Phototem

Portail de photographie multi-galeries, multi-photographes

 

Résultat de recherche

 

Recherche sur le(s) mot(s) clé(s) :

Résultat de la recherche : 5 page(s) 468 photo(s)

 

 

 

<b>Cervus duvauceli.</b> Appelé également cerf de Duvaucel. Hauteur au garrot environ 1,20 m pour un poids de 180 kg. Amateur de plaines herbeuses ou de marécages du Madhya Pradesh. Le sens olfactif semble mieux développé que l'ouie ou la vue pour ce cervidé. Animal en danger car il n'en reste plus que 4.000 sur l'ensemble du continent indien. cerf barasinga mammifère cervidé de l'Inde réserve de Khana

© Yves Vallier

<b>Rostratula benghalensis.</b> Cette bécassine affectionne les zones humides. La femelle est polyandre et c'est elle qui prend les devants lors des parades pour choisir ses partenaires. Rynchée peinte ou bécassine des marais indienne échassier  limicole

© Yves Vallier

<b>Egretta garzetta.</b> Elle se nourrit de poissons et grenouilles. Elle a été persécutée dans le passé pour ses plumes utilisées dans la décoration des chapeaux des dames de la "haute société" anglaise. Aigrette échassier habitant les marais de Kéoladéo Ghana Park à Bharatpur au Rajasthan  en Inde

© Yves Vallier

<b>Panthera tigris tigris.</b> Ou tigre du Bengale. Redoutable chasseur mesurant jusqu'à 3 m de longueur pour un poids de 200 kg environ, il est situé tout en haut de la chaîne alimentaire. Six sous-espèces ont été identifiées, dont l'indienne considérée comme celle originelle. Tigre du Bengale le plus gros des félins habitant de l'Inde

© Yves Vallier

<b>Athene brama.</b> Ou Brame tacheté. Petite chouette d'une vingtaine de cm qui se nourrit de scarabées, micro-mammifères, jeunes oiseaux et lézards. Plutôt nocturne, elle regagne sa cache à l'aube et se réchauffe à l'entrée de l'orifice dans les premiers rayons du soleil. Chevêche brame ou tachetée rapace nocturne

© Yves Vallier

<b>Plegadis falcinellus.</b> Largement réparti en Asie : Pakistan, Inde, Bengladesh, Sri Lanka et Maldives. Echassier d'une cinquantaine de cm qui se nourrit de crustacés, mollusques, insectes le long des lits de rivières ou de marécages. Ibis falcinelle échassier habitant le marais

© Yves Vallier

<b>Presbytis entellus.</b> Appelé aussi langur, on le trouve jusqu'à 3.600 m d'altitude. Vit principalement en forêt, mais aussi dans les temples et les villes. Il est protégé et vénéré par les Indiens. Entelle de l'Inde singe de la famille des coloninés habitant l'Asie et l'Inde

© Yves Vallier

<b>Python molurus.</b> Il mesure 3 à 4 m, possède des dents, courtes mais pointues, incurvées vers l'arrière, comme une nasse forçant la proie qu'il avale à avancer vers le fond de sa gorge mais l'empêche d'en sortir. C'est un ovipare (reproduction par oeuf). La femelle couve ses oeufs lovés contre elle et, en cas de baisse de la température extérieure, contracte régulièrement les muscles de sa paroi abdominale, provoquant un afflux de sang qui réchauffe ainsi la ponte. Python indien ou python molure d'Inde

© Yves Vallier

<b>Canis aureus.</b> Une taille de 65 cm environ pour un poids de 10 kg. Réparti dans les régions de forêts humides, de plaines ouvertes ou dans les déserts. Il vit en solitaire ou en groupe, chasse toute proie en rapport avec sa taille, poules, agneaux, petites mammifères et des cerfs parfois lorsqu'il est en troupe. Il est aussi nécrophage par opportunisme. Chacal indien ou doré canidé habitant l'Inde l'Afrique de l'est et l'Asie

© Yves Vallier

<b>Mycteria leucocephala.</b> Grand échassier du continent indien. Perché sur ses longues jambes, il arpente les marais ou prés humides à la recherche de sa nourriture. Rapide et précis, il capture d'un coup de bec grenouilles, serpents ou poissons passant à sa portée. Tantale indien ou cigogne peinte grand échassier de l'Inde marais de Ranthambore

