrage riche en oligo-éléments : azote, cuivre, sodium et zinc... gnous,masai,mara,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

Les éléphants sont capables de rester éveillés longtemps. Leur temps de sommeil quotidien serait de 4 heures environ. Sur cette vue, l'éléphant s'autorise un petit somme réparateur. Particularité : pendant son sommeil, il croise les pattes de derrière !!! elephant,etosha,namibie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Les chacals et parfois aussi les hyènes brunes et les lions viennent à Cap Cross, à la recherche de proies faciles, notamment les bébés otaries. Pour se protéger des prédateurs, les otaries restent groupées. Ici une future maman se retrouve isolée, face à un chacal... otaries,cap,cross,namibie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

L'Islande recense une population d'environ 300 000 habitants, vivant principalement à Reykjavik, la capitale et Akureyri la deuxième grande ville d'Islande. Le reste du territoire est peu peuplé. On peut apercevoir ici et là quelques maisons isolées, au pied des volcans. Elles sont habitées par quelques familles d'éleveurs de moutons et de chevaux...

© Jean-Claude FOURNIER

(Fulmarus glacialis) Lorsque deux Fulmars se sont choisis pour s'accoupler, ils restent fidèles l'un à l'autre pendant plusieurs années... fulmar,boreal,flatey,islande.

© Jean-Claude FOURNIER

(Limosa limosa) En Islande, la Barge à queue noire connait quelques variantes par rapport au reste de l'Europe : bec et pattes plus courts, plumage nuptial brun orangé plus intense... barge,queue,noire,islande.

© Jean-Claude FOURNIER

(Phalacrocorax aristotelis) Le Cormoran huppé se nourrit de poissons. Sa zone de pêche se situe à moins de 10 km de son lieu de reproduction. Il vole près des vagues, avec des battements rapides, peut plonger jusqu'à 60 mètres et rester sous l'eau pendant 2 minutes. Au retour, il fait sécher ses ailes avant de reprendre un nouveau vol. Aux îles Farne, il demeure sur le site de nidification quasiment toute l'année... cormoran,huppe,ile,inner,iles,farne,angleterre.

© Jean-Claude FOURNIER

(Phalacrocorax africanus) Il est deux fois plus petit que le Grand Cormoran. C'est plutôt un oiseau solitaire qui se nourrit de poissons capturés au cours de plongées plus ou moins profondes. Il pêche environ trois heures par jour et passe le reste du temps à se prélasser au soleil et à sécher ses plumes. Il niche en fin de saison des pluies, sur le sol, dans la végétation dense et les roseaux. Les deux parents couvent deux ou trois œufs pendant un mois. Les petits commencent à voler à cinq ou six semaines... cormoran,africain,baringo,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

Selon l'UICN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature) le Jaguar est menacé d'extinction en Amérique du Sud, du fait de l'extension des activités humaines qui réduit son espace vital et des conflits avec les éleveurs et les agriculteurs... Au Pantanal, l'animal reste très protégé. jaguar,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

C'est le plus grand singe d'Amérique. Il a une longévité d'environ 25 ans. Le pelage des mâles est de couleur noire, celui des femelles de couleur paille. Le singe hurleur se nourrit de feuilles et de fruits. La période de reproduction s'étend sur toute l'année. La femelle donne naissance à un seul petit. Jusqu'à l'âge de 2/3 ans le bébé reste accroché à la mère puis peu à peu prend son autonomie pour manger et se déplacer seul... singe,hurleur,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

(Coragyps atratus) Le Vautour moine, connu aussi sous le nom de "Urubu noir" est un charognard. Son cycle de reproduction : la femelle pond de 1 à 3 œufs. Ceux-ci sont incubés par les deux parents. Les jeunes restent au nid deux mois et commencent à voler 75 jours après leur naissance... vautour,moine,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

En arrière plan, on aperçoit la pagode inachevée de Mingun, commencée en 1790, sous le règne du roi Bodowpaya et qui devait être le plus grand stupa du monde. D'une hauteur de 153 mètres, elle devait accueillir une dent de Bouddha, cadeau des Chinois. Pendant la construction, une prophétie annonça que le pays serait ruiné à l'achèvement de la pagode. Les travaux furent interrompus. On peut voir aujourd'hui, ce qui reste de ce monument, après les effets du tremblement de terre de 1838... mingun,pagode,inachevee,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

(Sula granti) Ce petit, resté au nid, attend impatiemment le retour de ses parents partis pêcher au large. Ces derniers lui régurgiteront la nourriture dont il a besoin pour grandir... fou,pattes,rouges,galapagos,equateur.

© Jean-Claude FOURNIER

(Amblyrhynchus cristatus) Darwin l'appelait "le diablotin de la nuit" en raison de son aspect inquiétant. L'iguane marin se nourrit d'algues pêchées entre 3 et 10 mètres de profondeur. Il peut rester une demi-heure sous l'eau. Animal à sang froid, après de longs séjours en eau fraîche, il s'expose au soleil pour réguler sa température. Sa coloration noire accélère l'absorption de chaleur. La population de cette espèce endémique aux Galapagos est estimée à 200 000 individus. iguane,marin,galapagos,equateur.

