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<center> Ici, Lydia applique de la bétadine pour cicatriser les plaies.<br> La souffrance de l'oiseau est visible et effrayante. Milan noir soins sur les rémiges setionnaes.

© Maurice Chatelain

<center> Ce plan d'eau inonde encore la prairie. Il faudra<br> attendre encore un peu pour y conduire le bétail. Prairie inondée. Val de Rhêmes. GRAND PARADIS Aoste

© Maurice Chatelain

<b>Ursus arctos.</b> C'est un gros mangeur qui engloutit de 10 à 15 kg de nourriture par jour, d'un régime trés varié : plantes, tubercules, baies, larves d'insectes, petits rongeurs, saumons, truites, petits ongulés, bétail ou charognes par opportunisme. Ours brun, Ursus arctos, Alaska.

© Yves Vallier

Le Puma est présent dans l'ouest de l'Amérique du nord et dans toute l'Amérique du sud, plus particuliérement dans les zones montagneuses et forestières. Il est souvent décrit comme un gros chat. C'est un excellent chasseur, qui se nourrit principalement de petits mammifères, mais peut s'attaquer au bétail et aussi terrifier les populations... puma,felin.

© Jean-Claude FOURNIER

Les Borana sont des pasteurs semi-nomades, qui tirent leur subsistance de leurs troupeaux de zébus. Ils sont habiles à construire des puits profonds et aussi à récupérer le sel des cratères des volcans, pour le bétail. L'organisation sociale repose sur le "gada", un système de classes d'âges, déterminant la période à laquelle un homme peut se marier et devenir pére. Le non respect de cette règle est sanctionné, par une assemblée exécutive dirigée par un chef spirituel... borana,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

La femme Himba est très active. Outre l'éducation des enfants, elle participe à de nombreux travaux : la construction des cases, la traite des chèvres, la corvée d'eau au puits ou à la rivière, la préparation des repas, la confection des vêtements et des bijoux... Les hommes s'occupent principalement du bétail. himbas,kaokoland,namibie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

L'ethnie Sidama représente 9 % de la population éthiopienne. Elle vit dans le sud du pays et a pour principales caractéristiques : sa conversion au protestantisme, l'adoption d'un calendrier qui lui est propre - déterminé par la position de la lune, à certaines périodes de l'année - l'organisation tous les 4 ans d'une fête rituelle, le "Dasho" où sont sacrifiées des centaines de têtes de bétail, le long de la rivière Haysho... sidama,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

La pièce principale est organisée autour du feu. Des sièges sont disposés pour la famille et les visiteurs. Une mince cloison sépare la pièce principale de la chambre à coucher. Une autre paroi démarque l'espace réservé au bétail. dorze,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

La société éthiopienne est essentiellement rurale. 85 % de la population vit et travaille à la campagne. L'élevage y tient une grande importance. Le cheptel composé de bovins, ovins et caprins rassemble 90 millions de têtes de bétail. Autant que d'habitants ! Ici, en pays 0romo, sur les hauts plateaux du nord, on peut observer, avant la tombée de la nuit, le retour des troupeaux à la ferme... oromo,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

Visite d'une "manyatta" (regroupement rural) au Kenya. Accueil par les femmes Masaïs du village. Elles jouent un rôle important dans la société. Outre l'éducation des enfants, elles ont en charge la construction et l'entretien des cases, la cuisine, la fabrication des objets de consommation courants - étoffes, sandales de cuir, récipients... Lorsque la tribu déménage à la recherche de pâturages plus verdoyants pour le bétail, elles préparent et transportent les rares bagages de la famille... village,masai,kenya,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Les Arboré sont environ 5500. Leurs villages sont installés sur les berges du fleuve Weito. Les crues saisonnières de ce dernier enrichissent les terres, en déposant du limon, favorisant la culture du sorgho et du maïs, offrant de bons pâturages au bétail... arbore,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

La hutte Hamer est construite en forme d'obus, avec de grosses branches solidement imbriquées. Sur cette vue, on aperçoit en arrière-plan, le grenier à céréales. Au nombre de 40 000, les Hamer sont des semi-nomades, qui se déplacent souvent en empruntant des itinéraires ancestraux. Ils cultivent le sorgho, le millet, le coton, le tabac, mais leur activité principale concerne l'élevage. L'abondance de bétail confère richesse et rang social à son propriétaire, lui permettant de subvenir aux besoins d'une famille composée de plusieurs femmes et enfants... hamer,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

La réserve Masaï Mara est la propriété du peuple Masaï. Celui-ci élève du bétail sur les zones dévolues aux animaux sauvages, ce qui n'est pas sans poser quelques problèmes de cohabitation. Lorsqu'un membre du troupeau est dévoré par un fauve, le Masaï ne laisse jamais le coupable impuni... masai,mara,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

(Couroupita guianensis) L'arbre Boulet de canon est un arbre à feuillage persistant, de la même famille que le Noyer d'Amazonie. Les fleurs forment des grappes donnant de gros fruits sphériques, aliments du bétail. boulet,canon,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

Le bétail vit au rez-de-chaussée et la famille à l'étage. maison,paysan,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

Dans les différentes tribus du sud éthiopien, les lances et les casse-têtes traditionnels ont été remplacés par des armes automatiques. Les tribus sont armées, car souvent en conflit entre elles, suite à des pillages, des vols de bétail... Les bandes armées du Kenya ou du Soudan fournissent les kalachnikovs contre de la nourriture... tsemai,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