© Yves Vallier

<b>Panthera tigris.</b> Son déclin rapide, conséquence d'une chasse intensive a été  stoppé en 1970 par une loi le protégeant. Il se rencontre jusqu'à 3.000 m d'altitude. Amateur de forêts humides, de jungles sèches ou ouvertes et de marais où il se fond aisément. Tigre du Bengale  adulte le plus grand des félins Inde

© Yves Vallier

<b>Anhinga rufa.</b> Pêcheur solitaire, il plonge de la surface de l'eau, comme un canard et poursuit ses proies sous l'eau. Son long cou lui a valu son surnom d'"oiseau serpent". Anhinga roux ou oiseau serpent de l'Inde

© Yves Vallier

<b>Coracias benghalensis.</b> Perché sur un poste d'observation élevé, il attend le passage d'une proie. Aussitôt qu'un insecte passe à sa portée, il quitte son poste, capture promptement en plein vol l'imprudent et regagne un autre poste d'attente. Il complète son régime de batraciens ou lézards. Rollier indien passereau de l'Inde

© Yves Vallier

<b>Ceryle rudis.</b> Vol sur place ou en "Saint esprit" afin de repérer sa proie au-dessus des rivières, étangs ou de mares stagnantes. Après la capture, il gagne un poste d'observation, assomme sa prise en la battant au sol, puis l'avale dans le sens des écailles. Martin pêcheur pie de l'Inde vol en Saint Esprit

© Yves Vallier

<b>Ursus arctos.</b> L'ours brun court à 50 km/heure environ, nage bien et grimpe aux arbres. Le poids d'un mâle adulte approche les 500 kg, pour une taille de 2,80 m lorsqu'il est debout sur les pattes arrière, dans la position dite "du totem". ours brun à l'affût du saumon en Alaska, Ursus arctos

© Yves Vallier

<b>Aethia pusilla.</b> Alcidé de petite taille qui mesure une quinzaine de cm. Il se nourrit exclusivement en mer et niche dans les cavités rocheuses des falaises. On le trouve dans les mers de Béring et d'Okhotsk et dans la chaîne des îles Aléoutiennes. Alque minuscule, Aethia pusilla,  famille des Alcidés habitant  l'Alaska, la mer de Béring, mer d'Okhotsk

© Yves Vallier

<b>Aethia cristatella.</b> Starique cristatelle ou Alque panaché, famille des Alcidés habitant l'Alaska, les mers de Béring et d'Okhotsk, l'océan Pacifique nord.

© Yves Vallier

<b>Callorhinus ursinus.</b> Groupe de femelles. Aux îles Pribilof, la colonie d'otaries à fourrure est en baisse constante car la concurrence est rude. En effet, la mer de Béring, une des plus riches en poissons, est exploitée par les Russes, les Coréens et les Japonais. Les pêcheurs des Pribilof ont eux-mêmes d'énormes difficultés à rentabiliser leurs prises qui servent à leur consommation personnelle mais aussi à l'export. Otaries à fourrure du Nord femelles en Alaska îles Pribilof

© Yves Vallier

<b>Propithecus diadema.</b> Lémurien diurne de la famille des Sifakas. Son corps mesure 50 cm, plus une queue pratiquement aussi longue, pour un poids approximatif de 6 kg. Habite les forêts pluvieuses du nord-est de Madagascar, à une altitude de 800 m environ. Vit seul ou en groupe de 6 à 8 individus. Propithèque diadème, propithecus diadema, lémurien de la famille des Sifakas, Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Uroplatus lineatus.</b> Gecko à queue plate, endémique et nocturne. Uroplatus lineatus,  gecko bambou, espèce nocturne et endémique à Madagascar

© Yves Vallier

<b>Eulemur fulvus collaris.</b>Lémurien diurne qui mesure 95 cm environ dont 55 pour la queue. Poids 2,5 kg. Habite les forêts pluvieuses du sud-est de Madagascar. Eulemur fulvus collaris lémurien diurne ,endémique à Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Calumma brevicornis.</b>Caméléon endémique qui mesure une trentaine de cm queue comprise. La femelle a l'habitude d'enterrer ses oeufs à une profondeur d'une dizaine de cm. Calumma brevicornis, caméléon à petite corne, espèce endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Furcifer rhinoceratus.</b> Caméléon endémique à Madagascar. Mesure 27 cm environ queue comprise. Furcifer rhinoceratus, caméléon rhinocéros mâle endémique à Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Terpsiphone mutata.</b> Mâle adulte. Quatre sous-espèces sont représentées  aux Comores (dont T.m. comoroensis). La sous-espèce (T.m. mutata) est endémique à Madagascar. Elle habite différents types de forêts mais aussi les mangroves ou les plantations arboricoles. Gobe mouche de paradis de Madagascar mâle. Endémique