© Jean-Claude FOURNIER

Edifié en 1961, le monastère de Debré Libanos est célèbre pour ses vitraux, œuvre de l'artiste éthiopien Aferwok Téklé. Le fondateur du monastère originel, Télé Haymanot figure parmi les saints éthiopiens. Il s'était retiré dans une grotte proche du monastère où il vivait en ermite. Il fait l'objet de nombreux pèlerinages. La religion chrétienne orthodoxe reste dominante en Ethiopie, malgré une forte expansion de l'islam non fondamentaliste. L'ethnie Oromo est majoritairement chrétienne.. monastere,debre,libanos,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

Lors du décès, le corps du défunt est lavé avant d'être déposé dans les failles d'une falaise, qui sert de cimetière. L'âme reste dans le village. Quelques mois plus tard, des funérailles sont organisées. L'âme va errer dans les alentours. 3 à 5 ans plus tard, une cérémonie collective avec défilé et danses masquées va marquer la fin du deuil. L'âme rejoint alors les ancêtres... dogon,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Le tigre du bengale atteint la maturité sexuelle à 3 ans pour les femelles et à 4 ans pour les mâles. La reproduction se déroule généralement au printemps.
La femelle n'est fertile que 3 à 7 jours. Elle met au monde 2 à 4 petits au terme d'une grossesse de 95 à 112 jours. Les jeunes restent avec leur mère 2 à 3 ans avant de prendre leur autonomie.l tigre,bengale,inde.

© Jean-Claude FOURNIER

(Cebus capucinus) Il occupe tous les types de forêts néo-tropicales : humides, sèches, inondées, mangroves, galeries... Le Capucin moine vit en groupe et est territorial. Il se déplace d'un site à l'autre de nourriture, sans se focaliser sur un arbre en particulier et ne reste jamais longtemps au même endroit. Il est omnivore et se nourrit principalement de fruits et de feuilles, mais aussi d'insectes, d'araignées, de crabes, d'huitres, de petits vertébrés, de graines, de bourgeons, de fleurs... moine,capucin,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

Les japonais sont les premiers consommateurs de thon rouge au monde. Ce poisson dont la chair est si goûteuse, peut atteindre des prix exorbitants. Cette espèce est aussi la plus menacée, pour cause de pêche excessive. Sous de faux prétextes d'ordre scientifique, le Japon reste aussi impliqué dans la chasse à la baleine, malgré le moratoire de 1986, qui en interdit la pratique. Il est également interpellé par les associations de préservation de la faune marine, pour ses méthodes cruelles de pêche au requin. tsukiji,tokyo,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

A 17 km de Paro, se profilant sur la crête d'une colline, apparaissent les ruines d'une forteresse, édifiée en 1649 pour commémorer une victoire sur l'armée tibétaine. Détruit par un incendie en 1950, déclenché par une lampe à beurre, le site reste à reconstruire... drukyel,dzong,bhoutan.

© Jean-Claude FOURNIER

Le mode de vie se différencie en fonction du jour et de la nuit. Pendant la journée, l'Effraie reste cachée, seule ou parfois en couple dans un gîte (grenier, grange, clocher, trou d'arbre, lierre, conifère…) à l'abri des intempéries ou du harcèlement des autres oiseaux. L'activité diurne est consacrée à la digestion et se réduit à de longues séances d'assouplissement et d'entretien du plumage. La nuit est réservée à la chasse, interrompue par des périodes de repos plus ou moins longues. L'Effraie chasse rarement le jour sauf lorsque la nourriture est peu abondante ou lorsqu'il faut élever sa progéniture... chouette effraie 10 juillet 201

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(Macaca fuscata) La période de reproduction a lieu en automne. La femelle choisit librement son partenaire, pas nécessairement le mâle dominant. La gestation dure cinq à six mois. La femelle donne naissance à un unique bébé qui pèse moins de 500 grammes. Les premiers temps, celui-ci reste collé à la mère et la tête en permanence. Il sera sevré au terme de deux années et et atteindra la maturité sexuelle à trois ans et demi. Le père participe à l'éducation du petit. macaques,japon.

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Les membres d'une frairie peuvent rester unis plusieurs mois ou plusieurs années. L'espérance de vie des guépards dans la vie sauvage est de 13 ans contre 20 ans en captivité. guepards,kenya,afrique

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(Jabiru mycteria) Le Jabiru d'Amérique construit avec des brindilles et des branches son nid en haut des grands arbres, sous forme d'une grande plate-forme. Le mâle apporte les matériaux, la femelle les dispose. Le nid servira plusieurs années. La nidification a lieu d'août à octobre. La femelle dépose de 2 à 4 œufs, qui sont incubés par le couple à tour de rôle pendant un mois. Les poussins sont nourris par les parents, par régurgitation, pendant deux mois. Puis ils prennent leur envol, mais restent dans le groupe familial... jabiru,amerique,pantanal,bresil.

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