Le baobab est un arbre aux vertus multiples. Il peut nourrir et soigner hommes et animaux. Son écorce sert à confectionner des cordes, ses graines participent à la fabrication de savon et d'engrais, la sève est utilisée pour fabriquer du papier... Les Dogon se servent de l'arbre pour entreposer le fourrage destiné au bétail... dogon,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Comme son cousin Masaï, le Samburu vit dans des "Manyatta", ensemble de huttes construites avec de la terre et des bouses de vaches, entourées d'épineux, pour protéger les hommes et le bétail des bêtes sauvages... samburu,tribu,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

Les Himbas sont des nomades, qui font l'élevage des bovins, des moutons et des chèvres, se déplaçant d'un point d'eau à l'autre. Ils changent de pâture une dizaine de fois l'an. Le bétail structure toute l'organisation socio-économique. Il procure la nourriture principale sous forme de lait ou de viande. Certains Himbas sont semi-nomades et pratiquent la culture du maïs. himba,namibie.

© Jean-Claude FOURNIER

Les Himbas tirent leurs ressources du bétail. Celui-ci fournit la nourriture et constitue une monnaie d'échange pour tous autres achats... Il procure aussi le cuir qui sert à fabriquer les vêtements et nombre d'objets usuels : sacs, blagues à tabac, coiffes traditionnelles et même porte-bébés. Quant aux sandales, elles sont confectionnées à partir de pneus de voiture... himba,namibie.

© Jean-Claude FOURNIER

(Crocodylus acutus) Il s'agit d'une des plus grandes espèces de crocodile. Le mâle peut atteindre 6 à 7 mètres et peser jusqu'à 1 tonne. Il fréquente les eaux douces comme les fleuves et les lacs, mais aussi les eaux saumâtres comme les estuaires, les lagunes et les marais. Il se nourrit d'animaux marins, de poissons, de tortues et de crabes. Il chasse aussi des oiseaux et s'attaque au bétail.... Il peut être dangereux pour l'homme. crocodile,americain,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

Dans la forêt claire, à l’écart des takienta, l’escarpement rocheux dans lequel s’ouvre l’abri sous roche se devine au travers de la végétation (Atakora, Bénin). Batammariba Bénin Bétammaribé Koutammakou Koutammarikou Ottamari Somba abri sous roche cache forêt guerre savane

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Cinq gros silos de terre crue occupent la terrasse qui s’étend sous le vaste porche rocheux. D’après la tradition, durant la période coloniale, c’est ici que les Bétammaribé des environs cachaient les réserves qu’ils voulaient soustraire aux réquisitions des Français (Atakora, Bénin). Afrique de l'Ouest Batammariba Bénin Bétammaribé Koutammakou Koutammarikou Ottamari Somba abri sous roche grotte silo terre crue

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Cinq gros silos de terre crue occupent la terrasse qui s’étend sous le vaste porche rocheux. D’après la tradition, durant la période coloniale, c’est ici que les Bétammaribé des environs cachaient les réserves qu’ils voulaient soustraire aux réquisitions des Français (Atakora, Bénin). Afrique de l'Ouest Batammariba Bénin Bétammaribé Koutammakou Koutammarikou Ottamari Somba abri sous roche grotte silo terre crue

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Au Bénin comme au Togo, les Bétammaribé construisent des maisons familiales fortifiées aux parois de terre crue ; ils les appellent takienta, connues aussi sous le nom de tata Somba. Ces joyaux d’architecture vernaculaire sont mondialement célèbres (Atakora, Bénin). Afrique de l'Ouest Atacora Batammariba Bénin Bétammaribé Koutammakou Koutammarikou Ottamari Somba takienta tata terre crue

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Après le gobetage, une couche de terre et de calcaire broyé se trouve à la surface du sac, elle recouvre le compost envahi de mycélium et va provoquer la fructification. champignon champignonnière culture en sacs gobetage

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Le champignonniste étale un mélange de terre et de calcaire broyé de façon à provoquer la pousse des champignons : c'est le gobetage. Agaricus bisporus champignon champignonnière culture en sacs gobetage

© Jerôme et Laurent TRIOLET

<br><br><font color="#F5D257">"Ce sont des élus qui on décidé la création de ce barrage et ils ont refusé le dialogue avec les opposants. Pour ce qui nous concerne, nous ne croyons pas à la délégation du pouvoir. C'est à chacun de réfléchir et s'interroger sur les besoins d'une communauté, en vue d'une décision collective. Cette responsabilité ne se délègue pas. <br><br>Ce système politique ne supporte pas la contestation. Les sanctions financières et la violence policière rappellent régulièrement à l'ordre ceux qui se refusent d'obéir. Cette règle générale, nous la retrouvons à Sivens. <br><br>Là, des bureaucrates imposent la puce RFID aux oreilles des brebis au nom de la "traçabilité du minerai viande". Ici, des bureaucrates imposent un barrage pour "préserver la ressource en eau". Dans les deux cas,la nature n'est qu'un tas de matières premières dans lequel l'industrie peut se servir, et les humains de bétail à affourager."</font color="#F5D257"> <br><br>Le collectif invite à discuter de tout cela ce dimanche 26 octobre à 20h sous le chapiteau. <br>Signé Collectif Faut Pas Pucer (Fautpaspucer@laposte.net) <br><br>

© Monique Morin

 

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