© Yves Vallier

<b>Lemur catta.</b>Lémurien diurne de Madagascar. Taille 40 cm plus une queue de 55 cm. pour 3 kg environ. Grégaire et non territorial, il forme des groupes d'une dizaine d'individus, parfois du double. Maki ou Lemur catta. Lémurien endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Furcifer lateralis.</b> Caméléon mâle.Il mesure une vingtaine de cm queue comprise. Furcifer lateralis. Caméléon tapis, espèce endémique de Madagascar

© Yves Vallier

<b>Lepilemur microdon.</b>Lémurien endémique nocturne qui mesure une soixantaine de cm dont la moitié pour la queue. Habite les forêts pluvieuses, primaires ou secondaires de la partie sud de l'île, côte est. Solitaire, soumis à un régime exclusivement végétarien, il subit les nuisances dues à l'exploitation de la forêt et à la chasse par l'homme. Lepilemur microdon, lémurien nocturne, endémique de Madagascar

© Yves Vallier

<b>Propithecus diadema.</b>Fruits, feuilles et fleurs, selon les saisons, constituent son régime alimentaire. Il consomme chaque jour environ 25 espèces différentes de végétaux.
L'exploitation de la forêt par l'homme est une réelle menace pour cette espèce. Propithèque diadème, propithecus diadema, lémurien endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Crocodilus niloticus.</b>Identique à l'espèce africaine bien que certains tendent à la considérer comme une espèce endémique (C.n.madagascariensis). Atteint 4 mètres de longueur. Une chasse intense dans le passé pour sa peau et la collecte des oeufs a presque décimé l'espèce qui reconstitue aujourd'hui lentement ses effectifs. On compte environ 30.000 individus, largement répartis sur l'île, dans des régions difficiles d'accès (rivières ou zones marécageuses). Crocodile du Nil, crocodylus niloticus amphibien de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Dyscophus guineti.</b> Grosse grenouille endémique. Le mâle mesure 6 cm et 9 cm pour la femelle. Dyscophus guineti, grenouille endémique de Madagascar

© Yves Vallier

<b>Propithecus verreauxi.</b>Un unique jeune né après 160 jours environ de gestation. Durant les premiers jours, il reste suspendu au poitrail de sa mère. Un mois plus tard, il passe sur son dos et commence son apprentissage de funambule dans les branches. La maturité sexuelle est atteinte entre 3 et 5 ans. Propithèque de Verreaux adulte et jeune, lémurien endémique de Madagascar

© Yves Vallier

<b>Propithecus verreauxi.</b>Sifaka de Verreau. Lémurien diurne dont le corps mesure 45 cm, plus une queue de 55 cm. Très agile, il se déplace par bonds de plusieurs mètres de branche en branche ou à terre. Réparti dans le sud et sud-est de l'île, il constitue des groupes de 6 à 8 individus pour une seule famille, ou d'une quinzaine de membres comprenant dans ce cas plusieurs mâles et femelles. Bien qu'il soit menacé par la déforestation et la chasse dans certaines régions, il bénéficie dans d'autres d'une aura qui le rend tabou et le protège. Sifaka de Verreaux, lémurien endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Calumma parsonii.</b> Espèce endémique originaire de la forêt primaire, le caméléon de Parson, de couleur turquoise, est le plus gros de la zone considérée. Le mâle mesure entre 50 et 60 cm de longueur y compris la queue. Caméléon de Parson, calumma parsonii, endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Indri indri.</b>Espèce endémique malgache, mesure 60 cm pour 7 kg et arbore une queue de 5 cm seulement. Confiné aux forêts pluvieuses du centre-est de l'île, il constitue des groupes de 2 à 6 individus dirigés par la femelle. Evolue dans la canopée où il se nourrit essentiellement de feuilles.
L'espèce est menacée par la déforestation. Indri indri, lémurien endémique malgache.

© Yves Vallier

<b>Zonosaurus maximus.</b>Le plus grand du genre. Espèce endémique malgache qui vit à proximié de l'eau. Iguane endémique malgache. Zonosaurus maximus.

© Yves Vallier

<b>Phelsuma quadriocellata.</b>Espèce endémique malgache qui mesure environ 10 cm en totalité. Caractérisée par ses taches dorsales rouges, et noires à la naissance des pattes avant. Gecko. Phelsuma lineata bombatokensis

© Yves Vallier

<b>Indri indri.</b>Lémurien endémique.
Très tôt, le matin, l'Indri se manifeste par des hurlements dans les forêts primaires et humides du centre-est de l'île. Aussitot, d'autres lui répondent et leurs cris se propagent à l'infini dans l'atmosphère emplie de brume. Indri indri lémurien endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Phyllocrania illuden.</b>Mante endémique malgache. Mante endémique malgache, Phyllocrania illudens

© Yves Vallier

<b>Furcifer pardalis.</b>Caméléon mâle de grande taille, 52 cm environ queue compris,  qui se trouve également à l'île Maurice et la Réunion. Caméléon de grande taille, Furcifer pardalis, de Madagascar, Maurice et la Réunion.

© Yves Vallier

<b>Propithecus verreauxi.</b>L'origine latine du mot lémurien ou lémur le désigne comme un fantôme, c'est peut-être pourquoi certaines ethnies malgaches en ont peur et le respectent. Par contre, d'autres le mangent peut-être le font-elles pour conjurer le sort... Propithèque de Verreaux, Propithecus verreauxi, lémur endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Propithecus verreauxi.</b> Les lémuriens ou lémurs sont issus d'une branche des primates qui s'est développée il y a 50 millions d'années environ à Madagascar. Ils remplacent dans la Grande île les singes qui peuplent l'Afrique et d'autres régions du monde.
Les lémuriens ne connaissent que peu d'ennemis, excepté l'homme et le Fosa (Cryptoprocta ferox) appelé "puma malgache", redoutable prédateur. Propithèque de Verreaux, Propithecus verreauxi, lémurien endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Nepenthes madagascariensis.</b> Plante carnivore endémique malgache. Nepenthes madagascariensis, plante carnivore endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Eulemur fulvus fulvus.</b> Ce lémurien, que l'on trouve aussi à Mayotte, est la seule espèce qui ne présente pas de dimorphisme sexuel. Le corps mesure environ 50 cm, autant pour la queue, pour un poids de 2 à 3 kg. Habite la forêt pluvieuse, dans de petits territoires situés au centre-est et au nord-ouest de Madagascar. Maki brun, Eulemur fulvus fulvus de Madagascar et Mayotte.

© Yves Vallier

<b>Argema mittrei.</b> Espèce endémique. C'est l'un des plus gros papillons du monde. Le mâle mesure jusqu'à 20 cm de longueur de la tête au bout de la queue. Papillon endémique, Argema mittrei.

© Yves Vallier

<b>Corythornis vintsioides vintsioides.</b> Espèce considérée à Madagascar comme une endémique. Ce petit oiseau (15 cm environ du bec à l'extrémité de la queue)robuste et nerveux fréquente les eaux saumâtres et les rivières ombragées. Martin pêcheur malachite endémique à Madagascar. Corytornis vintsioides vintsioides.

© Yves Vallier

<b>Fossa fossana.</b> Espèce endémique répartie tout le long de la côte est de Madagascar, dans les forêts pluvieuses. Le corps mesure  40 cm environ, plus une vingtaine de cm pour la queue. Civette malgache. Fossa fossana. Civette malgache, espèce endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Oplurus quadrimaculatus.</b> Grande espèce endémique mesurant 40 cm environ, cantonnée principalement dans le centre-sud et le sud de l'île. Iguane, Oplurus quadrimaculatus.

© Yves Vallier

<b>Lemur catta.</b>Lémurien endémique qui se cantonne à la partie sud-ouest de l'île. Soumis à un régime végétarien à base de fruits et de feuilles, complété à l'occasion par de petits invertébrés. Il affectionne principalement les forêts sèches ou à galeries et les falaises rocheuses. Maki catta, Lemur catta, endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Amphilla madagascariensis.</b> Araignée endémique dont la taille avoisine les 15 cm d'une extrémité à l'autre des pattes. Amphilla madagascariensis.  Araignée endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Eulemur rubriventer.</b>Endémique. Répartition dans les forêts pluvieuses, primaires et secondaires, le long de la côte est. Très territorial, il vit en famille de 2 à 6 individus qui comprend les parents et leurs petits. Conduit par une femelle dominante, le groupe se déplace durant toute la journée afin de subvenir à ses besoins en nourriture. Il utilise environ 70 espèces différentes de plantes durant une année. Son régime alimentaire est complété d'invertébrés de type mille pattes. La déforestation le condamne à terme. Maki à ventre roux. Eulemur rubriventer, lémurien endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Propithecus verreauxi.</b>Lémurien endémique Propithecus verreauxi, Propithèque de Verreaux, lémurien endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Lemur catta.</b> Maki catta, Lemur catta, lémurien endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Calumma parsonii.</b>Endémique. Une taille impressionante, une corne épaisse en avant de la face et un casque occipital le distinguent de toutes les autres espèces. Calumma parsonii, caméléon de Parson endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Lepilemur microdon.</b>Lémur endémique de petite taille. Le corps mesure une trentaine de cm plus la queue longue de 25 cm environ, pour un poids inférieur à 1 kg. Nocturne, inféodé à un régime végétarien constitué de feuilles, fleurs et fruits, il est cantonné aux forêts primaires pluvieuses situées le long de la côte est de la partie sud de l'île.
L'exploitation à outrance de la forêt et le piégeage sont les principales causes de la diminution de ses effectifs. Lepilemur microdon, caméléon nocturne endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Sanzinia madagascariensis.</b>Boa femelle endémique de Madagascar. Pupille verticale et écailles ornant la mandibule supérieure rendent l'espèce facilement reconnaissable . De moeurs plutôt nocturnes, elle se situe dans la partie est de l'île, dans les forêts pluvieuses de préférence. Ovovivipare, elle donne naissance après 6 à 7 mois de gestation à une portée pouvant aller jusqu'à 16 jeunes d'une quarantaine de cm. Sa taille adulte peut dépasser les 2,5 m de longueur. Espèce protégée par la Convention de Washington. Sanzinia madagascariensis, boa femelle endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Eulemur fulvus collaris.</b>Lémurien endémique à Madagascar. Maki à collier. Eulemur fulvus collaris, lémurien endémique à Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Lemur catta.</b>Emblème des Parcs Nationaux de Madagascar, l'espèce est pourtant malheureusement piégée et chassée sur son territoire, ce qui représente à terme un réel danger pour sa survie. Lemur catta, Maki catta lémurien endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Propithecus verreauxi.</b>Lémurien endémique de Madagascar. Propithecus verreauxi, Propithèque de Verreaux, lémurien endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Cheirogaleus major.</b>Petit lémurien endémique, nocturne, des forêts pluvieuses de l'est de Madagascar. Longueur du corps 23 cm environ et autant pour la queue, pour un poids de 3,5 kg. Habitant des forêts primaires ou secondaires et parfois de plantations de café ou de lychee. Régime omnivore composé de fleurs, fruits, nectar et insectes. A un rôle semblable à celui des abeilles en disséminant le pollen lorsqu'il se déplace pour cueillir sa nourriture. Cheirogaleus major, Chirogale de Milius, lémurien nocturne endémique de Madagascar

© Yves Vallier

<b>Diomedea melanophris.</b> Ce superbe voilier, compagnon occasionnel des longs coursiers, hante  les mers et océans de l'hémisphère sud exclusivement, jusqu'aux limites de la banquise, entre les 40° et 60° sud. Albatros à sourcils noirs, diomédéidés, oiseau de mer de l'hémisphère sud, Iles Falkland.

© Yves Vallier

<b>Mirounga leonina.</b> Jeunes femelles. Phoque persécuté jusqu'en 1900 pour en prélever sa graisse. Eléphant de mer, mammifère marin de l'hémisphère sud, Iles Falkland.

© Yves Vallier

<b>Aptenodytes patagonica.</b> L'unique oeuf pondu pèse 300gr. pour une dizaine de cm. de longueur. Placé sur le dessus des pattes et recouvert d'un pli abdominal, il est couvé alternativement par le mâle et la femellle durant 54 jours. Manchot royal, sphénicidé, habitant l'hémisphère sud, les Iles Falkland.

© Yves Vallier

<b>Eudyptes chrysocome.</b> Il mesure 65 cm. de longueur pour un poids de 4 kg et possède un bec fort, adapté à un régime composé de crustacés, céphalopodes et poissons. Gorfou sauteur, Eudyptes chrysocome, manchot de l'hémisphère sud, des Iles Falkland, Malouines.

© Yves Vallier

<b>Mirounga leonina.</b> Phoque mâle adulte. Contrairement à l'otarie, autre espèce de mammifère marin, le phoque ne porte pas d'oreilles externes. Durant la période de rut, l'appendice nasal de l'éléphant de mer atteint une cinquantaine de cm. Eléphant de mer, Pinipède, famille des Phocidés. Mammifère marin de l'hémisphère sud et  des Iles Falkland.

© Yves Vallier

<b>Spheniscus magellanicus.</b> Rassemblement sur la plage avant le départ pour la pêche. L'espèce se trouve le long des côtes de l'Argentine et du Chili. Manchot de Magellan, famille des sphéniscidés, de l'hémisphère sud et des Iles Falkland.

© Yves Vallier

<b>Spheniscus magellanicus.</b> Creuse des terriers d'un mètre de profondeur pour y cacher sa ponte composée de 2 oeufs couvés durant 28 jours. Manchot de Magellan, famille des sphéniscidés, de l'hémisphère sud et Iles Falkland.

© Yves Vallier

<b>Aptenodytes patagonica.</b> Gros manchot dont la taille avoisine les 90 cm. avec un poids d'une dizaine de kg. Il niche dans la zone subantarctique où il constitue des colonies regroupant parfois plusieurs milliers d'individus. Manchot royal, Aptenodytes patagonica, habitant les régions circumpolaires et les Iles Falkland.

© Yves Vallier

<b>Pygoscelis papua.</b> Le nid recueille deux oeufs, mais un seul jeune le plus souvent survivra. Manchot papou, Pygoscelis papua, manchot de la zone subantarctique et des îles Falkland.

© Yves Vallier

<b>Diomedea melanophris.</b> Le couple, fidèle à vie, construit un nid en boue, de forme tronconique. Réutilisé chaque année, il peut mesurer jusqu'à 90 cm. de hauteur. La femelle couve seule l'oeuf unique durant 60 jours. Albatros à sourcils noirs. Diomedea melanophris, Diomédéidés, oiseau de mer des Iles Falkland.

© Yves Vallier

<b>Diomedea melanophris.</b> Le jeune bénéficie d'attentions particulières :  épouillages et nourrissages quotidiens par régurgitation d'une bouillie composée de céphalopodes et de mollusques. Albatros à sourcils noirs, Diomedea melanophris, diomédéidé, oiseau de mer des îles circumpolaires et des îles Falkland

© Yves Vallier

<b>Otaria byronia.</b> Otarie de l'hémisphère sud présente tout le long de la côte d'Argentine et sur celles du Pacifique jusqu'en Colombie. Le mâle peut atteindre 2,25 m. de longueur pour un poids de 600 kg. environ. Lion de mer du sud. Otaria byronia. Pinnipède de l'hémisphère sud.

© Yves Vallier

<b>Pygoscelis papua.</b> Il s'établit en colonies d'importances variables selon les sites choisis, assez éloignés de la mer, sur un terrain plat et herbeux de préférence. Manchot papou. Pygoscelis papua. Sphéniscidés de la zone subantarctique et des îles Falkland.

© Yves Vallier

<b>Arctocephalus australis australis.</b> Otarie de l'hémisphère sud qui mesure un peu moins de 2 m. pour un poids de 140 kg. environ pour le mâle. Les colonies sont formées de harems réunissants de 5 à 9 femelles par mâle. Certaines colonies peuvent atteindre un millier d'individus, sur un îlot ou les gradins de falaises, toujours non loin de la mer. Otarie à fourrure des Falkland, hémisphère sud.

© Yves Vallier

<b>Phalcoboenus australis.</b> Rapace que l'on trouve uniquement aux îles Falkland et sur quelques îles au large du Cap Horn ou de la pointe sud du Chili. Caracara australis, Pholcoboenus australis, rapace des îles Falkland et du Cap Horn.

© Yves Vallier

<b>Aptenodytes patagonica.</b> Il n'y a pas de dimorphisme sexuel chez les manchots, excepté la taille et le poids, toujours inférieurs chez la femelle. La forme du corps est conçue pour fendre l'eau et les ailerons sont utilisés comme de véritables ailes sous l'eau. En cas de danger, il peut atteindre la vitesse de 18 km heure. Manchot royal, Aptenodytes patagonica, manchot des régions circumpolaires.

© Yves Vallier

<b>Phalacrocorax magellanicus.</b> Ce petit cormoran, n'étant pas un grand voilier préfère chercher sa nourriture le long des côtes ou des estuaires, dans les forêts d'algues et les eaux peu profondes. Il se trouve le long du littoral sud de l'Argentine, du Chili et aux îles Falkland. Cormoran de Magellan. Phalacrocorax magellanicus.

© Yves Vallier

<b>Larus dominicanus.</b> Grand goéland qui habite dans toutes les mers du sud, sur tous les continents, au dessous du tropique du Capricorne. Goéland Dominicain, Larus dominicanus. Grand laridé habitant l'hémisphère sud et les îles Falkland.

© Yves Vallier

<b>Pygoscelis papua.</b> Grand plongeur, il peut descendre jusqu'à 150 m. de profondeur. Sa distribution est circumpolaire, sur les îles subantarctiques situées entre les 46° et 65° de latitude sud. Manchot papou, Pygoscelis papua, sphéniscidé habitant les îles subantarctiques.

© Yves Vallier

<b>Eudyptes crysolophus.</b> Ce puissant manchot mesurant 71 cm. pour 6kg. n'hésite pas à s'éloigner jusqu'à 300 km. de sa colonie pour chercher sa nourriture, effectuant ainsi des déplacements de trois jours. Il niche en colonies regroupant parfois 3 millions d'individus ou peut être nicheur isolé, dans une colonie de Gorfous sauteurs. Gorfou doré ou macaroni, Eudyptes crisolophus, manchot, sphéniscidé.

© Yves Vallier

<b>Aptenodytes patagonica.</b> Chaque plume est implantée de façon à recouvrir l'autre comme les tuiles d'une toiture, garantissant ainsi une parfaite étanchéité. L'air est retenu à la base des barbules, assurant une isolation thermique efficace. Une glande uropygienne située à la base de la queue leur fournit l'huile dont ils se serviront pour lisser leur plumage, le rendant imperméable et prêt à affronter les profondeurs glacées. Manchot royal, Aptenodytes patagonica, Sphéniscidé de la zône circumpolaire.

© Yves Vallier

<b>Pygoscelis papua.</b> De retour à la colonie, l'adulte nourrit le jeune d'une bouillie prédigérée de poissons et crustacés. Manchot papou, Pygoscelis papua, hémisphère sur, îles subantarctiques et Iles Falkland.

© Yves Vallier

<b>Otaria byronia.</b>Les harems rassemblent une dizaine de femelles autour d'un mâle. La femelle, qui ne possède pas de crinière est moins imposante que le mâle, malgré son poids de 130 kg. à l'âge adulte. Lion de mer. Otaria byronia. Harem. Iles Falkland.

© Yves Vallier

<b>Diomedea melanophris.</b> Le jeune albatros quitte le nid à l'âge de 4 mois, puis erre dans les mers du sud durant 5 à 7 ans avant de se reproduire. Albatros à sourcils noirs. Diomedea melanophris. Diomedeidés. Iles Falkland et subantarctiques.

© Yves Vallier

<b>Eudyptes chrysocome.</b> Les gorfous se groupent pour pêcher. Pour ce faire, ils se rendent parfois jusqu'à une cinquantaine de km. de la colonie pour trouver les crustacés dont ils se nourrissent. Gorfou sauteur groupe. Eudyptes chrysocome. Manchot des Iles Falkland et des ^^iles subantarctuqes.

© Yves Vallier

<b>Diomedea melanophris.</b> D'un vol plané, utilisant sa grande envergure proche des 2,30 m., sans un battement d'ailes, il parcourt de grandes étendues, au raz des vagues, volant pour la quête de sa nourriture, mais souvent par simple plaisir. Albatros à sourcils noirs. Diomedea melanophris. Diomédéidés. Iles Falkland et subantarctiques.

© Yves Vallier

<b>Eudyptes chrysocome.</b> Cette espèce a subi depuis 1900 de lourdes pertes, dues à son exploitation pour en retirer sa graisse, au ramassage des oeufs, mais aussi, plus récemment, par une baisse de sa principale source de nourriture, le krill, suite probablement à un réchauffement des eaux. Gorfou sauteur. Eudyptes chrisocome. Manchot des îles Falkland et subantarctiques.

© Yves Vallier

<b>Eudyptes chrysocome.</b> Il se déplace par petits bonds et gravit les falaises par des itinéraires pratiqués depuis des générations de gorfous. Gorfou sauteur, Eudyptes chrisocome, manchot des îles Falkland et subantarctiques.

© Yves Vallier

<b>Eudyptes chrysocome.</b> Les colonies sont situées assez loin de la mer, souvent sur les plateaux de falaises. Les jeunes âgés d'une vingtaine de jours sont regroupés en crèches, puis quittent la colonie un mois et demi après environ. Gorfou sauteur, Eudyptes chrisocome, manchot des îles Falkland et subantarctiques.

© Yves Vallier

<b>Phalacrocorax albiventer.</b> Bon voilier, il niche le long des promontoires côtiers, constituant de petits groupes ou des colonies plus importantes. Il cohabite parfois avec des manchots. Sa répartition s'étale des côtes de l'Argentine à la Terre de Feu et dans les îles subantarctiques. Cormoran royal, Phalacrocorax albiventer, îles Falkland et côtes de l'Argentine.

© Yves Vallier

<b>Mirounga leonina.</b> Véritable géant parmi les pinnipèdes, ce phoque mâle peut dépasser les 5 m. de longueur pour un poids approchant les 4 tonnes. Il peut descendre jusqu'à 600 m. de profondeur réalisant des apnées d'une vingtaine de minutes pour capturer les seiches et calmars. Eléphant de mer, Mirounga leonina, pinnipède géant  de l'hémisphère sud.

© Yves Vallier

<b>Aptenodytes patagonica.</b> Les jeunes vêtus d'un duvet soyeux vont devoir affronter leur premier hiver avec son cortège de pluies et de vents glacés. Manchot royal, Aptenodytes patagonica, habitant l'hémisphère sud, les Iles Falkland et subantarctiques.

© Yves Vallier

<b>Aptenodytes patagonica.</b> Mue après la période de reproduction. Il peut descendre jusqu'à 300 m. de profondeur pour capturer poissons et céphalopodes au cours d'apnées de plus de 6 minutes. Manchot royal, aptenodytes patagonica, manchot des îles Falkland et subantarctiques.

© Yves Vallier

<b>Aptenodytes patagonica.</b> Après avoir été massacrée durant des dizaines d'années, l'espèce a reconstitué aux Iles Falkland une colonie de quelques 400 individus. Dans les îles subantarctiques, les rassemblements comptent plusieurs milliers de têtes. Manchot royal colonie, Aptenodytes patagonica. Manchot habitant les îles Falkland et les îles subantarctiques.

© Yves Vallier

<b>Phalcoboenus australis.</b> Agile, curieux et audacieux, il arrache les jeunes manchots ou albatros de leurs nids au cours de piqués soudains et rapides. Caracara austral, Phalcoboenus australis, rapace se trouvant uniquement aux Iles Falkland et sur quelques îlots au large du Cap Horne.

© Yves Vallier

<b>Brachycereus nesioticus.</b> Cactus endémique dont les branches mesurent 50 cm environ. Pousse uniquement dans les champs de lave, entre les fissures de la couche. Cactus des laves, Brachycereus nesioticus, genre cacté endémique des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Zalophus californianus wollebacki.</b> Sous-espèce du lion de mer de Californie. La femelle est adulte vers 6/8 ans et pèse une centaine de kilos. Elle constitue des harems d'une trentaine d'individus pour un mâle. Celui-ci pèse 250 kg et affiche un tempérament plutôt agressif à terre. Otarie des Galapagos, Zalophus californianus wollebacki, mammifère marin.

© Yves Vallier

<b>Grapsus grapsus.</b> Prédateur et nécrophage, se nourrit d'autres espèces, mais aussi de la sienne, de particules animales et de petits crustacés. Crabe zayapa, grapsus grapsus des Iles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Fregata minor ridwayi.</b< Durant la saison des amours, le mâle développe une poche  de chair rouge sous sa gorge afin d'attirer la femelle. Avec une envergure dépassant les 2,45 m, la frégate est particulièrement adaptée à la vie aérienne. Son plumage n'étant pas imperméable, l'oiseau ne se pose donc pas sur l'eau, mais dispose d'une grande habileté pour capturer ses proies en effleurant du bec la surface de l'onde lors de piqués accrobatiques. Grande frégate, fregata minor, oiseau de mers tropicales et des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Prionurus lacticlavius.</b> Son nom lui vient du "scalpel" qu'il porte à la base de la queue, redoutable arme de défense ou d'attaque contre un éventuel indésirable. Chirurgien à queue jaune, Prionurus lacticlavius, poisson des mers chaudes et des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Tiquilia nesiotica.</b> Plante endémique qui prolifère sur les sols poussiéreux et arides. Tiquilia nesiotica, plante endémique des îles Galapagos.

© Yves Vallier

 

Page N° 1         1 2 3 4 5

 

Réalisation et hébergement :